Sylvie (Une Semaine De Vacance)

Cette année, Sylvie, jolie blonde de dix neuf ans, a décidée de passer une semaine de vacance dans le sud, chez son oncle Didier et sa tante Marie. Leur fils, et cousin de Sylvie, sera là. Ils ont le même age.
Ces deux là ont été élevés ensemble depuis leur naissance, jusqu'à il y a cinq ans où Didier a du quitter la région pour raison personnelle. Marie issue d'une famille riche a acheté un domaine dans le Lubéron. Elle a douze employés.
La complicité entre les cousins est totale. Ils se téléphonent tous les jours. Sylvie est même tombée amoureuse de Olivier.
Faut dire que depuis qu'ils sont nés, ils ont tout partagés. Les mêmes bains, les mêmes lits, les mêmes noël. Quand un avait mal, c'est l'autre qui pleurait. Même leur anatomie n'avait pas de secret pour eux.
Les retrouvailles sont émouvantes. Sylvie tombe dans les bras de son cousin. Olivier n'aperçoit pas les larmes sous les lunettes noires. Marie, elle, a tout compris.
-Allez, Sylvie, je te montre ta chambre, dit Marie. On ne mange pas avant huit heures. Tu as le temps de te rafraîchir.
-Merci tante. Olivier n'a pas changé, poursuit Sylvie, toujours aussi beau. Il a une copine ?
-Penses-tu, entre les copains et l'ordinateur. Il te racontera tout çà. Bon a tout à l'heure.
Marie quitte la chambre en souriant. La chambre de Sylvie est mitoyenne avec celle de
Olivier, et donne sur la même terrasse. Le soir, ils pourront discuter.
Le repas se termine vers dix heures.
-Allez, les jeunes, dit Marie, vous devez avoir des tas de choses à vous dire.
Les deux cousins regagnent leur chambre.
-Je me change, dit Sylvie et je reviens.
-Ok, j'en profiterai pour me changer aussi, répond Olivier.
Olivier passe un peignoir blanc. Sylvie arrive dans un peignoir rose.
Ils s'assied tout les deux sur lit, et se raconte leur vie. Sylvie, non plus n'a pas de copain.
Puis ils parlent du passé.
-Tu te rappelles toutes les conneries qu'on faisait, dit Sylvie.

