Du Bonheur À L'Horreur 5

Mon réveil sonnant à 9h tapante me sortit de mon sommeil lourd. En effet ma tête emplit de migraine dû à l’alcool de la veille me faisait horriblement mal. Comment avais-je pu croire que jouer à boire des shooters avec Robert allait bien se terminer. Adèle se réveillait également à mes côtés. En repensant a la veille j’étais dégouté de m’être endormi comme un con complètement bourré surtout que du coup ma petite femme avait passé sa nuit de noces toute seule. J’avais tellement envie de profiter de son corps de rêve surtout que maintenant elle était ma femme et quelle femme, elle était vraiment magnifique. Heureusement nous partions pour notre voyage de noces de 5 jours dans ce superbe hôtel 4 étoiles au Sénégal et vu la période nous allons surement être peu nombreux dans l’hôtel. Nous pourrions ainsi profiter d’être au calme tous les deux pour savourer notre nouvelle union et s’adonner aux plaisirs de la chaire.
- Bonjour ma belle. Je suis tellement désolé pour hier soir
- Bonjour chéri oui tu aurais pu faire attention tu sais que tu ne tiens pas l’alcool
- Oui excuse-moi sincèrement Adèle. Tu n’as pas eu trop de mal à me coucher ?
- Non ton parrain m’a aidé
- Ah il est vraiment cool ! Prête pour nos vacances en amoureux ?
- Oui mon cœur mais il faut que l’on se dépêche notre vol part dans 4h
Adèle paraissait un peu bizarre et distante mais je me disais que c’était dû à mon échec de la veille et qu’arrivé là-bas cela irait beaucoup mieux. Après une bonne douche et s’être changés nous sommes passé récupérer nos valises et direction aéroport.
Le vol dura 3 heures et nous en avons profité pour dormir et récupérer de la veille. Nous arrivâmes a l’hôtel à 17h. C’était un lieu paradisiaque au milieu d’un oasis naturel avec piscine sauna activités en tous genres. Nous avons eu l’agréable surprise de voir qu’il n’y avait personne dans l’hôtel ce qui était vraiment parfait.
C’est un homme noir d’un certain âge qui nous accueillait dans un bon français malgré l’accent.


- Bonjour les amoureux alors prêts à passer un voyage de noce de rêve ? Je suis Monsieur Coulibaly mais appelez-moi Moussa
- Bonjour Moussa merci pour l’accueil je vois que nous ne sommes pas nombreux.
- En effet en cette période de l’année il n’y a pas grand monde mais toutes les activités sont possibles. Je vous expliquerai cela plus tard. Tenez voici votre clé allez déposer vos affaires et reposez-vous un petit peu. Le sauna est au RDC si vous le désirez cela fait un bien fou pour se reposer
- Merci Moussa on se voit tout l’heure
C’était un homme imposant il devait faire 1m90 et était hyper baraqué malgré un ventre du a son âge je pense. Il devait avoir 55 ans et été bien dégarni mais son sourire et son attitude sympathique était vraiment rassurante. Il nous mit vite en confiance.
Nous découvrîmes notre chambre et c’était véritablement une suite avec un lit King size, un jacuzzi sur le balcon, une douche énorme bref la totale.
- Wahou je sens qu’on va se régaler ici mon amour
- Oui mon cœur je t’aime tellement
- Moi aussi ma belle, on se change et on va se poser dans le sauna ça te dit.
- Bien sûr je mets mon maillot de bain
Adèle semblait s’être relâchée et vraiment profiter du moment présent et ça me rendait tellement heureux de la voir si belle et radieuse. Nous nous changions et j’enfilais mon boxer de bain, Adèle quant à elle un bikini deux pièces jaune super sexy sans être vulgaire et mettait sa peau mate et sa chevelure brune en valeur. C’était une vraie déesse.
Munis de nos serviettes nous descendîmes au RDC pour nous rendre au sauna. En passant devant l’entrée je remarquais que Moussa avait eu un regard appuyé sur les petites fesses de ma chérie mais comment lui en vouloir elle était tellement parfaite. Le sauna était petit avec un banc et une table de massage au milieu avec les huiles. Nous nous asseyions sur le banc l’un contre l’autre profitant enfin du calme.
