Le Jour D'Inscriptions

L’histoire que je vais vous raconter se déroula en septembre 1999 à rabat.
J’étais étudiant à l'époque, et j'essayais de m'inscrire à la cité universitaire. Une fois inscrit, je suis passé chez un copain, Rachid, qui habite à rabat afin de passer la nuit chez lui et reprendre le car le lendemain pour rentrer chez moi.
ses parents habitaient à la campagne, mais avaient une maison a rabat où ils ont l'habitude de passer l'été et que Rachid occupait pendant l'année scolaire.
Des 5 chambres mon ami n'utilisait que deux, le salon et sa chambre qui était au premier étage.
Quand je suis arrivé j'ai trouvé Rachid sur le point de sortir pour un rendez-vous. il me laissa le choix entre rester à la maison ou de l'accompagner.
Fatigué par le voyage, j'ai opté pour le premier choix. Ainsi je suis resté seul à la maison, j'ai allumé la télé, et je me suis étendu sur la banquette en face.
Vers 19h, j'étais entrains de somnoler devant la télé, quelqu'un sonna à la porte. Je me suis donc levé pour aller voir qui c'était. Devant la porte, il y avait deux filles, elles avaient environs le même âge que moi, j’avais 20 ans à l'époque. L’une des deux, elle s'appelait Mariam se présenta et me présenta sa copine, Bouchra, puis me demanda:
- est-ce que Rachid est là?
- non, il est parti toute à l'heure pour un rendez-vous.
J’ai remarqué que ma réponse l'avait un peu déçue
- tu ne sais pas quand- est ce qu'il revient?
- je ne sais pas, il ne m'a rien dis, mais je crois qu'il ne va pas tarder à rentrer.
Sur ce, elle me dit qu'elles allaient faire quelques courses et revenir plus tard, quand il sera de retour.
Environs une heure et demis plus tard, j'entendis de nouveau sonner à la porte. C’était elles.
Mariam, me demanda si Rachid était de retour. Ma réponse négative sembla la contrarier.
Elle me demanda alors:
- est ce qu'on peut rentrer l'attendre?
Comme je ne les connaissais pas, j'hésitais à les faire rentrer.

C’est alors que bouchera m'a dit:
- nous sommes du même village que lui, on est comme ses sœurs.
Je les ai, alors, laissé rentrer. Une fois à l'intérieur, Bouchra se dirigea directement vers la cuisine pour déposer les courses qu'elles avaient rapportées. Moi et Mariam nous sommes allés dans le salon.
Elles connaissaient bien la maison, ce qui finit par me persuader de la véracité de ce que Bouchra m'avait dit.
J’ai discuté avec Mariam pendant un moment, quand j'ai sentit une délicieuse odeur en provenance de la cuisine. C’est à ce moment que j'ai remarqué que Bouchra n'était toujours pas revenue.
- Bouchra est toujours dans la cuisine? M’enquis-je
- elle est entrains de préparer le diner, nous sommes passées au marché tout à l'heure et on a acheté un peu de viande et des légumes pour ce soir, et elle a proposé de nous préparer un tajine. Tu verras, c'est une très bonne cuisinière, heureux sera son mari... viens on va la rejoindre.
à ce moment, la porte s'ouvrit, et Rachid entra, quand il a vu Mariam il me dis en souriant:
- je savais bien que ce n'est pas toi qui es à l'origine de cette odeur.
Puis il salua Mariam, puis on est allé tous les trois dans la cuisine rejoindre bouchera.
Après le diner, Rachid et me demanda de l'aider à débarrasser la table, arrivés dans la cuisine, il me demanda:
- qu'est ce que tu pense de Bouchra?
- elle me parait sympa...
- tu veux coucher avec elle?
Surpris par ses propos, je lui dis:
- mais elle est comme ta sœur?
il rit avant de me répondre:
- c'est ce qu'elles t'ont raconté? Au fait, c'est simplement des voisines à nous au village, moi et Mariam on couche ensemble de temps en temps. et ce soir on va dormir ensemble, ce qui fait que toi et Bouchera vous allez dormir dans le salon, alors à toi de voir.
Puis il est repartit vers le salon.
Seul j'ai commencé à penser à Bouchra autrement qu'à la "presque" sœur de mon ami qui m'héberge.