On était toujours ensemble.
- Et lorsque on chahutait, on étaient tout nu, poursuit Olivier.
-Tu te souviens, je t'attrapais par ta petite queue, dit-elle en riant. Elle a du grandir maintenant.
-Moi je pouvais pas t'attr, fait remarquer Olivier. Tu avais rien. Et si on se chahutés comme avant, juste une fois. Pour rire.
-Tout nu ? Questionne-t-elle.Mais çà ne va pas.
-Sans se faire mal, bien sur, dit-il. Le perdant aura un gage.
-D'accord, répond-elle.
Ils quittent leur peignoir.
-Mais tu es magnifique, dit Olivier. Là j'ai de quoi attr.
-Con, si elle a grandie, fait remarqué Sylvie.
Ils se jettent un sur l'autre en riant, Ils roulent sur la moquette. C'est un corps à corps d'une beauté ahurissante. Elle glisse sa main entre eux et lui saisit les parties intimes. Sa queue est en érection.
-Arrête, dit-il, c'est bon, tu as gagné.
-Comme quand on était petit, sourit-elle. Mais là, j'avais plus de prise.
-Alors, ton gage, demande Olivier.
Ils sont toujours un contre l'autre. Leur visage se touche. Les yeux de Sylvie sont humides.
-Aime moi, lui dit-elle.
-Quoi, répond Olivier, tu es ma cousine. Tu vas penser quoi de moi après ?
-Aime moi, je te dis, j'ai envie de toi.
Sylvie s'écarte et, en rampant, glisse le long du corps de Olivier. Elle embrasse le torse, le ventre. Elle lui prend la queue délicatement, tire sur le prépuce, enroule le gland avec sa langue, puis l'avale entièrement. Olivier, les yeux grands ouverts, n'en revient pas.
-Oh, Sylvie, gémit Olivier, retire toi, je vais jouir. Je ne peux pas faire çà dans ta bouche.
-Chut, arrive-t-elle à dire.
Et les jets partent au fond de sa gorge. Elle a tout avalé.
-Qu'est ce qui t'as pris, demande Olivier.
-Je peux t'embrasser, dit-elle.
-Mais bien sur, qu'elle question, viens.
Le baiser est charnel. Olivier incline le corps de Sylvie, et la caresse de partout.Il lui suce le bout des seins, pendant que sa main prend possession de sa chatte.
Il joue avec le clitoris, insère deux doigts entre les lèvres, et commence à la branler. Sylvie, en pleurs joui immédiatement. Elle gémit.
-Oh oui, Olivier, fais moi du bien, oui oui, embrasse moi.
On frappe à la porte.
-Ouvre, dit Didier, y un problème d'électricité.
-Vite, cache toi, ordonne Olivier à Sylvie.
Il passe un peignoir, et il ouvre. Marie met sa main devant sa bouche pour ne pas éclater de rire. Pas besoin de lui faire un dessin.
-Tu as un peignoir rose ? Demande Didier. Il n’est pas trop petit ?
-J'ai mis le premier venu, répond maladroitement Olivier.
Sa mère vient à sa rescousse.
-C'est moi qui est du l'égarer, dit Marie. Que tu es con mon pauvre Didier. Tu as vieilli.
Viens, je vais te retaper.
Le couple quitte la chambre.
C'est morte de rire que Sylvie sort de sa cachette. Elle se colle contre lui et l'embrasse.
-Que je t’aime mon amour, dit-elle. Quel dommage.
-Je devais être ridicule, répond Olivier en souriant. Enfin. Plus sérieusement, Veux-tu qu'on passe la nuit ensemble ?
-C'est vrai? Mais avec plaisir mon coeur.
Ils se couchent, tout nus. Olivier glisse sa tête entre les cuisses de Sylvie, lui écarte les lèvres, et prend sa chatte toute mouillée a coup de langues. Il fait subir le même traitement à son clitoris. Sylvie gémit, se caresse ses seins.
Olivier se met sur le dos, la queue en érection.
-Viens sur moi, lui dit-il.
Sylvie l'enjambe et s'empale sur la bite d’Olivier.
-Vas-y, dit-elle, fais moi mal. Baise moi bien comme il faut. Prend mes seins, fais leurs mal aussi, s'il te plait.
Le bout de ses seins sont de plus en plus durs. Elle accélère ses mouvements de hanches.
-Oh mon dieu, je joui Olivier, oui oui, vas-y, salaud, que c'est bon.
-Moi aussi je viens, chéri, haaaa, oui oua, que tues bonne, dit-il.
Sylvie s'écroule sur son amant, lui mord les lèvres.
-Si tu savais combien de fois j'ai rêvé à passé un moment comme çà avec toi, dit-elle.

C'est con, mais tu es l'amour de ma vie. Dommage qu'on soit obligé de se quitter.
-On a encore toute la semaine, répond Olivier. Tu vas voir, je vais te niquer comme jamais tu l'as été.
-Et moi poursuis Sylvie, je vais me servir de ta queue et de tes couilles, que quand je vais les lâcher, elles vont être lamentables. Tu vas plus les reconnaître.
La semaine a été torride. Sylvie a passé sa dernière nuit à pleurée dans les bras de Olivier, pensant à son départ. Ils décident d'un endroit pour se voir une fois par semaine. Ils partagent la distance, et choisissent un jour. Ce sera le jeudi à valence. Deux heures de trajet chacun. C'est le jour du départ. Sylvie embrasse Didier, le remercie, puis embrasse Marie.
-Tu t'es bien amusé ma chérie ? Dit Marie d'un air complice.
-Oh oui, répond Sylvie, merci beaucoup tante. Je reviendrai.
L'air triste, les deux amants partent vers la gare.

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