Il commençait vraiment à faire chaud et nos peaux devenaient bien suantes.
Cette ambiance était vraiment érotique et tout naturellement la tension sexuelle montait fortement. Je commençais à caresser Adèle dans les cheveux puis me mis à lui masser les épaules. Elle se retourna et nous échangions un baiser amoureux. D’abord timide nos langues commencèrent à doucement s’entremêler. Je caressais son visage en même temps que je l’embrassais profitant au maximum de ma femme. Lentement mes mains descendirent vers ses petits seins et je voyais clairement que la situation excitait Adèle également.
J’eus une bonne surprise quand elle passa doucement sa main sur mon sexe par-dessus mon boxer. Elle ne tarda d’ailleurs pas à le sortir. Mon sexe était dressé au maximum de ses 15cm. Adèle dénoua son maillot, baissa sa culotte m’enjamba et mon sexe la pénétra. Cette position du lotus était parfaite car nous faisions l’amour tout en se serrant fort dans les bras sans jamais cesser de s’embrasser. Son corps ondulait sur mon sexe d’une manière si érotique que je ne pus retenir longtemps mon éjaculation au plus profond d’elle.
Sans attendre elle sortit mon sexe s’agenouilla et commença à me sucer pour nettoyer mon sexe. C’était fantastique elle prenait entièrement mon sexe en bouche. Je n’en revenais pas de la situation c’était trop bon. Cependant je me rendais bien compte qu’Adèle n’avait pas joui donc il fallait vite que je reprenne de la vigueur pour me rattr. La porte du sauna s’ouvrit d’un coup.
- He bien je vois qu’on ne perd pas de temps ici haha
Adèle dans un mouvement de panique se releva et mit sa serviette autour de son corps. Moi je remis mon boxer en vitesse. En effet Moussa venait de rentrer dans la sauna torse nu, serviette autour de la taille. Il était vraiment impressionnant. Il était accompagné d’une vieille dame noire bien grasse elle aussi torse nu avec la serviette autour de la taille. Ses enormes seins pendaient c’était gênant.
- Je vous présente ma mère Méroé c’est une experte en massage je me suis dit que ça vous intéresserait.
Par contre elle ne parle pas français
- Euh oui pourquoi pas
J’étais un peu choqué par la situation et je voyais qu’Adèle aussi nous ne savions pas trop comment réagir. Surtout de voir cette vieille femme seins nus était dérangeant.
- Peut-être que Madame voudrait commencer
Moussa invita donc Adèle à s’allonger sur la table de massage. Malgré la situation bizarre un bon massage ne pouvait que faire du bien. Et ma belle princesse s’allongea avec sa serviette sur le ventre sur la table. Moussa vint s’assoir à côté de moi, Il ramassa le bikini de ma femme et me le tendit après l’avoir reniflé
- Votre femme sent très bon l’ami
- Merci...
- J’adore l’odeur des femmes blanches surtout les jeunettes comme ça
Je ne savais pas trop quoi répondre car il me disait cela de la manière la plus naturelle possible sans malveillance. Nous étions donc en première loge quand Méroé s’enduit les mains d’huile de massage et dit quelque chose a son fils en langue locale.
- Ma mère demande à ce que ta femme enlève sa serviette pour le massage
Adèle s’exécuta car la demande semblait logique. Elle était maintenant nue sur le ventre devant Moussa et moi pendant que Méroé commençait son massage par le dos et les épaules.
- Ta femme est vraiment très belle monsieur.
- Appelle moi Julien et elle c’est Adèle
- Adele a un corps parfait
- Merci nous sommes mariés depuis hier
- Ah félicitations
Méroé massait maintenant les jambes d’Adèle, elle les avait d’ailleurs un peu écartés et on pouvait apercevoir son sexe de notre position. C’était vraiment excitant de voir cela et j’avoue que je commençais à rebander. Méroé fit comprendre à Adèle qu’elle devait se retourner pour poursuivre le massage. Ma chérie me chercha du regard et j’avoue que je ne savais pas trop quoi dire devant cette situation dérangeante et devant mon manque de réaction elle s’exécuta. Méroé repris donc son massage en prenant les deux seins de ma femme pour les enduire d’huile c’était vraiment érotique.

