Du Bonheur À L'Horreur 4

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Ça y est le grand jour est arrivé j’allais enfin me marier avec l’homme de ma vie. La simple perspective de cet évènement me réjouissait dès le réveil. En effet j’étais surexcitée en sortant du lit de ma chambre d’enfance chez mes parents. Je me sentais prête pour ce grand jour surtout après la séance d’hier chez le père Emile qui j’en suis sûre portera ses fruits. En tout cas j’étais déterminée à ne plus jamais me laisser faire comme cela avait été le cas ces derniers jours.
La journée allait être très chargée car toute la matinée était concentrée sur ma préparation. Mes amies ne devaient pas tarder à arriver pour m’aider à me coiffer, m’habiller dans ma robe de princesse, etc. Je devais être parfaite pour mon beau Julien. J’avais une petite appréhension car Carlos et Atif en tant que collègues de Julien allaient être présent pour le vin d’honneur mais j’étais convaincue d’arriver à stopper le moindre geste déplacé de leur part.
Je sortais de la douche pour enfin commencer ma préparation quand on toqua à la porte de ma chambre.
- Coucou ma chérie pas trop stressée ?
- Non maman je suis même impatiente de rejoindre l’hôtel au bras de papa.
- C’est bien vous êtes parfait tous les deux.
- Merci maman
- Tiens j’ai trouvé ça dans la boite aux lettres pour toi. On dirait un petit cadeau de mariage.
- Merci maman je regarderai ça plus tard.
- Bon courage ma chérie
Je posais le paquet sur mon lit sans y prêter trop attention. Cela devait être un cadeau d’un ami ou de la famille. Je pu enfin mettre mes beaux sous vêtement blanc tanga et soutien-gorge assorti très sexy choisis spécialement pour ma nuit de noces. J’étais pressée de montrer mon corps satiné dont le bronzage sera parfaitement mis en valeur dans cette lingerie à mon futur mari. Pour enfin faire l’amour sans culpabiliser avec l’homme de ma vie.
Mes amies n’allaient pas tarder à arriver quand mon portable sonna et je reconnu immédiatement le numéro de Carlos.

Je pris mon courage à deux mains et lui raccrochais au nez sans hésiter. Un deuxième appel ne tarda pas à arriver puis un troisième vu que je raccrochais à chaque fois. Je reçu donc un message et quelle fut la panique qui me saisit quand je l’ouvris. En effet c’était une vidéo de moi en train de me faire baiser par Carlos et Atif dans les bureaux de mon mari et je jouissais vraiment fort. Quand un nouvel appel arriva je fus contrainte de répondre.
- Coucou ma petite chienne
- Bonjour Carlos
- Alors la petite vidéo t’a plu ? Une vraie pro haha
- Vous êtes vraiment des salauds d’avoir filmé ça !
- Haha j’ai des films de tous tes exploits Adèle. Il me fallait des souvenirs de ton petit cul avant ton mariage. Tu as reçu mon paquet cadeau ?
- Oui mais je ne l’ai pas encore ouvert
- Ouvre ça tout de suite.
Je m’exécutais avec la peur de découvrir le contenu. C’était un genre d’œuf en plastique d’une certaine taille.
- Tu sais ce que c’est ?
- Non aucune idée
- C’est ce que tu vas te mettre dans le vagin toute la journée d’aujourd’hui
- Non c’est fini tout ça ! Plus jamais je ne subirais tes perversions. Je ne veux plus jamais faire ça. C’est compris ?
- Hahha déjà tu vas changer immédiatement ce petit ton avec moi sale chienne. Je vais t’expliquer la situation, si tu ne fais pas ce que je te dis la vidéo que tu as reçu sera diffusé comme diaporama a ton mariage donc tu as intérêt à obéir
J’étais prise au piège, je ne pouvais pas permettre que tout le monde voit ça surtout que Julien n’était pas au courant de cela. Ce connard me faisait un odieux chantage que j’étais obligé d’accepter.
- D’accord Carlos mais s’il te plait si je mets cela aujourd’hui tu pourras effacer ces vidéos ?
- On verra si tu es sage. T’inquiète ce n’est pas si horrible que ça haha. On se voit tout l’heure fais toi belle petite pute.
