Troisième Partie De Soirée Extrême

Quelques instants plus tard, Véronique nous rejoignit. Isabelle se redressa et l’enlaça. Elle en profita pour la peloter car ma chérie avait laissé son petit top à la salle de bains et elle était torse nu. Dans son regard, je compris tout de suite ce qu’elle voulait : que je la prenne mais je venais de me vider les couilles dans la gorge d’Isabelle.

- Chéri tu viens me gâter s’il te plait.
- Ok, mais pas tout de suite, laisse moi refaire le plein d’énergie.
- J’ai le feu entre les cuisses, j’aimerais une grosse queue bien raide.

Isabelle répondit alors :

- Attendez moi une seconde, j’ai peut être ce qu’il vous faut…

Ma femme vint alors se frotter contre moi, me caressant le sexe sans résultat. Elle me roula une pelle sachant que cela m’exciterait peut être. Elle me dit alors :

- Allonge toi et écarte les cuisses et remonte tes genoux.

Elle me glissa un doigt entre les fesses jusqu’à mon anus. C’était très sec. Elle mouilla alors son doigt avec sa salive et recommença plusieurs fois. Une fois mon anus lubrifié par sa salive, elle me pénétra d’un seul coup. Je sentis alors l’érection arriver.

- Ah tu aimes cela mon salaud me dit-elle. Ca te fait bander.
- Suce moi en même temps, maintenant qu’Isabelle t’a initiée.

Elle ne se fit pas prier. Tout en me doigtant l’anus, ma femme lécha mon sexe. Soudain Isabelle entra dans la chambre. Ce que je vis m’excita au plus haut point mais aussi m’angoissa quelque peu. Isabelle s’était remaquillée, mais surtout elle avait enfilé un superbe gode ceinture en vinyle noir brillant, des gants en vinyle noirs qui remontaient jusqu’au coude et avait laissé ses longues bottes. Mon sexe se durcit encore un peu plus me faisant un peu mal. Ma femme arrêta, se releva et se dirigea vers Isabelle :

- Wouah, la tenue, c’est pour moi, pour me prendre lui demanda t-elle.
- Oui ma chérie mais tu vas commencer par me sucer pendant que ton mari nous regarde.



Véronique obéis et prit ce gode noir dans sa bouche le lubrifiant avec sa salive. Il brillait et luisait. Isabelle m’excitait avec ses gants et ses lèvres rouges qu’elle mouillait avec sa langue. Elle tenait la tête de Véronique et accompagnait ses mouvements. Je bandais juste de les regarder. Isabelle me fit signe de m’approcher et me demanda :

- Qu’est-ce qui t’excite? Tu as la queue bien dure en me tâtant le sexe avec sa main gantée.
- C’est toi qui m’excite avec tous tes accessoires : tes gants, ton sexe et tes lèvres pulpeuses
- Roule moi une pelle et suce mes lèvres.

Ce que je fis sans me faire prier une seconde fois. Je lui dévorais les lèvres, lui suçais sa langue. Mon sexe me faisait mal tellement j’étais excité. Isabelle s’en régalait et dit à ma femme :

- On va s’occuper de ton mari et lui faire un plaisir un peu spécial.

Elle me fit mettre à quatre pattes sur le lit en levrette, m’écarta les fesses et commença à me lécher l’anus. Ma femme regardait, puis vint se positionner à plat ventre sous mon corps, releva son cul et frotta ses fesses contre mon sexe dur. Elle me demandait d’être prise. J’enfilai donc mon sexe entre ses cuisses. Elle le guida et se l’enfonça dans sa petite chatte. Isabelle continuait son léchage mais en plus me caressait la poitrine avec ses gants en vinyle. Ma femme s’excitait sur mon sexe et réclamait que je la défonce un peu plus fort. Isabelle arrêta de me lécher et me demanda si ça me plaisait. Je lui répondis que ça me mettait dans un état d’excitation terrible. Elle prit ma tête avec sa main et me fourra sa langue dans ma bouche et me dit doucement qu’elle allait enfoncer son doigt dans mon cul. Tout en continuant de tringler ma femme je sentis le doigt d’Isabelle s’enfoncer doucement dans mon anus tout lubrifié. Elle imprima alors un rythme qui me régalait. En même temps elle me reléchait la bouche de sa salive. Ma femme commençait à jouir et elle me réclamait d’aller toujours plus vite.
J’accélérai donc le rythme et le ou les doigts d’Isabelle me défonçait le cul au même rythme. C’était le pied !! Puis Isabelle se redressa derrière moi, arrêta de me défoncer puis je sentis alors quelque chose de plus gros se frotter sur mon anus. Je dus arrêter de pilonner ma femme qui râlait et Isabelle me prévint qu’elle allait me pénétrer avec son gode. Je me retournais et la regardais avec angoisse. Comment cet engin allait-il rentrer dans mon cul ? Elle me souria, m’embrassa goulûment et me rassura. Je sentis alors cet engin énorme m’effleurer l’anus et doucement elle l’enfonça. C’était énorme, je me sentais dans un autre monde. Le plaisir mélangé à la douleur rectale c’était extra !! Ma femme me réclamait une pénétration plus intense car elle sentait la jouissance arriver. Elle ne se doutait pas que j’étais en train de me faire éclater le cul par sa meilleure copine !! Isabelle ne se ménageait pas, elle me pénétrait sans ménagement me tenant par la taille. Je sentais cette grosse queue aller et venir. Puis ma femme gémit de plaisir intense, elle jouissait comme une folle voulant sentir ma queue au plus profond de son sexe. Puis elle tomba comme une masse à plat ventre sur le lit. Isabelle continuait son pilonnage, puis elle ralentit, se retira de mon cul, empoigna ma queue dans sa main et me dit :
- Je veux jouir avec ta queue et aussi avec mon gode.
Elle retira son gode ceinture, retourna ma femme à demi inconsciente sur le dos, lui enfila difficilement le gode et puis elle vint s’asseoir dessus imprimant de légers va et vient. Elle se coucha sur ma femme. Avec ses mains elle écarta ses fesses et me demanda de l’enculer.
Je m’accroupis donc derrière son cul, dirigea ma queue vers son petit oeillet rose et l’enfonça sans ménagement. Elle hurla de plaisir ou de douleur, je ne le savais pas mais en tout cas je me régalais. Je sortais ma queue puis la rentrait à nouveau encore plus loin, plus fort. Isabelle hurlait. Ma femme comprit alors la situation et s’activa de son côté en accélérant ses mouvements.
J’étais en train de vivre en tant qu’acteur une double pénétration. Ce n’était pas un film que je regardais mais je vivais cela à fond (c’est le cas de le dire). Isabelle finit par jouir très fort et moi je me vidais au fond de ses entrailles. On finit tous ensembles couchés sur le lit, ne savants pas très bien ce qui nous arrivait. Je regardais ma montre, il était près de 2h du matin. Je venais de prendre mon pied pour la troisième fois.