- Ça commence à m’exciter tout ça
Moussa venait de faire tomber sa serviette dévoilant un sexe de taille impressionnante d’un noir ébène dressé. Il commença une lente masturbation en regardant le massage de ma femme. Je n’osais rien dire totalement surpris de ce comportement.
- Ça ne te donne pas la trique toi Julien ?
Il tira ma serviette révélant ma bite dressée qui paraissait vraiment ridicule a coté
- Branle-toi avec moi Julien ta femme le mérite.
Adèle semblait se laisser aller à son massage avec les mains expertes de Méroé. Elle était comme en transe. Méroé commença à écarter les jambes de ma douce et masser l’intérieur de ses cuisses. Ma femme respirait de plus en plus fort quand les doigts boudinés de la grosse mama africaine s’approchaient de son vagin. Elle ne put d’ailleurs retenir un gémissement quand Méroé lui introduit un doigt. Pour ma part je rentrais sans m’en rendre compte dans le jeu de Moussa et commençais à me masturber.
Méroé tira les jambes d’Adèle sur ses épaules et plongea son visage de grand-mère dans l’entrejambe de ma femme. Adèle gémissait de plaisir sous les coups de langues et semblait proche d’un orgasme. Moi la situation m’excitait tant que je pus me retenir d’éjaculer dans ma main droite. Méroé releva la tête et prononça une phrase dans notre direction.
- Ma mère me signale que ta femme est prête à être honorée vas-y Julien.
Moussa voyant mon sexe flasque de ma récente éjaculation se mit à rire.
- Mon pauvre vieux tu n’as pas pu résister. Si tu permets moi j’en peux plus. T’inquiète ma mère va te remettre en forme.
Il n’attendit pas ma permission se leva et se dirigea vers Adèle qui avait toujours les yeux fermés au bord de l’orgasme ne sachant pas trop ce qui se tramait autour. Moi toujours muet et incapable de stopper cet engrenage voyait Méroé retourner Adèle pour la mettre à 4 pattes en continuant de la doigter doucement. Moussa se plaça derrière le cul de ma femme, prit ses deux fesses a pleine mains pour les écarter au maximum, plaça son énorme pénis a l’entrée du vagin de ma femme et d’un puissant coup de rein et sans la moindre préparation la pénétra en entier. Cela arracha un cri de douleur d’Adèle qui sortait de sa somnolence et en croisant mon regard réalisa que Moussa était en train de la prendre en levrette. J’étais hypnotisé par la puissance de cet homme qui baisait ma si belle Latina a grands coups de bite. Méroé m’avait rejoint sur le banc et pris mon sexe en main en me masturbant doucement. J’étais totalement tétanisé et incapable de faire quoique ce soit.
- Merci Julien, ta petite femme blanche est tellement serrée c’est un délice.
Je ne savais quoi répondre mais lui toujours en levrette imprimait maintenant un bon rythme et Adèle les yeux dans le vide semblait plus que jamais en extase et criait de toutes ses forces son plaisir. Moussa se cambra et dans un énorme dernier coup de bite se braqua et éjacula dans le vagin de ma femme. Il sortit dans un grand blop et mit une grande fessée à ma femme pour se rassoir à côté de moi.
- La place est libre l’ami. Cette petite salope n’attend que toi.
Méroé avait réussi à me faire bander de nouveau bien que ce fut surtout la situation qui en était la raison. Je me levais et me plaçant derrière je voulus imiter mon prédécesseur en me plantant d’un coup en elle. Je me rendais vite compte que son vagin était totalement élargi et je ne touchais pas les bords avec mon sexe. Je m’efforçais de lui donner quand même du plaisir mais Adèle restait plutôt silencieuse.
Je regardais Moussa qui paraissait se rendre compte de la situation et s’en amuser avec sa mère qui riait. Mort de honte j’arrêtais mes va et vient partais me rassoir.