Il raccrocha et je me retrouvais désespérée dans ma chambre ne sachant comment me sortir de cette situation.
En attendant de trouver une solution j’étais obligé d’obéir et avant que mes copines n’arrivent m’insérait l’objet dans mon vagin. Il était quand même épais et me remplissait bien. Je ne savais pas comment j’allais faire pour tenir toute la journée avec cet œuf en moi. La sonnerie de la porte annonçant l’arrivée de mes amies me sortit de mes réflexions.
La préparation dura un bon moment et mes amies me permirent de me détendre jusqu’à oublier la présence de l’intrus dans mon sexe. Après 2-3 bonnes heures j’étais enfin prête et j’étais vraiment magnifique dans cette robe qui mettais mon corps de rêve en valeur. Je pense que Julien allait être tellement fier de se marier avec une jeune femme aussi splendide. Nous devions prendre la route jusqu’à l’église avec mon père dans une belle voiture.
La foule d’invités était déjà sur place quand la voiture se garait devant l’église et c’est avec fierté et émotion que je descendais au bras de mon père. Mon avancée dans le long couloir de l’église sous le Canon de Pachelbel ressemblait à un rêve. La silhouette de Julien qui se rapprochait petit à petit avec son sourire et son regard amoureux était une des plus belles choses pour moi. J’étais dans un état d’euphorie en arrivant à sa hauteur devant le père Emile que j’en avait même oublié l’intrus dans mon vagin. La cérémonie pouvait débuter
La messe se déroulait comme nous l’avions planifiée, les lectures, les chants, le sermon du prêtre. Une intense vibration dans mon sexe me fit sortir de mon rêve éveillé. En effet l’œuf se mit à vibrer me procurant une décharge de sensations sexuelles. Je devins rouge pivoine et avait du mal à rester silencieuse. Je m’efforçais de montrer le moins possible mon désarroi. Carlos était vraiment un sadique et un sale pervers de me faire ça maintenant. Je dû passer toute la fin de la cérémonie avec un œuf en vibration maximale dans mon vagin et la lecture de mes vœux ainsi que le fameux oui furent difficile a exécuter. Je me retenais de toutes mes forces mais lorsque je pus embrasser Julien je le fis avec une telle ardeur que l’orgasme éclata en moi au même moment.
Ce fut le baiser de mariage le plus passionné de l’humanité je pense.
Les vibrations ne s’arrêtèrent pas pour autant à la sortie de l’église et quand j’ai croisé le regard de Carlos il était en train de rire avec Atif jouant avec une petite télécommande. Heureusement pendant le trajet jusqu’au lieu de réception cela s’arrêta car le signal de la télécommande devait être trop loin.
- Je t’aime tellement mon amour nous sommes enfin mari et femme tu te rends compte ?
- Oui Julien enfin nous allons pouvoir commencer notre vie d’adulte pleinement
- C’est clair et ce baiser était magnifique ma chérie.
- Tu m’as tellement manqué ces derniers jours mon cœur
- Toi aussi heureusement on va bien profiter de notre fête maintenant.
Nous arrivâmes au lieu de réception et le vin d’honneur pouvait commencer, malheureusement pour moi les vibrations également et mon excitation repris de plus belle. Les gens venaient nous féliciter durant tout le vin d’honneur et quand vint le tour de Carlos sa bise appuyé me fit froid dans le dos.
- Félicitations les amoureux
- Merci d’etre venu Carlos j’espere que la celebration vous plaira
- Profitez bien les jeunes et pas trop de bêtise ce soir
Il me fit un clin d’œil des plus déplacé suite à cette réflexion bien lourde. Moi je restais silencieuse luttant pour ne pas avoir un autre orgasme. Je le détestais. Je dus avoir l’air rouge et suante sur mes photos de mariage. Je n’en pouvais plus cet œuf qui me rendait folle il fallait que je jouisse.
La fin du vin d’honneur approchait et cela signifiait le départ de Carlos. Je décidais de passer aux toilettes me refaire une beauté et surtout me laisser jouir en paix dans ma chambre de mariée. A peine entrée dans ma chambre je n’avais pas vu que Carlos m’avait suivi il entra rapidement avec moi.
- Bah alors ma belle on partait sans que je puisse te dire au revoir
- Dégage Carlos Julien pourrait entrer
- T’inquiète Atif l’occupe.
