Je Ne Suis Pas Une Salope Et Pourtant...

"Je ne suis pas une salope, je ne suis pas une salope..."

C'est ce que j'essayais de me répéter pour me convaincre depuis mes 15 ans, et je me le répète encore aujourd'hui. J'ai 23 ans. C'est ce que je me dis aussi en rentrant de boite apres avoir sucé un mec dans les toilettes, ou bien après m'être faite ramener et baiser par un homme dans sa voiture en bas de chez moi.

Au fait je m'appelle Marge, je fais 1m63 pour 50 kilos, les cheveux châtain foncé et quelques mèches blondes en ce moment, des yeux bleus et un 90B en tour de poitrine. Ah oui, j'allais oublier : j'ai une très jolie bouche paraît-il. Mon copain dit qu'elle est sensuelle et les autres (amants de passage par exemple) disent plutôt qu'elle est parfaite et qu'elle a été prévue pour sucer... et vu que j'adore le faire, je prends ça comme un compliment!

Oui j'ai un copain avec qui je suis depuis 2 ans. Sexuellement ça va pas mal, mais il me faut de temps en temps des sensations fortes. J'éprouve le besoin de me faire prendre sauvagement, ou de sentir une belle queue grossir dans ma bouche. En fait ce que j'adore c'est sentir l'excitation et l'envie chez un homme quand il me regarde de bas en haut, quand je me penche pour lui laisser entrevoir mon décolleté, ou encore quand je m'amuse à marcher en balançant des hanches, perchée sur mes talons hauts.

Je vais vous raconter une histoire très excitante qui m'est arrivée récemment.

J'accompagnais mon ami à un repas dans un restaurant, avec quelques uns de ses collègues ainsi que son patron, pour fêter la réussite d'un projet. Pour l'occasion, j'avais choisi une petite jupe noire au dessus des genoux, mais fendue assez haut sur une des cuisses, assortie d'un chemisier beige très légèrement transparent. En ce qui concerne les dessous, j'avais opté pour un ensemble string, soutien-gorge balconnet et bas dim noirs, et pour conclure une paire de chaussures beiges à talons hauts.



Au restaurant une grande table en U avait été réservée et les places étaient prédéfinies, mon ami près de son patron avec ses collègues, moi sur un autre bout avec d'autres femmes d'employés et aussi quelques hommes, dont un à coté de moi. Il avait une quarantaine d'années.

L'apéritif passe, on commence à discuter tous les deux de banalités mais au fur et à mesure que nous parlons, et que je l'observe, je commence à sentir une pointe d'envie dans son regard. C'est cette envie qui me plait tant chez un homme, surtout un plus âgé que moi. Je trouve ça encore plus excitant!

Je surprends à plusieurs reprises ses yeux déviés vers mon décolleté; il est vrai que j'avais déboutonné mon chemisier juste ce qu'il fallait pour bien apercevoir ma dentelle noire et mon décolleté plongeant. Dans ces moments là j'aime beaucoup tester, provoquer un peu pour étudier la réaction de l'homme... Je décroise doucement mes jambes pour bien qu'il baisse son regard dessus et réajuste lentement un de mes bas noirs en remontant un peu ma jupe, puis je recroise mes jambes en laissant apparaître le haut de mes bas. Puis, je prends mon téléphone portable et fais semblant d'étudier mes sms, lui laissant avec plaisir le temps et l'envie de profiter de la vue sur mes cuisses et mes bas. D'ailleurs il ne s'en privait pas, je sentais son regard me déshabiller, de mon décolleté jusqu'à mes talons. J'adore ces situations ou chacun de mes gestes attire plus encore le regard d'un homme, comme ici le fait de croiser, décroiser mes jambes de plus en plus haut et dévoiler mes cuisses, ou bien encore me pencher pour chercher quelque chose dans mon sac à main et bien dégager mes cheveux pour lui laisser une vue parfaite sur mes seins.

