Une Bourgeoise Qui Se Découvre Salope .

Bonjour à tous.
C'est en prêtant une oreille curieuse à une discution voisine que j'ai entendu parler de ce site. L’idée depuis me ronge, j'ai cherché un peu et vite trouvé de quoi il agissait. Je me doutais bien du contenu mais intrigué, je me suis mise à lire avec gourmandise et plaisir des tonnes de récits plus plaisant les uns que les autres.
Je me dis depuis quelques semaines que je pourrais moi aussi m'étaler ici, partager mon vécu, mes histoires inavouées. Pourquoi pas me servir de cet endroit pour soulager mes remords, mes secrets. Oserai je aller au bout ?

Bref, je me présente un peu. Je suis une femme mariée âgée de 41 ans. J'ai la chance d'avoir épousé un homme d'affaire qui me comble de toute part. Pour que vous vous fassiez une idée : Je ne travaille plus depuis 15 ans. Nous avons une superbe maison, une femme de ménage, un jardinier. Je ne fais que les grandes boutiques. J'ai mon véhicule perso ... un petit cabriolet sportif. La voiture de mon mari, une grande berline noire aux vitres teintées reste à ma disposition. Je ne porte que des vêtements de luxe, lingerie chic ..... Voila en quelques mots l'image que je peu renvoyer. Une bourgeoise très distinguée plantée sur ses talons hauts, inaccessible pour la majorité des gens. Malgré tout, je me sens ordinaire, sympa et ouverte, profitant simplement de ce que la vie a mis à ma porté.
J'ai toujours été fidèle à mon mari malgré ses longues absences et le peu de temps qu'il a à me consacrer. J'occupe donc mes journées entre mon grand chez moi que je décore à ma guise, ma salle de sport, ma piscine. Mes ballades de boutiques en boutiques et mon cher mari que j'essaie de combler au mieux.

Depuis 19 ans, je me suis faite à cette vie et pour rien au monde je ne changerai !
Le décor étant planté, j'en arrive donc à se qui m'amène ici. Tout a démarré il y a environ deux ans. Mon mari était absent, à l'étranger pour affaire. Le jardinier passant deux fois par semaines pour entretenir pelouse, jardin, et haies me signifiait que la tondeuse était en panne malgré un long moment à tenter de la réparer et qu'il faudrait faire appel à un dépanneur avant sa prochaine venue.

Je me suis donc mise en quête de trouver l'âme soeur. Pas compliqué, j'ai trouvé simplement dans l'annuaire la société à déquatre ! Rendez vous était pris pour le vendredi de la même semaine en début d'après midi.
J'avais complètement oublié se rendez vous, j'étais sortie toute la matinée en compagnie d'une amie faire les boutiques en ville. Je suis rentré vers 13 heures chez moi, loin de songer à cette tondeuse ! Il faisait frais, j'étais en robe noire moulante et plutôt courte, de joli bas de soie noir et des dessous chic mais relativement simple, string et soutien gorge noir et rouge. J'allais passer par la chambre me mettre à l'aise lorsque la sonnerie de la porte d'entré à retentis. C'est là que j'ai découvert cet homme à moitié chauve, bedonnant, la cigarette à la bouche, une caisse à la main. C'était donc le dépanneur. Pas très agréable au regard le type ! Mal rasé, l'air renfrogné, se présentant à peine. Je me suis exclamé en comprenant mon oublie. Jonché sur mes talons hauts, je l'invitais à me suivre. Je devais avoir l'air maligne traversant le jardin sur la pointe des pieds pour éviter d'enfoncer mes talons dans la terre. J'ai donc ouvert le chalet lui indiquant le tracteur faisant l'objet de mon appel. L'homme a alors levé le capot fourrant son nez dans le moteur et tentant de le démarrer à son tour sans résultat. C'est à ce moment qu'il me demanda de m'asseoir sur la machine pour essayer de démarrer ! Là, j'ai grogné en lui rétorquant que je ne savais même pas le mettre en marche ! Son ton roque m'a troublé !
" Allé ma gentille dame ...posez vos fesses la dessus et enfoncez la pédale !"
Vous imaginez un peu la scène ? Sans même comprendre se qu'il m'arrivait, j'ai enjambé la carcasse du tracteur pour poser mes fesses comme il me l'avait si autoritairement demandé. Que m'arrivait il ? J’obéissais telle une gamine et me retrouvais assise, les cuisses écartées enfonçant avec peine une pédale ! L'homme tout sourire dehors ne se gênait pas pour se rincer l’oeil.
Après quelques essais, il a du toucher ou il le fallait puis ce que le brouhaha du moteur c'est fait entendre. La fumée des gaz d'échappement m'a vite saisie la gorge. Il coupa lui même le moteur en tournant la clef, le calme revint dans la petite pièce. Le regard plongé sur mon entre jambe il souriait comme un à qui l'on venait de donner une confiserie. J'eu dans l'esprit de vite arrêter ce petit jeu en me levant du siège. J'enjambais alors le tracteur pour me sortir de cette situation ridicule quand l'homme me saisie par les hanches. D'une force inouïe, il me plaqua le ventre sur le capot qu'il venait de refermer. Je vis rouge un instant, me débattant en vain. Il me fourra une main aux fesses cherchant à s'introduire sous le pauvre petit bout de tissus qui me cachait l'intimité. Un instant j'ai crié ! Mais une main épaisse eu vite fait de me faire taire. Dans les grondement j'entendais juste quelques mots ....." petite salope ça sera gratuit pour toi ! " En quelques seconde je me suis retrouvé avec ce type entre les jambes me fourrant sa queue entre les cuisses ! La pénétration fut violente ! Il se ruât en moi comme une bête me tenant plaqué sur la carcasse. Il m'a baisé ainsi durant un bon dix minutes avant de se reculer. Je n'avais plus de main sur la bouche et je n'hurlais plus ... !!! Le type m'a alors envoyé sa dose de sperme sur le bas du dos en grognant des mots extrêmement cochon du style : " quelle pute, quel cul tu as ma salope ! etc ..;" Je n'ai rien répondu me contentant de rebaisser ma robe comme choqué de ce qu'il venait de m'arriver. L'homme m'a encore dit que je ne lui devais rien, je l'ai accompagné à la porte toujours comme si rien ne c'était passé puis il a disparut ! Les sentiments étaient étrange, comment devais je réagir ? Rien ...je n'ai rien dit, personne ne connaît cet épisode. Au fond de moi bien après coup, je pense avoir éprouvé un certain plaisir, une grosse excitation lorsque j'y repense. J'avouerai même m'être caressée en repensant à cet instant.
Quinze jours se sont passés, mon mari rentré puis repartie et j'ai alors constaté que........J'avais une certaine envie de remettre cela. Me sentir salope, me sentir dominé de la sorte. J'ai résisté deux mois avant de succomber à mes envies et me lancer dans de nouvelles expériences bien plus volontaire de ma part !
Celles ci feront l'objet de mes prochains récits rapidement je pense.
Merci à tous. Je joins une adresse mail pour connaître votre ressentit.
Bisou.

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