Puis on décida de coucher tous ensemble dans notre grand lit. Ma femme se déshabilla et enfila son petit pyjama de satin rose, se démaquilla et se coucha la première. Isabelle traînait un peu et me demanda :
- Je vais me démaquiller mais je me remettrai du rouge aux lèvres pour aller au lit. Ca te plairait.
- Bien sûr, j’adore cela.

Elle s’approcha de moi et m’embrassa ou plutôt me suça la langue. Je sentais mon sexe se raidir mais il fallait que l’on dorme. J’allais donc me coucher. Je me lovais derrière ma femme qui se laissait faire. Elle me caressa gentiment le sexe et le glissa entre ses fesses en me disant qu’elle voulait sentir ma queue. Puis elle s’endormit. Isabelle arriva en peignoir ou plutôt en déshabillé rouge soyeux et fit de même. Elle se lova derrière mes fesses mais elle n’avait pas sommeil. Elle me léchait le lobe des oreilles. Je sentais ses doigts s’immiscer dans mes parties intimes. Elle prit mon sexe dans ses doigts et dégagea mon gland qui se mit à durcir immédiatement. Elle se mit à me branler délicatement, puis je sentis son autre main glisser le long de ma raie et elle me demanda de me laisser faire. Elle enfonça un doigt dans mon anus mais il était devenu sec et je lui demandai d’arrêter ses caresses car il fallait dormir.

- Roule moi une pelle et laisse toi faire. J’ai trop envie de ton sexe et en plus devant ta femme, ça m’excite encore plus.

Je me retournais et Isabelle m’embrassa comme jamais. Je sentais son rouge sur ma langue et la sensation était unique.
Elle en profitait car elle avait compris que j’adorais cela. Ce baiser dura une éternité. Isabelle sortait sa langue, léchait mes lèvres mes dents ma langue puis nos lèvres se collaient et sa langue fourrageait à l’intérieur de ma bouche, suçait ma langue. C’était divin et j’étais en pleine érection. Elle se colla contre moi et empoigna mon sexe qu’elle dirigea entre ses cuisses. Elle se caressa le clito en frottant ma queue dessus. Elle était tellement excitée que je sentis très rapidement sa jouissance.

- Retourne toi et pelote les seins de ta femme me fis-elle après avoir joui.

Sans désobéir je m’exécutai et entrepris ma femme qui dormait profondément. Je lui malaxais la poitrine et j’aimais cela. Puis je sentis quelque chose de mouillé glisser le long de ma raie.

- Isabelle, qu’est-ce que tu fais?
- Rien, j’ai juste mouillé mon doigt pour t’enculer mon chéri répondit-elle
- Vas-y doucement

Isabelle me pénétra doucement. Hmm, c’était bon j’avais envie de jouir à nouveau. Puis je sentis son autre main se saisir de mon sexe. Elle décalotta le gland et se mit à me branler énergiquement. Elle dirigea mon sexe contre les fesses de Véro et me dit :

- T’as envie de l’enculer hein!
- Oui, très envie
- Je te la chaufferai demain après le petit-déj et tu l’enculeras à fond mais pour l’instant tu vas jouir dans mes doigts et contre son cul.

Isabelle accéléra le rythme et continua aussi de m’enculer. J’étais pris de partout. Je ne mis pas très longtemps pour jouir. J’éjaculais dans les doigts d’Isabelle qui enfonça en même temps son doigt le plus loin possible dans mon anus. Puis elle étala le sperme sur les fesses de Véro et se lécha les doigts. Puis on s’endormit très rapidement. Mes amis quelle nuit !!

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