Alors comment tu trouves ce petit cadeau ?
- Je n’en peux plus c’est horrible
- Tu as envie de jouir ma petite salope.
- Arrête-le s’il te plait
- Hahah je n’ai plus la télécommande je l’ai donné à un des invités qui avait l’air de bien t’apprécier ne t’inquiète pas.
- Non tu n’as pas fait ça ? A qui ?
- Ah ça ne serait pas marrant de te le dire comme ça.
Il se rapprochait de moi. Je le repoussais mais j’étais trop excité par cet œuf que ma résistance devait vraiment être molle
- Laisse-moi Carlos.
- Laisse-toi faire je sais que tu es ma pute. Et puis rappelle-toi que j’ai tes exploits en vidéo. Et puis je sais que l’œuf est en train de faire son effet. Avoue que tu as envie d’une bonne grosse bite ?
- …
- Demande là moi
- Oui mais je veux la bite de mon mari
- Haha tu vas savoir attendre jusqu’à ce soir ?
- Oui
- Je respecte ton choix ma petite chienne et te souhaite une bonne journée et voyage de noces. Par contre ne t’avises pas de retirer l’œuf car ton nouveau tourmenteur à mon numéro et je n’aurai qu’a envoyer tes exploits a ton mari et sur tes réseaux sociaux
J’étais surprise de le voir partir sans même avoir été plus loin dans sa tentative. J’étais fière de lui avoir résisté malgré le fait que mon supplice allait encore durer et mon excitation était déjà énorme. Maintenant il me fallait trouver qui avait la télécommande et cela me fis entrer en panique. En redescendant seuls les invités restant pour le repas et la soirée étaient présents et tout le monde était installé à table. Je fis le tour de l’assemblé de mon regard essayant de trouver des indices sur mon tourmenteur. Il ne restait que la famille et les amis proches. Seulement Julien et moi avons des familles nombreuses donc ça offrait pas mal de possibilités.
Les heures passaient et les plats défilaient sans que les vibrations n’arrêtent même une seconde. Ce fut un énorme calvaire car je me retenais de jouir et ma culotte était maintenant détrempée. J’étais enfin contente de me lever pour ouvrir le bal car la position assise augmentait les sensations de l’œuf. Je pus quand même effec la valse de manière parfaite et mon Julien me fit magnifiquement danser. J’étais tellement pressé de faire l’amour avec lui ce soir que ça sera un véritable feu d’artifices.
La soirée avançait et les danses s’enchainaient, mon enquête était toujours au point mort mais les suspects se réduisaient au fur et à mesure que les invites quittaient la fête. Julien commençait à être un peu saoul au vu de sa manière de danser mais il avait l’air si heureux que je ne lui dis rien. Il devait être 4h du matin quand mon oncle Gerard vint m’inviter à danser. Cela me surprit car nous n’étions pas proche du tout. C’est le frère de ma mère, un fermier vulgaire et divorcé, il a la cinquantaine, est gros et rustre. Je l’ai toujours un peu méprisé pour son attitude vulgaire et parfois malsaine notamment quand il me faisait la bise près de la bouche quand j’étais ado. Il a un fils Dylan qui l’aide à la ferme, qu’il a eu jeune et un peu simple mentalement. Il a la même apparence que son père et partage le même caractère vulgaire.
Je ne pouvais cependant pas refuser une simple danse surtout le jour de mon mariage. Par malchance c’était hôtel California des Eagles et en live du coup on en avait pour 6-7 minutes de slow, la poisse. Il me colla à lui son ventre bedonnant était collé à moi et ses bras me serraient fort contre lui.
- Comme tu es belle ma nièce
- Merci Gerard c’est gentil.
Il me serrait de plus en plus et je sentais ses mains me caresser le dos nu, très malsain.
- Tu peux arrêter s’il te plait
- Arrête de faire ta prude je sais que tu es une salope et que tu mouille depuis tout a l’heure.
Je fus choqué par sa phrase et réalisais directement l’horreur de la situation.
- Heureusement que j’ai dit que tu étais bandante, le patron de ton mari m’a entendu à l’église et m’a donné ce petit cadeau. Tu dois être en chaleur petite chienne.
En effet je dégoulinais sous la robe après des heures de vibrations mais il me dégoutait a un point inimaginable.
