Mon Amie D'Enfance Vanessa

Je m’appelle Eric, j’ai 30 ans, je mesure 1.90m et pèse 80kg. Je suis blond et bien que sportif, je n’ai pas un corps d’athlète mais je ne me plains pas. Depuis ma plus tendre jeunesse, je suis circoncis car j’ai eu un problème à l’age de 3 ans. A l’adolescence, j’étais plutôt quelqu’un de complexé par cette particularité et aussi parce que ma puberté est arrivée tard. Depuis je n’ai plus aucun problème avec les filles et même au contraire je pense que c’est plus hygiénique et donc plus attirant…

J’ai grandi dans un petit quartier résidentiel proche de la campagne en Lorraine et nous étions, à l’époque, toute une bande de copains et copines inséparables. J’étais particulièrement proche de Vanessa une brune aux yeux marrons qui possédait déjà pour son âge tous les atouts qu’une femme pouvait avoir. Sa poitrine était bien développée et ses hanches juste rebondies comme il le fallait. Elle mesure 1,68m pour 56kg (à l’époque…) J’ai beaucoup fantasmé sur elle pendant mon développement sexuel et nous avons même été plus loin tous les deux… Ce fut la première fille que je vis nue et inversement. Ses seins juvéniles défiaient la gravité malgré leur taille et son petit minou épilé me faisait rêver. Nous avons découvert ensemble et mis en pratique, grâce aux films X que je prenais à mon père, la fellation et le cunnilingus c’était un régal. Nous ne sommes jamais allés plus loin que les préliminaires même si j’en avais très envie à l’époque. Nos études nous ont séparé par la suite et nous avons eu nos expériences chacun de notre côté. Je vis maintenant avec ma future femme près de Grenoble et nous avons un en « fabrication » depuis deux mois ce qui est assez dur à vivre pour elle.

Il y a un mois de ça, je suis retourné dans ma région natale pour rendre visite à mes parents et au reste de ma famille. Ma fiancée était restée sur Grenoble pour son travail. Le fait de retourner dans mon quartier m’a rappelé pas mal de souvenir et l’envie me pris d’aller voir des copains et surtout Vanessa qui n’habitait pas très loin de là.

Après une première visite chez mon meilleur pote, je repartis un peux léger à cause des verres que l’on avait bus ensemble. J’arrivai chez Vanessa en milieu d’après-midi. Elle habitait dans un petit village isolé, son copain et ils venaient d’acheter un vieux corps de ferme afin de le retaper et en faire un loft moderne. Les travaux étaient déjà bien avancés mais il restait encore du travail.

Je sonnais à la porte, je n’avais pas prévenu de ma visite, je voulais lui faire une surprise. Finalement je fus aussi surpris lorsque je vis qu’elle était enceinte mais de plus de sept mois. Elle se jeta presque dans mes bras tellement elle était heureuse de me revoir, je l’étais aussi. Elle était toujours aussi jolie et sa grossesse bien avancée ne lui enlevait rien. Sa poitrine avait triplé par rapport à mes souvenirs et elle gardait toujours ses hanches fines et rebondies de sa jeunesse. Elle portait une robe légère pour la saison qui laissait bien apparaître la forme de ses seins lourds, je devinais même la couleur marquée de ses tétons foncés à travers le tissu. Contrairement aux autres femmes dans le même état, sa robe était plutôt moulante et courte laissant voir ses jolies jambes galbées depuis la mi-cuisse et marquant la rondeur de son ventre.

Elle était seule son copain travaillait d’après-midi. Elle me fit visiter les pièces terminées de leur maison et elle me proposa un verre. Je l’accompagnai dans la cuisine pour l’aider car elle avait un peu de mal à se baisser. Ce fut justement en me baissant pour prendre des boissons que je pus admirer le haut de ses cuisses ainsi que la naissance de ses fesses sous un shorty de coton blanc. Cette vision me rappela nos ébats de débutant et l’image de sa vulve juvénile entièrement dépourvue de poil me revint à l’esprit. L’alcool aidant, mes pensées vagabondaient et devenaient de plus en plus chaudes.