- C’est normal Julien, on ne fait pas partie de la même catégorie. Il faut que tu attendes là tu ne pourras lui donner de plaisir elle est trop écartée.
- Oui j’ai vu.
J’étais dégouté et anéantit. Adèle quant à elle était allongée, dans les vapes suite à son coït puissant avec Moussa. Méroé semblait compatir et se mit à genoux et sans me demander mon avis me prit en bouche. Cette vieille femme savait y faire avec sa langue en tout cas.
- Bon vu que ma mère s’occupe de toi je vais prendre du rab.
Moussa se leva et rejoignit ma chérie, il la releva, pris son visage dans ses grandes mains noires et l’embrassa langoureusement. Adèle se laissait complètement aller à ce baiser et je pouvais voir leurs langues s’emmêlaient. Méroé continuait sa fellation. Moussa se leva en portant Adèle et telle un Koala se planta sur son chibre en suspension.
- Tu l’aimes ma grosse bite de noir ?
- ….
- J’ai tout de suite vu que tu étais une salope pour grosses bites.
Il la plaquait au mur et la culbutait avec force tout en lui roulant d’énormes pelles et ma femme semblait aux anges. J’étais terriblement jaloux mais je ne pouvais pas lutter avec une bite de cette taille. Méroé s’était relevé et la grosse femme fit tomber sa serviette me dévoilant ses grosses jambes pleines de cellulite ainsi que son pubis couvert de poils grisonnants. Profitant de ma stupeur elle m’enjamba et se planta sur mon sexe bandé imprimant le rythme elle-même. J’en été réduit a être un mannequin sexuel pour elle.
Moussa quant a lui avait maintenant retourné Adèle qui mains contre le mur se laissait totalement faire quand il la cambra. Il la repénétra et commença à lui doigter l’anus avec deux doigts. Il les fit aller et venir pendant un moment puis mis les deux doigts dans la bouche de ma femme, plaça son chibre à l’entrée de son anus et l’encula de manière puissante. J’étais impressionné qu’un sexe de si grande taille pu rentrer si facilement dans l’anus de ma petite femme. Adèle semblait adorer et hurlait de plaisir. Moi je n’en pouvais plus et finis par éjaculer dans la chatte de Méroé qui se releva mine de rien et quitta le sauna sans un mot.
J’étais maintenant seul spectateur de la sodomie de ma récente femme et le pire c’est que je ne pouvais pas lui en vouloir car j’avais laissé faire ça sans rien dire. Au bout de 10 bonnes minutes d’enculades puissantes, Moussa força ma princesse à se mettre à genoux et recouvrit littéralement son visage de princesse de sperme. Il alla même jusqu’à essuyer son chibre dans ses cheveux.
- C’était vraiment trop bon ! Encore merci pour le cadeau Julien ta femme aime la bite.
- De rien je n’ai pas eu trop le choix
- Bon en tout cas vu qu’on est que 4 dans l’hôtel vous pouvez manger avec nous ce soir non ?
- Euh je ne sais pas trop
- Ça marche du coup on se dit vers 20h au restaurant a cote de la piscine ? Ma mère va nous préparer un bon plat typique.
- Euh bon bah d’accord
- Allez à tout a l’heure les tourtereaux reposez-vous bien.
Il ne m’avait pas vraiment laissé le choix et j’avais accepté comme un con. Bref le séjour ne commençait pas de la manière voulut pour moi. Adèle me regardait un peu désolée et sans un mot l’un pour l’autre nous rejoignirent la chambre pour prendre une douche et faire une petite sieste avant de redescendre pour le repas.
- Je ne sais pas ce qui m’a pris Julien
- C’est ma faute j’aurais dû m’interposer mais il m’a pris de court et après c’était trop tard
- Je suis désolée d’avoir pris tant de plaisir mais ils savaient y faire tous les deux j’ai l’impression qu’on est tombé dans un piège.
- Oui et il va falloir en sortir.
Nous étions tous les deux impuissants et sans solution suite à cet épisode. Il va falloir reprendre les choses en main et j’espérais que le repas n’allait pas dégênerait encore une fois.