- Arrête Julien pourrait voir ça
- T’inquiète Dylan et Robert s’occupent de lui
Robert était le parrain de Julien c’était son oncle, la cinquantaine également. Il était garagiste et c’était un homme énorme de deux mètres pour 110kg il m’a toujours impressionnée par sa carrure mais était en général bienveillant et Julien l’adorait. Je vis en effet Julien en train de boire des shooters dans un genre de concours avec les deux hommes.
- Ils ne sont pas au courant pour ce que tu as dans le cornet. Je leur ai juste dit de faire bien boire Julien pour fêter son mariage et vu leur descente Julien ne va pas faire long feu.
J’étais un peu déçu que Julien tombe dans ce piège mais comment lui en vouloir il n’allait pas jouer le rabat joie avec son parrain adoré. Il était déjà bien bourré et ne tenait pas droit sur sa chaise. Je sentais que ça allait mal finir. Je me rendis compte qu’il ne restait plus grand monde dans la salle a part nous 5 d’ailleurs.
- Qu’est-ce que tu veux espèce de salaud.
- Que ton bonheur ma belle ne t’en fais pas
Je sentis sa langue passer dans mon cou, et ses mains descendre sur mes fesses. Heureusement personne ne faisait vraiment attention à nous sur la piste. Pour ma part la situation bien que malsaine m’excitait encore plus que je ne l’étais déjà et inconsciemment mon corps ondulait quelques peu ce que ne manqua pas de remarquer Gerard qui se frottait maintenant sur moi.
- Jamais je n’aurais imaginé que tu étais une salope comme ça. Et dire que je veux te baiser depuis que tu as 14ans.
Heureusement la musique se terminait et je pus m’extirper de son emprise surtout que le DJ paraissait terminer la soirée. Je me dirigeais vers Julien pour lui dire d’aller se coucher. Il était affalé sur la table complètement bourré.
- Désolé Adèle je pense qu’on a un peu abusé sur le rhum. Dit Robert
En effet Julien paraissait complétement KO et s’était littéralement endormi sur la table. Par chance nous dormions sur place du coup pas besoin de prendre la route.
- T’inquiète on va t’aider à le transporter dans la chambre. Hein les gars ?
- Non merci Gerard
- Tu ne vas pas le porter tout seul sois pas bête.
Robert et Dylan prirent Julien et commencèrent à l’emmener vers l’escalier menant à la chambre. Gerard une main sur mes fesses me poussait à les suivre. En entrant dans la chambre les gars déposèrent Julien sur le lit et s’apprêtaient à sortir.
- Adèle tu n’as pas besoin d’aide pour enlever cette robe ?
- Hhaha papa toujours la bonne blague
- Je suis très sérieux. Je sais qu’elle a besoin d’aide et qu’on est les mieux placé pour l’aider hein Adèle ?
Son clin d’œil appuyé était là pour me rappeler qui connaissait le numéro de Carlos et qu’il pouvait donc détruire ma vie. Je ne pris même pas le temps de répondre et était resignée. Voir l’homme de ma vie allongé complétement bourré alors que j’avais attendu cette nuit de noce toute la journée m’énerva. Gerard s’approcha, mit en confiance par ma non réaction et fit tomber les bretelles de ma si belle robe de marié dévoilant mon petit soutif discret en dentelle blanche. Dylan et Robert était complétement dépités et abasourdis pas la situation. Gerard arracha littéralement mon soutif et d’une main me palpa le sein droit sans aucune douceur. De son autre main il me prit le menton et commença a me lécher totalement le visage. Il puait l’alcool c’était tellement humiliant mais l’œuf vibrant toujours en moi j’étais dans un tel état d’excitation que cela me fit encore plus mouiller.
- Gerard arrête de déconner c’est quand même la femme de mon neveu
- Hahah mais ce n’est pas du viol Robert cette petite pute ne demande que ça. Pas vrai Adèle.
Je ne répondais pas me laissant palper les seins. Gerard fit passer une main sous ma robe attrapa et déchira mon tanga d’un geste brusque et le jeta a ses deux camarades.
- Wouah je n’ai jamais vu une culotte aussi trempée c’est fou. Tu as raison Gerard c’est vraiment la pire des chiennes.