Quand je sentis qu'il était bien excité de m'avoir regardée sous différents angles, je décidai de provoquer sa réaction. Je croisai mes jambes de sorte que quand je balançais mon pied d'avant en arrière je frôlais sa jambe, sans vraiment lui faire du pied, car c'était juste le bout de mes chaussures à talons qui se frottaient contre lui.
Je lui demandai alors de façon innocente, tout en lui adressant un sourire :

"- C'est très agréable comme endroit je trouve, je ne regrette pas d'être venue.

- Je suis bien d'accord avec vous", me répondit-il en me regardant et en laissant ses yeux se poser sur mes cuisses.

Puis je décroisai mes jambes, ce qui arrêta le frottement contre sa jambe, puis j'essayai de prendre une expression surprise pour lui dire :

"- Oh je suis désolée depuis tout à l'heure c'est vous que je touchais avec mon pied, il fallait me le dire!

- Pour être honnête je ne voulais pas vous le dire de peur que vous arrêtiez.

- Ah, oui ? Mais pour quelle raison ?", lui demandai-je tout en connaissant déjà la réponse.

Mais ce qu'il me répondit me surprit quand même, et m'excita je dois le reconnaître :

"- Pour la bonne raison que je suis sur que vous saviez très bien que vous me faisiez du pied, et vous savez aussi que vous êtes très excitante et très aguicheuse à vous habiller et à vous comporter comme ça".

J'étais excitée par ces paroles mais je voulais en entendre plus, je lui demandai alors :

"- Aguicheuse ? Comment çà ?".

Il me fixa dans les yeux et me répondit :

"- Parce que depuis le début tu t'arranges pour que je me rende compte que tu es excitante. J'ai bien remarqué ta façon de te pencher pour que je voie bien tes seins, ou encore la manière dont tu croises les jambes assez haut pour que je voie tes cuisses et tes bas... Tu sais comment j'appelle une fille qui fait ça; ou tu préfères que je te le dise peut-être ?"

J'étais à la fois troublée par la façon dont il m'avait dit cela, en me tutoyant, me parlant directement, et à la fois excitée par cette situation, alors je lui dis :

"- Oui allez-y dites le moi".

Il se rapprocha alors de moi, se pencha légèrement et me souffla à l'oreille :

"- Déjà en te voyant arriver et passer devant moi perchée sur tes talons en balançant ton cul de droite à gauche, j'étais sur que tu le faisais exprès, et une fille qui agit comme ça, moi j'appelle ça une petite allumeuse".


Et soudain, je sentis une de ses mains se poser sur ma cuisse et me caresser de bas en haut sans aucune hésitation.

"- Je suis sur que tu adores ça exciter, faire bander les hommes je me trompe ?"

Pour seule réponse, j'écartai progressivement mes cuisses sous la table sentant sa main habile se promener partout où elle le désirait. En fait je pensais à ce qu'il allait penser quand il se rendrait compte que ma chatte était déjà toute mouillée dans mon string. Plus sa main se rapprochait de l'entrée de mon string, plus j'écartais mes cuisses et je m'offrais.

Je sentis ses doigts écarter mon string d'un geste sec et ils commençaient déjà à s'amuser avec ma petite fente humide.

"- J'en étais sûr, tu es toute trempée, une vraie petite pouilleuse comme je les aime" me dit-il en me regardant fixement. Voyant que je ne disais rien et que ça m'excitait beaucoup il introduit un doigt et commença à me fouiller la chatte. J'avais du mal à me contrôler, la seule chose à laquelle je pensais était la bosse que je voyais dans son pantalon, j'imaginais la taille, la grosseur de sa bite, j'avais envie de me glisser sous la table et de me mettre à la sucer, ma bouche était déjà remplie de salive en y pensant. Comme s’il lisait dans mes pensées il me dit :

"- Tu vas aller aux toilettes et m'attendre la bas, je vais te montrer comment je traite les petites salopes comme toi, allez vas y"