Elle était assez jolie, bien en chaire elle avait juste ce qu'il faut là où il faut, de grands seins appétissants, des fesse bien ronds qui donnaient envie de les malaxer.
La soirée continua un moment avant que Rachid et Mariam ont décidé de monter ce coucher. en partant Mariam m'a fait un clin d'œil en me disant:
- je te confie Bouchra, prend bien soin d'elle.
J’ai regardé Bouchra qui était à côté de moi, et j'ai vu qu'elle souriait timidement.
Une fois seuls, faisant semblant de ne pas avoir compris, j’ai demandé à Bouchra:
- qu'est ce qu'elle voulait dire?
- ne fais pas attention, elle essaye de me trouver un copain par tous les moyens.
- elle n'a pas besoin d'essayer tu es belle et beaucoup de garçon voudraient sortir avec toi.
- c'est gentil, c'est ce qu'elle n'arrête pas de me répéter. Et toi, tu as une copine?
- non, je suis célibataire comme toi.
- tu es toujours vierge?
Sa question ne cadrait pas avec sa timidité apparente, elle me surprit un moment, puis je répondis:
- non, j'avais une copine avant mais on s'est éparé il y a quelques mois. et toi?
- moi si, j'ai déjà couché ave un garçon mais on n'est pas allé jusqu'au fond des choses...
- tu attends le mariage?
- non, j'attends la bonne personne. et ton ex?
- non plus, elle n'était plus vierge quand on s'est rencontré.
- Mariam non plus n'est pas vierge, elle me dis toujours " c'est toujours meilleur sans barrières".
- fais tomber les barrières alors!
- ça fait mal et...
Elle s'interrompra en me voyant avancer mes lèvres vers les siens, je m'attendais à ce qu'elle recule, qu'elle refuse mon baiser, mais elle n'en a rien fait, elle m'a laissé faire, sans bouger.
ses lèvres commençait à s'ouvrir lentement sous la pression de miennes, jusqu'à ce que ma langue se fraie un chemin vers la siennes.
- tu as toujours peur d'avoir mal?
- un peu, mais tu m'as l'air de quelqu'un qui sait faire.

- alors, laisse-moi faire!
Mes gestes accompagnèrent mes paroles, mes mains se posèrent sur sa cuisse, puis dans une douce caresse, j'entrepris de relever petit à petit sa jupe pour découvrir ses jambes. je remontais ma main jusqu'à son entrejambe, et j'ai commencé a masse sa chatte avec mes doigts, je sentais sa respiration s'accélérer petit à petit.
Quand j'ai essayé d'entrer ma main dans son slip, elle m'arrêta:
- non, je ne suis pas sûre...
Je l'ai pris alors par les épaules et je l'ai poussé doucement vers l'arrière pour qu'elle s'allonge sur la banquette, en la rassurant:
- n'aie pas peur, tu vas aimer, je te l'assure.
Ma main se posa sur ses seins, et je commençais à les masser pendant que mon autre main relevait son tee-shirt.
Elle ne résista pas quand je lui ai ôté son tee-shirt, ainsi j’ai pu découvrir sa poitrine elle avait de gros seins, coincés dans son soutien gorge que j'ai entrepris de défaire.
Une fois libérés, j'ai commencé à lui embrasser les seins, puis pris son téton entre les lèvres et le titilla longuement, je le sentais qui durcissait entre mes lèvre, et ses mains qui se posaient sur mes cheveux en exerçant une légère pression.
J’abandonnai ses seins pour descendre vers son ventre pendant que ma main remontait sa jupe.
Je commençai à embrasser sa cuisse en déplaçant mes lèvres vers son entrejambes. Je lui ai écarté un peu les cuisses, j'ai posé mes lèvres sur sa chatte et j'ai commencé à l'embrasser à travers son slip tout en lui caressant les seins jusqu'à ce que je sente sa culotte se mouiller.
J’ai alors relevé la tête, elle ouvrit les yeux et nos regards se sont croisés, j’entrepris de lui enlever son slip tout en en regardant ses yeux.
Cette fois elle n’a rien dit. J’ai repris ma reconnaissance buccale de son entrejambes, ma langue entrepris d’écarter ses lèvres, titiller son clitoris avant que mes lèvres ne se refermes autour de lui. J’ai continuais mes caresse jusqu’à ce que je sens qu’elle va bientôt jouir.
Ma tête se dégagea de sa main qui me caressait les cheveux en pressant de plus en plus fort ma tête contre son vagin. Elle semblait frustrée quand j’ai arrêté.
- continue, pourquoi tu t’arrête, c’était tellement bon…
J’ai pris sa main pour la poser sur ma bite gonflée derrière le jean, en lui murmurant :
- patience, la suite le sera encore plus.
Ses doigts commencèrent à me caresser, pendant que je mettais sa main droite sur ma ceinture, l’invitant ainsi à me débarrasser de mon pantalon. Elle l’ouvrit puis s’attaqua à mon tee-shirt me laissant finir d’enlever mon jean et mon caleçon, puis j’ai finis par lui enlever la jupe.
Je me remis alors à lui lécher le vagin, puis je remontais doucement vers son ventre, ses seins, ses lèvres que j’ai entrepris de l’embrasser pendant que je prenais place entre ses jambes.
J’ai commencé par passer lentement ma bite sur son clito, jusqu’à ce que je me fraye un chemin vers l’entrée du vagin, je sentis son corps se raidir, j’ai enfoncé ma bite un tout petit peu, puis la retirai, pour la rentrer de nouveau un peu plus loin, de plus en plus loin, je l’ai regardé dans les yeux, elle m’a sourit, je l’ai embrassé sur le front et j’ai poussé…
- ouuh
J’étais en elle.
fin du premier chapitre

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