Nous avons pris notre verre dans le salon où nous avons commencé à parler des souvenirs et de nos parcours personnels.
De son côté, elle n’avait pas connu beaucoup de partenaires. Elle avait rencontré le père de sa future fille il y a maintenant 8 ans. Je lui racontais que j’avais pas mal « butiné » surtout pendant la période des études et que j’ai connu ma future femme par des relations de travail. Je la dévisageais et je parcourais son corps de mon regard. Je la trouvais magnifique avec son ventre tendu et ses seins qui paraissaient comme des biberons.

Après quelques minutes à parler, elle du s’allonger sur le canapé pour soulager son dos. Elle me demanda de l’aide pour lui apporter un oreiller et trouver la bonne position. Je me retrouvai derrière elle et j’avais une vue imprenable sur son décolleté profond. Pour reprendre ma place je fis le tour et je passai à ses pieds, elle avait les jambes fléchies et m’offrait un panorama sans pareil sur son entre-jambes. Mon regard scotcha sur cet endroit précis essayant sûrement d’apercevoir la forme de ses lèvres intime à travers le coton.

Elle me réveilla de mes songes lubriques :
- Tu n’as rien perdu de tes souvenirs ?
- Euh! … excuse moi … je ne voulais pas … enfin c’était en passant…
Je suis parti dans un fou rire et elle me suivit avant d’ajouter :
- Ce n’est pas grave c’est pas comme si on avait jamais rien fait…
- Disons qu’on se connaît bien…
- Oui c’était le bon temps…
- Pour moi aussi ce sont de bons souvenirs
- Et tu viens me voir quand je ressemble à un ballon !
- Tu rigoles ! …je te trouve très belle en future maman…j’adore

Le silence s’installa. Elle paraissait troublée par mes paroles. Je repris la parole :
- Ma fiancée aussi est enceinte mais seulement de deux mois et ce n’est pas facile à vivre en ce moment elle a des nausées fréquentes…
- Ça passera j’en ai bavé moi aussi au début…
- Tu me rassures…
- Par contre, il faut que tu lui montres qu’elle te plait encore malgré son changement physique, elle doit se sentir attirante à tes yeux…
- Comme je te trouve attirante maintenant, alors je n’aurai pas de mal…
- Tu me chauffes là ?
- Non sans blague, je trouve que la grossesse chez les femmes leur donne un charme fou particulièrement vers la fin…

Je me levai pour m’asseoir du côté de ses jambes pour reprendre ma vue sur son enveloppe maternelle et je me rendis compte que son shorty était marqué par une tache humide au niveau de l’entrée de son vagin.
Je sentis mon sexe gonfler rapidement. L’occasion était trop belle, je ne pus m’empêcher de faire une remarque assez lourde :

- On dirait que tu commences à perdre les eaux… !
- C’est de ta faute, me dit-elle en souriant

Elle écarta un peu plus ses jambes fléchies pour me laisser profiter du spectacle ce qui accentua mon érection. Je me sentais vraiment à l’étroit dans mon boxer. Pour vraiment me faire comprendre ses envies, elle posa son pied sur mon barreau en regardant dans les yeux. Je savais que les femmes enceintes étaient très gourmandes du fait de leurs hormones et ce fut confirmé par les petits massages qu’elle faisait sur ma virilité.

Elle me demanda :
- On reprend où on s’était arrêté ?
- D’accord mais c’est moi qui commence…

Je me penchai vers ses jambes pour les embrasser sur toute leur longueur et je retrouvai son parfum que j’avais découvert plus de 10 ans auparavant. Je remontai le long de ses cuisses maintenant bien ouvertes et j’arrivai sur sa fine barrière de tissu. Ses grandes lèvres intimes apparaissaient de chaque côté tant elle s’ouvrait à mes avances. Je donnai des coups de langue à travers le tissu en insistant bien sur son bouton. Je sentais sa mouille lui inonder la raie. Elle avait les yeux fermés et respirait profondément, son excitation montait au rythme de mes caresses. Je me relevai pour me mettre à genoux au sol à côté d’elle afin de profiter de sa poitrine. Je l’embrassai tout en malaxant ses mamelles à travers le tissu de la robe, ma 2e main descendait vers sa chatte en m’arrêtant sur son joli ventre rond.