- Hahah je vous l’avez dit les gars.
Sa main était maintenant sous ma robe et il me titillait le clito. L’autre main passait d’un sein a l’autre et sa langue parcourait toujours mon visage. Il finit par m’embrasser a plein bouche entrant sa grosse langue dans ma gorge. Je n’en pouvais plus de résister j’avais envie de sexe peu importe avec qui mais il fallait que je jouisse. Je répondais donc à son baiser en ondulant le bassin sur sa main. II entra même deux doigts pour retirer l’œuf et le mettre dans sa poche. Ce retrait me fit l’effet d’un vide insoutenable.
- Dis-nous ce que tu veux Adèle ?
Il avait remis sa main sur ma vulve et commença à me doigter fortement. Je n’en pouvais vraiment plus et émis quelques râles de plaisirs. Les 2 autres n’en revenaient pas de cette situation des plus glauques. Une jeune mariée carrément canon se faisant doigter par son oncle vulgaire devant le fils de ce dernier et le parrain de son jeune marié.
- Tu veux que j’arrête ?
- Non s’il te plait
- Qu’est-ce que tu veux ?
- Unnne biiite
- Alors vient la chercher.
Gerard s’allongea sur le lit a coté de Julien. Je me mis à quatre pattes sur lui et entrepris de baisser son pantalon et son slip faisant apparaitre un sexe énorme plein de poils. Il appuya sur me tête et je pris en bouche cet énorme matraque. Je le suçais avec enthousiasme tellement j’étais excitée. Je vis du coin de l’œil les deux autres hommes enlever leurs pantalons et ils avaient l’air super bien montés également surtout Robert qui avait un sexe digne de sa carrure. Toujours en train de pomper Gerard qui imprimait un rythme avec ses deux mains sur mon crane, je sentis qu’on relevait ma robe au-dessus de mes fesses dévoilant mon intimité. Deux mains écartèrent mes fesses et une langue commença à me lécher totalement le sexe. J’eus un orgasme quasi immédiat c’était tellement bon et je compris que c’était Robert car Dylan plus timide se masturbait debout à côté du lit.
- Tu ne vas pas le laisser comme ça petite chienne branle mon fils !
Je pris donc le gros sexe de Dylan d’une main et commençais à le branler doucement. Au bout d’un moment Gerard se leva pris Julien et le mit complétement par terre au pied du lit.
- Les Gars allongez vous la place est libre
Les trois hommes finirent de se déshabiller. Ils étaient moches. Dylan et Robert s’allongèrent sur le lit et je dus les prendre en bouche a tour de rôle selon ou leurs mains dirigeaient mon crane. Profitant de ma position a 4 pattes Gerard se place derrière et me pénétra d’une traite dans un cri de bonheur de ma part. Il imprimait de grands coups de reins au plus profond de moi tout en s’agrippant à mes deux fesses.
- Depuis le temps que je rêvais de cela Adèle. Jamais je n’aurais pensé pouvoir baiser ma nièce la plus belle surtout le jour de son mariage.
Malgré l’humiliation je savourais la pénétration tant attendu toute la journée et tant pis si ce n’étais pas Julien c’était vraiment trop bon. Le rythme des coups de rein s’accélérait et j’avais du mal à bien sucer les deux chibres devant moi. Robert, maintenant en pleine confiance, prit mon crane et enfonça sa colonne de chaire au plus profond de ma gorge que je faillis vomir. Il se retira et Dylan imita directement cette pratique. J’alternais donc les gorges profondes à un rythme fou que mes yeux pleuraient abondamment. Je sentis Gerard se cambrer et sortir son sexe pour éjaculer sur ma robe.
- Comme on ne lave jamais une robe de marié tu auras un souvenir. La place est libre les gars.
Robert se leva et prit la place de Gerard et entra d’un coup sec. Son sexe étant encore plus gros cela déclencha un autre orgasme. Pendant se temps la Dylan se servait de ma tête comme un sexe et les allers-retours de son chibre au fond de ma gorge allaient à un rythme effréné.
