Un Jeune Touriste Au Quartier Latin.

J'adore draguer les touristes, filles ou mecs. Avec eux, je me permets des choses que je ne me permettrais pas avec des compatriotes. Je peux devenir super macho : j'ai l'impression qu'ils l'acceptent car c'est exactement l'attitude qu'il attendent des français, et puis de toute façon, ils ne sont que de passage alors…

Quand je dois aller à Paris pour mon boulot, je choisis un hôtel dans un coin hyper touristique, genre près de Saint-Michel. Et le soir, je drague dans les ruelles avoisinantes. Mon kif, c'est de draguer des petites asiatiques, elles sont vraiment trop bonnes ! Mais aujourd'hui, j'ai repéré un jeune anglo-saxon qui me plait vachement.

C'est un garçon d'environ 25 ans, ni grand ni petit, assez costaud mais pas gros. Il porte un pantacourt, un T-shirt un peu plouc, des skets, et bien sûr le sac à dos du touriste. Il a les cheveux clairs, taillés courts, et la peau très pâle : c'est peut-être un anglais. Il n'a rien d'extraordinaire, si ce n'est des pectoraux magnifiquement ronds que son T-shirt moule à merveille. Je le suis dans la foule : il s'assoit à une terrasse de bar et commande.

Je vais faire un petit tour puis reviens m'asseoir à une table voisine.

Il est en train de lire un guide touristique sur Paris devant un bock de bière. Apparemment, il n'attend personne. Je fixe les yeux sur lui et scrute tous les détails de son corps sans aucune gêne.

Il m'excite bien : son allure un peu relâchée (rasage imparfait, cheveux mal lavés, vêtements pas repassés), son côté provincial et son attitude un peu sur ses gardes dans cette ville étrangère m'émeuvent et commencent à me faire bander.

Bien sûr, il finit par sentir un regard peser sur lui. Il lève la tête et me voit. Je le regarde dans les yeux avec le plus grand naturel. Il baisse la tête et se force à continuer à lire son guide.

Il vide sa bière, hèle un serveur et paie en évitant mon regard.

Mais : il ne part pas ! Il continue de feuilleter son bouquin. Ça dure assez longtemps : je ne le quitte pas des yeux. Puis, il fait semblant de regarder vers le comptoir mais je vois bien qu'il essaie de me voir du coin de l'œil. Finalement, il ne peut s'empêcher de regarder vers moi, et voyant que je le fixe toujours, il rebaisse aussitôt les yeux sur son livre.

Primo : j'ai la quasi certitude d'avoir vu ses joues rougir très légèrement à ce moment-là.
Deuxio : il a payé, vidé sa bière et pourtant il ne part pas.
Tout cela équivaut pour moi à un consentement sans ambiguïté. Je me lève donc et vais m'asseoir à sa table, à côté de lui.

– Bonjour, je lui dis

Il répond « Bonjour » avec un accent très anglo-saxon et une voix faiblarde, légèrement émue. Je m'approche et en posant la main sur son épaule, je lui dis :

– My hotel is two minutes from here. Follow me.

J'adore me comporter comme ça ! Mon adrénaline est au top et je bande super fort. Évidemment, il vient avec moi.

Une fois dans ma chambre, je lui demande de se désaper. Il est pas mal : en particulier, il a une petite touffe de poils blonds presque roux dans la raie de son cul qui font presque comme une chatte. J'adore. Aussi, après l'avoir bien palpé un peu partout, je le fais mettre à quatre pattes sur le lit, cul tendu vers moi.

Posté derrière lui, je peux tranquillement lui masser les fesses, lui caresser son dos musclé et passer ma main sous son torse pour en palper les belles rondeurs, ainsi que ses abdos juvéniles et sa bi-bite bien dressée.

– Put a finger into your ass, je lui demande.

Il se cambre, se suce le majeur et se l'enfonce précautionneusement dans le cul. Je prends un tube de gel et en balance une giclée dans les poils de sa raie. Il y tourne son doigt et le replonge voluptueusement dans son petit trou bien chaud. Puis il en met un deuxième.

Je me déshabille tranquillement derrière lui tout en l'observant se branler ainsi la rondelle, dans cette position obscène, à quatre pattes.
Pendant que j'enlève mon jean, j'étends l'autre bras et lui caresse le visage. Je force le passage de ses lèvres et lui glisse mon majeur et mon index dans la bouche : il les suce docilement. Je les retire et les enfonce à mon tour dans son cul. Hmmm : c'est chaud, c'est doux, on y est vraiment bien, et je bande à m'en faire craquer la peau du gland !

Je mets une capote, et en enfonçant ma queue dans son trou, je ne peux m'empêcher de pousser un grand râle de plaisir. Ça me parcourt le corps entier, me saisit la poitrine comme une secousse violente, et je pousse ma queue tout au fond de son cul bien ouvert en fermant les yeux. J'entends à peine son soupir de surprise. Puis mes jambes vacillent et je ne peux m'empêcher de me laisser lourdement tomber sur lui dans un grand souffle de satisfaction.

Sous mon poids, il est tombé à plat ventre sur le lit. Mon menton calé sur son épaule, le torse lourdement plaqué sur son dos, je commence alors à le sodomiser longuement en soupirant très fort dans son oreille.

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