Je passai sous son shorty pour sentir sa vulve totalement épilée et dilatée par sa grossesse. Mes doigts s’insinuèrent dans sa raie depuis son bouton jusqu’à son petit trou. Elle lâcha un long gémissement au passage sur ce point sensible. A l’époque, elle était plutôt contre mes avances de ce côté. Je pensais que depuis elle avait découvert le plaisir anal.


- Tu aimes quand je te caresse de ce côté ?
- Depuis le début de ma grossesse j’ai des envies de nouvelles expériences et ça en fait partie…
- Tu n’as jamais fait avec ton copain
- Non je n’ai jamais voulu avant mais là j’en ai envie avec toi, en plus ce sera une première de plus entre nous

Mon excitation était à son comble, le fait de l’imaginer déjà prête à me recevoir dans son œillet me rendait fou. J’enlevai mon pantalon avec hâte pour lui donner accès à ma bite douloureuse. Elle commença par me branler avant de m’avaler presque entièrement. Je retirai son shorty et j’entamai aussi une masturbation délicate de chaque partie de son entre-jambes et de son cul.
Après lui avoir r le clito, j’introduis un doigt dans sa fente trempée. De l’autre main j’avais fait ressortir un sein de la robe pour enfin téter ce biberon naturel. Je sentais du liquide amer sortir lors de mes sucions c’était excellent. Après avoir bien lubrifié mes doigts dans son vagin, je pointai mon majeur luisant à l’entrée de son anus. Sans aucune difficulté, il entra entièrement lui arrachant un râle de plaisir étouffé par mon chibre encore dans sa bouche.

Sa pipe était divine et j’avais du mal à me concentrer pour ne pas décharger dans sa bouche. Puis elle accéléra ses va et vient car elle me sentait au bord de la jouissance.

- Je ne vais plus résister longtemps si tu continues… !
- Viens dans ma bouche je veux te boire, laisse toi aller… !

Après ça je ne donnai plus aucune résistance et je sentis monter le plaisir le long de ma tige avant d’exploser dans sa bouche. Mes jets de sperme étaient forts et abondant tant mon plaisir était intense.
J’adore cette sensation de laisser aller lorsque je décharge dans la bouche de ma copine et là dans celle de Vanessa. Elle avala tout ce que je lui avais donné et me nettoya complètement comme une gourmande qu’elle était.

Je n’avais plus de jambes mais j’avais envie de lui rendre ce qu’elle m’avait donné. Je retournai du côté de sa chatte pour me caler entre ses cuisses et entamer des léchouilles qu’elle aimait tant. J’admirai sa vulve de femme enceinte, elle était plus large comme dilatée mais aussi beaucoup plus sensible. Chacun de mes coups de langue la faisait vibrer. Je me mis à jouer avec son bouton et dans le même temps je pénétrai son vagin et son cul. Ce traitement la fit crier de plaisir et elle se mit à bouger les hanches pour accen mon mouvement de va et vient. Elle ne résista pas longtemps et lorsque j’accélérai mes mouvements et ma langue je la sentis se raidir avant d’être soumise à des spasmes sur tout le corps. C’est alors que des jets de mouille m’inondèrent le visage. Je ne voulais pas perdre une goutte de son cadeau, j’ouvris la bouche en grand et me collai sur sa chatte pour boire son nectar intime.

Après ce coup de tonnerre elle se redressa sur ses coudes pour me regarder, j’étais trempé de sa mouille. Elle se mit à rire avant de me dire :

- Tu t’es amélioré avec le temps !
- C’est valable pour toi aussi, tu m’as bien eu… !
- Par contre j’ai une folle envie de faire pipi maintenant…
- Eh bien vas-y…
- Je n’ai pas envie de me déplacer…

Lors de nos ébats juvéniles, nous voulions aussi découvrir comment faisait pipi les filles et les garçons alors nous avions fait chacun devant l’autre déjà à l’époque j’étais fasciné par ce jet d’urine féminine.