- Vas-y empale toi sur Dylan Je vais t’enculer moi
J’obéissait a Robert telle une automate et enjamba Dylan j’introduit son sexe en moi et me cambrais fort pour faciliter le travail de Robert. Ce dernier crachat sur mon anus après s’être racler la gorge, plaça son gland a l’entrée de ma grotte et d’une poussée s’introduit en entier. C’était vraiment très douloureux. Les deux hommes commencèrent la synchronisation de leurs va et vient et la douleur disparaissait peu à peu. Robert commençait à me fesser une fesse après l’autre à chaque pénétration, Dylan quand a lui tel un animal me léchait le visage de partout tout en me pénétrant. Je pense que nous avons atteint la jouissance en même temps et je fus remplis de sperme.
- Il va falloir nous nettoyer maintenant chiennasse
Telle une automate je me mis à genoux et les trois hommes debout sur le lit me présentèrent leurs chibres aux fortes odeurs de sperme de mouille et même d’anus pour Robert. Je me mis à les sucer à tour de rôle pour retirer la moindre trace de pratique sexuelles. Les trois membres plutôt ramollis au début reprirent vite de la vigueur.
- J’ai encore envie de la baiser les gars elle est vraiment trop bonne cette pute.
- Moi aussi papa merci de l’avoir soumise
- Attends Gerard j’ai une idée met toi allongé
Gerard s’exécutait et Robert me plaça au-dessus de lui. Je compris qu’il devait me pénétrer et je m’attendais à une autre double pénétration. Robert me cambra au maximum mais au lieu de positionner son gland a l’entrée de mon anus il le place au-dessus du sexe de Gerard a l’entrée de mon vagin. Heureusement je mouillais comme une folle et Robert pu entrer petit a petit dans mon sexe également. J’avais maintenant deux énormes bites dans ma petite chatte. Le spectacle devait être hallucinant. Moi la jeune femme plutôt frêle empalée sur deux énormes bites de deux hommes énormes. Ils arrivaient à bouger petit a petit mais rien que la sensation d’être remplie totalement me donna un autre orgasme. Cependant Robert se retira car la position était un peu inconfortable pour eux. Il m’encula directement et ça repartait en double pénétration classique. Dylan se place devant et je le pris en bouche accentuant la débauche.
Les rôles s’échangèrent et les gars profitèrent de mon corps de rêve pendant encore une bonne heure me donnant au moins 6 orgasmes c’était vraiment trop bon. Je ne pensais même plus à Julien allongé par terre au pied du lit. Je reçu le sperme des trois hommes dans ma bouche et je dus bien sur avaler leurs semences. J’étais KO, cette séance avait été intense et j’avais connu ma première initiation à la double vaginale.
- Bon on va vous laisser dormir les amoureux.
Gerard fit rirent aux éclats les deux autres par cette petite phrase et après s’être rhabiller ils ont remis Julien dans le lit et prirent la porte.
Moi je pris une douche pour éliminer les traces de luxure, je commençais a réaliser la soirée que je venais de passer. J’avais couché volontairement avec mon oncle, mon cousin et un oncle de mon mari pendant ma nuit de noce dans le lit nuptial devant mon mari qui dormait. Je réalisais que cela faisait bien sur partie du plan de Carlos depuis le début qui savait pertinemment que l’œuf dans mon vagin toute la journée m’exciterai tellement que je ne pourrais rien refuser. Il ne suffisait plus qu’a rendre Julien KO et les gaillards s’en sont chargé facilement.
L’excitation retombée, un énorme sentiment de culpabilité m’envahit et j’étais vraiment la pire des femmes. La rédemption n’avait pas duré longtemps et je savais maintenant qu’Emile en avait surtout profiter pour me baiser et me faire baiser. Je fondis en larmes et me blottit dans le lit contre mon mari.
Heureusement nous partons demain en voyage de noces dans un hôtel 4 étoiles all inclusive pendant 5 jours et il fallait que je profite de ce moment loin de tout pour réfléchir à comment me sortir de ce chantage que m’impose Carlos grâce a ses vidéos. Le problème c’est que si je porte plainte Julien allait être au courant et il allait me détester voire demander le divorce et ma famille me renierait.
Il fallait aussi que je me reconnecte avec lui car depuis la fameuse soirée chez Carlos je n’avais pas encore couché avec mon homme et c’est ce que je désirais le plus au monde. Je m’endormais donc dans les bras de Julien en espérant des lendemains meilleurs et ce voyage tombait à point nommé.

A suivre






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