Incapable de répondre quelque chose, je me levai discrètement et me dirigeai vers les toilettes du restaurant, c'était une seule pièce fermée avec un lavabo et une autre porte pour les toilettes. Je me penchai sur le lavabo et me regardai dans la glace, j'étais là avec ma jupe un peu relevée, mon string trempé et mon chemisier largement ouvert. Je ne pus m'empêcher de me trouver aguicheuse, il avait raison je ressemblais à une salope habillée et maquillée comme ça, et cette idée m'excitait plus encore. Puis la porte s'ouvrit et je vis sa carrure imposante fermer la porte et s'approcher de moi.
Sans rien dire, il posa ses mains sur mes hanches et m'embrassa dans le cou, mon premier réflexe fut de me cambrer et de coller mes fesses contre sa bite au travers de son pantalon, je le sentis immédiatement durcir contre mon cul et ça m'excitait davantage. Il caressa mes cuisses en remontant de plus en plus ma jupe, je sentais son souffle chaud dans mon cou et il me dit à l'oreille :

"- Je vais me faire un plaisir de te baiser comme tu le mérites petite salope, mais avant fais-moi voir comme tu sais bien faire bander un homme avec ton petit cul" me dit-il en posant ses mains fermement sur mes hanches. Ses paroles directes et crues me faisaient beaucoup d'effet, j'étais la perchée sur mes talons, cambrée et penchée contre le lavabo et je me mis à onduler à frotter mon derrière contre son pantalon, je le sentais bander et je continuai de plus belle.

"- Oui comme ça, c'est bien tu aimes ça, sentir une queue bien dure se presser contre ton cul." Il passa ses mains devant, déboutonna mon chemisier et d'un geste sec sortit mes seins de mon soutien gorge. Il se mit à les presser, les pincer et les peloter d'une façon virile et excitante quand tout à coup il se recula, me retourna, me fouilla la bouche avec sa langue et me dit :

"- Mets-toi à genoux devant moi petite traînée pour que je profite de ta bouche de suceuse."

Avant que je fasse un geste il me passa une main sur la nuque et m'abaissa à terre, j'étais là, à genoux dans les toilettes à attendre qu'il finit de déboutonner son pantalon, j'en avais l'eau à la bouche et je ne pouvais détacher mes yeux de sa bosse. Il sortit enfin sa bite, qui était assez longue, plutôt jolie et bien dure ce qui m'obligea à la prendre directement dans ma bouche pour pouvoir la goûter. Je la suçais doucement, je savourais son goût et sa chaleur sur ma langue. Alors que je m'appliquais je sentis ses mains dans mes cheveux qui me les tenaient et me les relevait, il me dit :

"- C'est bien continue, j'étais sûr que tu adorais sucer des bites avec ta petite bouche de garce."

Je continuais à sucer avec énergie cette belle bite qui allait de plus en plus loin dans ma bouche, je sentais ses mains qui me tenaient fermement par les cheveux et j'avais cette impression excitante de n'être qu'un objet entre ses mains, qu'il se servait de moi à sa guise dans le but de se vider les couilles... Voyant qu'il contrôlait tous les mouvements je posais mes mains sur mes cuisses et le laissa aller et venir dans ma bouche. Une de ses mains empoigna mes seins l'un après l'autre tandis qu'avec l'autre il agrippait mes cheveux pour faire avancer et reculer ma bouche dégoulinante de salive le long de sa bite.

A genoux dans les toilettes à laisser cet homme baiser ma bouche et me traiter de salope, de suceuse ou autre j'avais vraiment l'impression d'en être une et ça m'excitait plus encore. Puis d'un geste il retira sa queue de ma bouche barbouillée de rouge à lèvres et de salive et me dit en me relevant par les cheveux : "Tournes-toi et appuies-toi contre le lavabo, je vais bien te baiser, je sais que tu n'attends que ça". Je m'exécuta et sentis ses mains relever ma jupe sur mes hanches, il écarta mon string trempé d'excitation et m'appuya sur le bas du dos pour que je me penche encore plus. Je posa alors mes coudes sur le lavabo, mon cul bien en arrière et bien relevé.