- Fais sur le carrelage alors, je veux voir comment ça marche chez les filles…
Je lui fis un clin d’œil en souvenir du passé

- Chiche… !
- Chiche… !

Elle se plaça au bord su canapé avant d’écarter et de remonter ses jambes sur son ventre. Je voyais sa chatte luisante de sa jouissance dilatée par mes doigts et son état jusqu’à son petit trou. Comme sortit de nulle part, un jet continu de liquide doré tomba sur le sol avec ce bruit si caractéristique d’une femme qui urine. Elle écarta ses lèvres intimes pour guider le jet plus haut, je n’en perdais pas une miette. Des gouttes perlaient le long de sa raie intime et coulaient jusqu’à son derrière. Ma verge reprenait de la vigueur. Elle termina son affaire alors que j’approchai ma main de son petit trou pour le titiller. Je la repris en bouche pour sentir les restes de son liquide chaud et pour reprendre sa lubrification avec ma salive.

Elle me supplia de la prendre. Je me levai pour présenter ma tige devant sa grotte elle avait gardé sa position très ouverte. J’entrai en elle sans difficulté et avec précaution c’était la première fois que je faisais l’amour à une femme enceinte de 7 mois. J’étais tout contre son ventre et je sentais mon sexe aspiré dans ce puit de bonheur. Je repris un sein dans ma bouche pour le téter et je passai ma main sous ses fesses pour lui doigter son œillet. Elle gémissait avec force elle écarta encore plus ses 2 globes de chair pour m’ouvrir la voie secondaire.

- Encules moi… Je te veux dans mon petit trou… Remplis-moi le cul…Vas-y… !

Je sortis ma verge de sa chatte pour passer juste en dessous. Elle était complètement ouverte, mon gland entra entièrement, elle soupira, je m’immobilisai pour profiter de la situation…

- Vas-y profond d’un coup… !

Je m’enfonçai dans ses entrailles entièrement d’un coup, elle hurla son plaisir. C’était étroit et ma sensation était décuplée. Comme il s’agissait de son cul et que le bébé ne risquait rien j’entrepris de la défoncer mais gentiment. Je la limais avec toute la longueur de ma queue et tout à coup elle cria :

- Oh non je crois que je vais pisser… !
- Vas-y lâches toi ! …Pisse… !

C’est le syndrome des femmes enceintes elles ont souvent envie de pisser. Je ne comptais pas arrêter ma besogne et sentir son liquide chaud asperger le bas ventre ne me faisait pas peur, au contraire, ça m’excitait.

Elle pissa d’un long jet chaud qui s’écrasa sur mon ventre et mon pubis. Quelle sensation je vivais, j’enculais ma meilleure amie d’enfance enceinte et elle pissait en même temps ne pouvant se retenir. Avec ces deux sensations en même temps, Vanessa jouit profondément mêlant sa mouille à son urine.

Mon excitation était à son comble et je sentais ma 2e explosion sur le point de venir. Je lui indiquais mon état et elle me dit :

- Laisse toi aller en moi, je veux te sentir te vider… !

Deux mouvements plus tard, je me lâchai dans son petit trou, je sentais mon foutre la remplir. Je me retirai rapidement pour offrir mes dernières gouttes à ses seins. Pour me nettoyer, elle m’aspira la queue ramollie complètement dans sa gorge et réussi à faire venir un dernier jet dans sa bouche. J’étais sur un nuage et je planais, dix ans après nos premiers ébats, je venais de prendre Vanessa par tous les trous. Son corps de future mère paraissait si épanoui allongé sur ce canapé, j’aurais pu lui faire l’amour toute la soirée mais son ami devait rentrer alors nous avons pris une douche ensemble ou je pris soin de la masser dans ses zones sensibles et d’embrasser une dernière fois ses mamelles laiteuses.

Je pense que la suite de la grossesse de ma copine va très bien se passer…

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