Nous nous sommes préparés pour la soirée. J’enfilais un short beige avec une chemise blanche d’été, Adèle opta pour une petite robe d’été légère avec un ensemble tanga soutif bleu ciel. Arrivés au restaurant nous pûmes découvrir une belle petite table au bord de la piscine. Moussa était en short avec une chemise ouverte exhibant sa carrure impressionnante. Son short ne cachait pas du tout le monstre à l’intérieur qui le déformait complètement. La mama en djellaba ramenait un grand plat de gambas poêlées pour l’entrée.
- Ah vous êtes là les jeunes je nous ai servi un cocktail asseyez-vous.
Il se leva et d’une manière assez directe pris la main de Adèle pour l’assoir sur le siège voisin au sien je dus donc me placer en face d’elle sa mère à mes côtés. Nous commencions donc l’apéro en engageant doucement la conversation. Adèle racontait l’obtention de son diplôme de professeur quand moi je racontais mon nouveau job sur la nouvelle plateforme de streaming. Lui racontait qu’il avait hérité de l’hôtel depuis la mort de son père et qu’il avait toujours aidé sa mère ici donc il connaissait le lieu par cœur. Le cocktail était vraiment bon bien qu’un peu fort et les gambas une ie.
L’ambiance était vraiment sympa et l’épisode de tout à l’heure un peu oublié, on se sentait vraiment en vacances. Adèle riait et paraissait s’amuser également. Même la mama a qui Moussa traduisait toutes les conversations passait un bon moment. Elle nous ramena un énorme yassa de poulet en guise de plat qui paraissait succulent.
C’est d’ailleurs au cours de ce plat que je remarquais qu’Adèle paraissait gênée par quelque chose elle était rouge et un peu suante je pensais qu’elle avait trop bu. Je l’interrogeais du regard sur son trouble et semblait me designer le sol. Je fis donc exprès de faire tomber mon couteau et en le ramassant je remarquais la main de Moussa plongée entre les cuisses de ma beauté d’où son trouble. Décidé à intervenir en me relevant je fus interrompu par la main de la mama qui avec une dextérité impressionnante parvint à passer sa main dans mon short et prendre mon sexe en main le serrant pour m’interdire d’intervenir. Je vis Moussa glisser quelques mots à l’oreille de ma femme qui sans un mot quitta la table.
La mama en profita pour débarrasser les assiettes et aller chercher les digestifs et des glaces pour le dessert. Adèle revint quelques minutes plus tard et se rassit sans un mot ni un regard pour moi. Je vis immédiatement la main de Moussa replonger sous la table et les yeux de ma femme se fermer. Le repas continuait comme si de rien n’était. Ma curiosité étant trop forte je refis tomber un couvert et pu constater que Moussa doigtait maintenant allègrement Adèle jambes grandes écartées sans sa culotte. Je comprenais qu’elle avait été l’enlever pendant sa courte absence. En me relevant je vis le sourire satisfait de Moussa me remplit de jalousie.
- Bon ça vous dit de danser un petit peu les jeunes ? Moi je vais inviter ma mère
Moussa augmenta le son de la musique africaine qu’il y avait en fond et commença une danse traditionnelle avec sa mère. Je sautais sur l’occasion pour danser avec ma femme et lui poser les questions qui me hantaient.
- Comment tu as pu te laisser caresser ? je croyais qu’on devait arrêter cela.
- Bah j’ai essayé mais je ne voulais pas gueuler et quand tu as ramassé ton couteau et que tu as vu je croyais que tu allais t’en charger
- C’est ce que j’allais faire mais la mère m’a pris le sexe en main et l’a serré si fort que je n’ai pu rien dire
- Ces salauds sont des pros. On est des amateurs
- Profitons-en pour danser et aller se coucher juste après mon cœur
- D’accord mon chéri
Nous dansions donc en mode slow bras dans les bras yeux fermés en amoureux. Je ne vis pas Moussa arriver et se plaquer dans le dos de ma douce pour commencer à danser lui aussi avec. Il se frotter sensuellement dans le dos de ma femme.