"- Voila c'est mieux, cambre-toi bien petite traînée, c'est ce que tu veux non te faire baiser ta petite chatte ?"

Les mots qui suivirent en réponse sortirent tout seul :

"- Oui c'est ce que je veux j'en ai trop envie, baisez-moi allez-y" et pour bien lui montrer, je me cambrais encore plus et ondulait légèrement du cul. Je sentis alors ses mains m'agripper fermement par les hanches et quelque chose de dur et chaud se présenta à l'entrée de ma chatte trempée, il resta quelques secondes comme ça sans me pénétrer, je n'en pouvais plus et d'un geste je reculais mon bassin et sentis sa bite toute dure s'enfoncer dans ma fente.

"- Espèce de petite salope, tu n'attendais que ça que je te baise!" Et il accompagnait ses paroles de violent coup de bassins et je sentais sa bite me pénétrer et s'enfoncer en moi de plus en plus. J'avais du mal à retenir mes gémissements tellement il me baisait brutalement.

"- Oui hummmmmm c'est bon". Il me défonçait littéralement la chatte, je sentais sa bite s'enfoncer et ses couilles taper contre mon cul, j'étais à sa merci j'avais juste à me laisser baiser comme ça comme une traînée. Il me passa une main dans les cheveux et en m'agrippant me tira la tête en arrière à chaque fois que sa queue s'enfonçait profond en moi. J'étais la presque désarticulée sous ses mains viriles et sous ses coups de bassins, ma fente dégoulinait de plaisir le long de mes cuisses.

"- Je vois que tu aimes ça te laisser baiser comme une pute". J'entendais ce qu'il me disait mais ce qui sortait de ma bouche était juste des gémissements de plaisir. Encouragé par mes gémissements il continuait à me défoncer, me fouillant la chatte de sa grosse queue, il avait raison j'adorais me faire baiser comme ça, me sentir pute. J'étais presque honteuse de le laisser r de moi comme ça mais ma chatte chaude et mouillée lui indiquait de continuer, de ne pas arrêter de me baiser. Il posa une main sur une de mes épaules et avec l'autre il m'attrapa par ma jupe et me dit :

"- Cambre-toi bien, fais moi voir comme tu aimes faire la chienne" et accompagna ces paroles d'une pression sur mon épaule qui m'obligea à me pencher plus en avant. J'étais littéralement pliée en deux et mes cheveux traînaient dans le lavabo à chaque coup de bite que je recevais. Je n'en pouvais plus sa bite me défonçait profondément la chatte, je mouillais et gémissais de plaisir, passée la porte de ces toilettes je m'étais transformée en bonne petite pute qui ne voulait qu'une chose : jouir et faire jouir l'homme qui me baisait comme je le méritais. Puis avec sa main il rassembla mes cheveux et les tira en arrière, je ne pu m'empêcher un cri de surprise et de plaisir sortir de ma bouche.

"- Tiens regarde-toi dans la glace pendant que je te baise, regarde comme tu es belle comme ça petite salope" tout en continuant ses va-et-vient profond dans ma chatte. La tête bien en arrière je me regardai dans la glace, secouée d'avant en arrière par des coups de bites qui me labouraient la chatte. Et me voir comme ça, me fit gémir et commencer à jouir, je voyais mes seins qui se ballottaient au rythme des va-et-vient, je le voyais lui qui s'acharnait à me défoncer inlassablement, sa main qui m'agrippait les cheveux et l'autre posée sur le bas de mon dos pour m'imposée d'être bien penchée et cambrée comme une chienne.

"- Oui, oui, oui continuez haaannn j'en peux plus." Je jouis comme ça la chatte dégoulinante, j'avais tout mon corps qui tremblait sous les coups de reins.

"- Tiens t'aimes ça te faire défoncer dans des toilettes, comme une vulgaire pute."

"- Oui j’adore, défoncez-moi encore allez-y, baisez-moi comme une pute". Je sentais l'intensité de ses coups de reins qu'il allait jouir lui aussi mais il ralentit et sans dire un mot se retira. Toujours sa main agripper à mes cheveux il me fit retourner, mes jambes tremblaient et il n'eut pas besoin de beaucoup de force pour m'emmener à terre. J'étais là à genoux devant lui, ma fente encore en train de couler le long de mes cuisses, il rapprocha sa queue de mon visage et dit :

"- Lèche-moi les couilles, fais-moi bien gicler". Je commençai alors à sortir ma langue et lécher une à une ses couilles, sa bite était presque collée à mon visage et je le voyais se branler doucement en me regardant.

"- C'est bien continue, bouffe-moi les couilles petite pute" et comme pour m'encourager. Il me prit par les cheveux et dirigea ma bouche où il le désirait. Je le léchais avec envie, j'étais tellement excitée que j'aurais fait ce qu'il voulait pour le faire gicler.

"- Oui continue comme ça, surtout ne bouge pas ça vient". A entendre ces mots je le léchai avec encore plus d'envie, lui avalai les couilles en lui aspirant et dit doucement :

"- Oui allez-y gicler moi dessus c'est ce que vous voulez ". Je le regardais dans les yeux et je sentais sa bite tremblée à quelques centimètres de mon visage.

"- Hmmm oui je vais t'inonder le visage petite salope, tiens aaahhhhhh oui ahhhhhhh!!!".

Et alors que ma langue s'activait encore à lécher ses couilles, je sentis une première giclée de sperme s'abattre sur mon front et le début de mes cheveux. Il continua à me tenir fermement par les cheveux et secoua ma tête de droite à gauche pour mieux barbouiller mon visage de ses nombreuses giclées de sperme. Je le laissais faire, je sentais son foutre s'abattre sur mes joues, mes lèvres, le menton... cette sensation de se faire souiller par ce liquide épais, chaud que j'adorais, j'étais réduite à l'état de vide-couilles la bouche ouverte.

"- Hmmmm oui regarde-moi", je levai les yeux sur lui et il me présenta sa bite encore ruisselante de sperme collée à mes lèvres.

"- Ouvre la bouche tu vas finir ton travail de petite pute en me nettoyant la queue". J'étais comme hypnotisée par sa bite, je sentais son sperme coulé doucement sur mon visage et j'ouvris ma bouche comme par réflexe, mais il avait raison c'était un réflexe de pute soumise. Je commençai à lécher son gland, à me régaler du sperme restant, et inconsciemment j'aurais voulu recevoir une giclée de sperme au fond de ma bouche; faire rouler délicatement ce liquide chaud et épais sur ma langue, le savourer avant de l'avaler.

Puis il retira sa queue de ma bouche et commença à reboutonner son pantalon, j'étais à genoux devant lui à lécher les gouttes de sperme qui avaient coulées le long de mon visage sur le bord de mes lèvres. Sans un mot il partit et me laissa là à moitié nue et le visage souillé de son liquide, mais je comprenais, je l'avais laissé me traiter comme une chienne il était normal qu'il partit une fois ses couilles vidées. Je me leva les jambes encore tremblantes de cette partie de baise sauvage et me rhabilla, me nettoya le visage, me recoiffa et rejoignit le restaurant où mon ami et ses collègues étaient en train de parler boulot. Cette partie de baise qui m'avait parue très longue n'avait duré finalement qu'une vingtaine de minutes. Voilà la soirée se terminait normalement et je dis à mon ami qui me demanda si je ne m'étais pas trop ennuyée à l'autre bout de la pièce que non, que ça a été une soirée plutôt agréable finalement...

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