- A mon tour de danser Julien laisse-moi un peu la place mon grand
Il dit cela en me poussant quelques peu et avec un regard qui voulait dire dégage petit. Et moi comme un lâche je sortis de la piste et me rassis sur ma chaise, dégouté. Moussa ne perdit pas de temps et tout en dansant sensuellement dans le dos de ma femme commença à déposer des bisous dans son cou et à lui caresser les seins. Adèle ne me regardait même pas et les yeux fermés se laissait aller. Moussa fit tomber la chemise et dansait maintenant face à face avec ma femme. Leur corps ondulait au même rythme se frottant elle devait forcement sentir son énorme sexe. Il continuait à lui déposer des bisous dans le cou et avait maintenant relevé la robe de ma femme dévoilant son cul magnifiquement bombé qu’il prit tout de suite dans ses mains. Il semblait lui parler à l’oreille et sans un regard vers moi quittèrent la piste de danse pour prendre les escaliers.
Ce fut comme un coup de massue j’étais immobilisé sur ma chaise. La mama me prit par la main et me guida vers l’escalier pour les rejoindre. Comme je le redoutais nous avons rejoint notre chambre et en entrant je découvrais Adèle et Moussa allongés dans le lit se roulant de grandes pelles. La robe de ma femme était remontée jusqu’à son ventre et Moussa la doigtait fortement. Les bruits ne laissaient aucun doute sur l’état d’humidité du sexe de ma femme. Je ne savais plus quoi penser c’était un cauchemar. La mama essaya de me caresser le sexe pour compenser mais je la repoussais totalement dégouté. Elle rejoignit alors le couple sur le lit. Moussa laissa la place à sa mère le temps de se déshabiller. Méroé prit le relai et roula une énorme pelle a Adèle également tout en faisant passer la robe de ma femme au-dessus de ses épaules.
Pour ma part j’étais debout totalement sonné et contraint de regarder ce spectacle. Les trois protagonistes étaient maintenant nus. Méroé allongé obligea ma princesse à se mettre à 4 pattes et plongea son visage dans sa vieille chatte poilue. Je voyais Adèle commencer à lécher comme elle pouvait.
- Julien au lieu de rester la comme un con vient bouffer la chatte de cette chienne.
- …
- Allez magne toi
A ses ordres je me plaçais derrière ma femme et commençais à la lécher. En effet elle mouillait abondamment et je me délectais de son nectar. Pour la première fois j’avais l’impression de faire jouir Adèle car sa réaction ne s’est pas faite attende même si ses gémissements étaient étouffés par le vagin de Méroé.
- Prépare-lui le cul aussi je vais tout lui défoncer à cette pute blanche
Je passais donc ma langue sur son anus encore un peu dilaté de tout à l’heure. Après plusieurs minutes de ce traitement. Méroé se mis elle aussi a 4 pattes et dirigea cette fois le visage de ma beauté directement entre ses fesses dans son anus lui aussi couvert de poils. Je me demandais comment ma femme pouvait accepter cette soumission sans rechigner.
- Bon Julien retourne te branler sur le côté je prends le relai.
Tout en disant cela il me poussa d’une main. Se plaça derrière ma femme le sexe au garde à vous. Moi anéanti et totalement humilié je retournais à mon poste a cote du lit.
- Allez petite chienne vient t’empaler sur mon dard. Moi je ne bougerai pas.
Je vis alors ma femme reculer ses fesses et s’empaler par elle-même sur le sexe de Moussa dans un râle de plaisir. Moussa ne bougeait pas et c’est ma femme qui faisait les allers-retours sur l’énorme sexe noir du sénégalais tout en léchant l’anus de la mère de ce dernier.
Après de longues minutes de cette position les deux prédateurs manipulèrent Adèle pour la mettre dans la position qu’ils décidèrent. Elle se laissait totalement aller à son plaisir et ne s’occupait pas du tout de moi. Méroé allongé sur le dos mis Adèle sur elle en position 69 afin de commencer un cunnilingus synchronisé. Moussa lui se plaça derrière ma femme et pendant que sa mère la léchait lui l’enculait. Moussa se déchainait totalement fessant à grande claques les fesses d’Adèle qui sous les coups de langues de Méroé jouissait de plus belle.
Moi à coté je subissais ce spectacle obscène me demandant comment on avait pu en arriver là. J’étais totalement abattu et ne savais plus quoi penser.
- Putain Julien tu as vraiment de la chance d’avoir dégoter une chienne comme ça.
Cet homme m’humiliait carrément mais j’avoue que ce spectacle me faisait malgré moi bander c’était horrible. Méroé semblait avoir eu sa dose car comme tout a l’heure elle se releva se rhabilla et parti sans dire un mot. Moussa retourna alors ma princesse et les jambes de ma femme sur ses épaules repris sa sodomie de plus belle. Elle criait de bonheur la bouche grande ouverte sous les grands coups de bites de Moussa.
- Tu aimes la bite hein je vais te défoncer tout le séjour t’inquiète tiens prend ça.
Il lui cracha dans la bouche un gros crachat de salive qu’elle avalait sans broncher. Il finit par se cambrer bien au fond de son anus et déversa tout son foutre au fond des entrailles de ma princesse. Il s’écroula sur le côté laissant le sperme déborder de l’anus de ma femme. Pensant enfin être libéré de ce calvaire je n’en revenais pas de voir ma femme de son propre chef se mettre à 4 pattes devant Moussa et le prendre en bouche comme pour le remercier.
- Hahah tu n’en a jamais assez dis donc. Julien désolé mais je pense que je vais rester un moment encore. Tu peux dormir à côté si tu veux.
Ma femme ne me regardait même pas et suçait le patron de l’hôtel a pleine bouche. Lui savourait sa domination et satisfait profitait de ce petit cadeau de cette petite blanche qui paraissait si timide et prude. Il se remit vite à bander et ma femme se plaça au-dessus et le chevaucha pour introduire son énorme sexe dans son vagin. Moussa la plaqua tout contre lui et avec une vitesse incroyable commença à la pilonner avec force. Ma femme jouissait maintenant très fortement heureusement qu’il n’y avait personne dans les chambres voisines. Moussa envoyait alors des fessées puissantes.
- Tu es ma pute t’as compris. Tu m’appartiens c’est clair ?
- OUUUUUIIIIIII
- Oui quoi ? Il lui mit une énorme claque tout en la pilonnant sa joue devint rouge vif
- JE SUIS TA PUTE !!!!
Tout en criant cela comme pour m’humilier d’avantage elle eut un orgasme dévastateur. Quant à lui il continua son pilonnage jusqu’à ce que d’un coup il se leva prit ma femme par les cheveux se leva et introduit d’un coup tout son chibre au fond de la gorge de ma femme. Je voyais cette petite gorge complétement déformée par l’énorme chibre et il éjacula encore une fois. Adèle avala jusqu’à la dernière goutte et tomba sur le lit totalement rassasiée.
Moussa sortit du lit se rhabilla vite fait et me mit une bonne tape sur l’épaule.
- Passez une bonne nuit les amoureux. On se voit demain matin je vous présenterai les différentes activités de l’hôtel je vous prépare un super programme pour vos 4 jours restants fais-moi confiance.
- Merci
Il sortit en riant de ma réponse. J’étais vraiment une merde et il savait que j’avais perdu. Il allait profiter de ma jeune femme tout le séjour et je ne pourrais rien faire pour l’en empêcher. Surtout que ma femme est totalement consentante et prend énormément de plaisir.
Je me déshabillais pour m’allonger dans le lit a ses cotes la tête pleine des images que je venais de voir. Je ne savais plus quoi penser.
- Chéri ? Désolé je ne peux pas faire autrement c’est beaucoup trop bon pour refuser.
- …
- Je pense que tant que tu laisseras faire je ne pourrais pas refuser je suis trop faible et soumise c’est ma nature je pense. Mais sache que je t’aime plus que tout Julien
Sur ces mots elle s’endormit et je ne savais pas quoi répondre j’étais devant ce dilemme, soit je trouvais la force de m’opposer à ça soit je serai témoin de la débauche de ma femme qui malgré son physique de déesse ne peux pas refuser les avances des males alphas aussi moches soient-ils. Je m’endormais sur ce dilemme

A suivre


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