La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1415)

chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1414) –

Quelques secondes après l’esclave qui était venu me chercher entra dans la cuisine et me conduit au Chenil pour y passer la nuit... J’étais un peu triste de ne pas dormir dans Son lit ou dans mon panier dans Sa chambre, mais c’était Sa volonté et Sa façon de me montrer où était ma place et une façon à ce que je ne l’oublie pas. Et j’allais devoir m’armer de patience car durant les jours suivants, Maitre ne me fit pas venir pour me retrouver à Ses pieds pour m’utiliser. Mais j’étais utilisée par les hommes du Maitre, en public à l’extérieur du Château souvent pour finaliser des négociations financières de Sa clientèle, comme en privé, par Walter le Majordome ou par Marie la cuisinière et sans jamais avoir la chance de croiser le Noble. Concernant Son absence, ce fut un dur moment pour moi, car j’avais besoin de Sa présence dans ma soumission, mais en même temps c’est moi qui était à Sa disposition et non le contraire. Mais en même temps, j’avais choisi en pleine conscience ma destinée et je ne voulais pour rien au monde revenir à une vie vanille sans D/s. Durant ce temps, je me consacrais à mon entreprise de traiteur gastronomique avec prises de rendez-vous en extérieur, mais aussi la réfection du petit château que mes parents m’avaient légué (voir les épisodes précédents). Cela m’occupait l’esprit, mais en même temps je culpabilisais de ne pas servir le Maitre, mais si je voulais porter Sa Marque et je me devais de respecter Ses directives, en plus d’avoir la chance d’être une de Ses favorites… Ce fut seulement au bout de 3 semaines que j’eu la chance d’être menée dans Ses appartements.

- Ma belle Cataleya, viens ici Ma chienne, viens sucer et me boire. Ce que j’exige de toi est que tu me serviras d’urinoir dès à présent et pour le reste de ta vie de chienne soumise à Mes pieds quand tu seras en Ma présence et si un ou une de Mes invités le décide, tu pourras même à loisir lui servir de toilettes.

..
- D’urinoir … ? Bien Maître, Vos Exigences sont des ordres, répondis-je surprise, mais je l’avoue également excitée.
- Allez, vient avec Moi dans la salle de bain, salope…

Je m’installe alors près de Lui dans la très vaste douche où il y a largement la place de se coucher au sol, ce que je fais sur Son ordre… Et c’est ainsi couchée sur le dos, les cuisses largement écartées, la bouche grandement ouverte, que Le Maitre commence par m’arroser mon corps nu de Son divin nectar doré tandis qu’il m’exige que je me masturber le clito, de me doigter le vagin et sans m’arrêter pendant que je reçois Son urine. Même excitée, j’ouvre la bouche avec un peu d’appréhension car c’est la première fois que le Maitre exige de moi que je boive son urine. Et c’est très humiliant pour moi, mais en même temps je suis heureuse de Le satisfaire comme Il exige de moi dans m’importe quelle situation. Il vise ma bouche, je sens le gout de Son urine entrer dans ma cavité buccale et en avale le plus possible, le reste du flot d’urine coulant sur le bas de mes joues. Ça devient un honneur pour moi de Lui servir d’urinoir d’être ainsi humiliée et rabaissée comme un simple objet, et donc en ce cas-là un simple urinoir. Une fois fini, il saisit mes cheveux pour me relever et baiser la bouche et s’enfoncer dedans pour la prendre jusqu'à la garde à plusieurs reprises jusqu’au fond de ma gorge, sentant Sa verge demi-molle durant qu’il urinait sur moi, grossir grandement dans ma cavité buccale… A ce moment-là, je me sens comme un vulgaire jouet, un simple trou que le Maitre utilise comme une citerne à pisse, et à foutre, ce qu’Il me répète à plusieurs reprises pendant qu’Il me baise la bouche et ce qui m’excite. C’est ce que je désire le plus au monde, c’est devenir une esclave MDE à Sa totale disposition, qu’Il me dresse à Le satisfaire dans chaque acte qu’Il m’imposera. Après un long moment à avoir utilisé ma bouche comme vide-couilles, c’est dans des râles jouissifs et longs que le Maitre éjacule abondamment tout au fond de ma gorge en me maintenant fermement par la nuque.
.. Une fois qu’il se soit retiré, je Lui nettoie, comme il se doit, Sa noble Verge avec cet immense plaisir celui de Lui appartenir. Durant les jours qui suivirent j’eu le droit une fois de dormir avec Le Maitre mais uniquement à même le sol de Sa chambre et avec une de mes sœurs de soumission. Toutes le deux en boules à même le parquet ciré et Le Maitre nous utilisa comme bon lui semble mainte fois dans la nuit dans des ébats torrides. Il exigea même que je pratique avec ma sœur de soumission des caresses lesbiennes jusqu’à se doigter mutuellement et jouir ensemble moi et elle, après Son autorisation…

Une autre fois, je m’en rappelle très bien, je fus prêtée à un couple de Dominants pour la nuit dans, également, un mélange entre sexe torride, D/s et saphisme. Car pendant que l’homme me baisait, la femme m’ordonna de la faire jouir en léchant sa chatte et à lui provoquer un orgasme en même temps que son compagnon jouirait dans mon cul ou ma chatte. Il y eu aussi une séance de fouet où le silence le plus absolu était exigé car il était déjà tard dans la nuit et ce couple habitait dans un cossu immeuble-résidence et le voisinage était donc proche. Ce fut un moment très éprouvant pour moi qui n’avais pas l’habitude de retenir mes cris de douleur ou de plaisirs. Les coups de fouet étaient durs, voir même très durs, j’avais du mal à me retenir de crier et je me tordais de douleurs devant leur rire sadique et leurs insultes salaces, même si j’en coulais de cyprine d’excitation tellement la situation m’excitait...

Souvent, à d’autres moments, alors que je dormais ou attendais au Chenil, avec mes frères et sœurs de soumissions et selon les bons vouloirs de Monsieur le Marquis quand Il daignait venir me voir, j’étais juste utilisée pour avaler Sa semence ou Son urine, comme Il l’exigeait de moi, je n’étais plus qu’un vide-vessies ou vide-couilles à utiliser sans modération… Un jour, il m’annonça :

- Je vais faire de toi, dans les prochains mois à venir, et comme je le fais maintenant, un garage à bites, Ma chienne, une citerne à foutre, une vulgaire chienne de rue qui va puer le foutre ou la pisse à des kilomètres, un réservoir à sperme.


Sur Ses mots le Maitre me sortit du Chenil et me fit entrer dans la grande salle de réception du Château où il y avait un repas de prévu.

- Tu vas être l’attraction principale, aujourd’hui, Ma salope de chienne de cette soirée alors soit digne de la confiance que j’ai en toi.
- Oui Maitre, Lui dis-je en me prosternant à Ses pieds
- Ma belle chienne, que tu es magnifique à ta place. Il va te falloir du courage pour ce que je vais te faire subir aujourd’hui et dans les prochains mois pour enfin mériter de porter Mes Initiales à ton collier et cela avec le titre suprême d’esclave MDE, mais on en est encore loin, même si je sais que tu en es capable, sinon tu ne serais pas ici et encore moins à Mes pieds. Reste à Mes pieds et nettoie mes chaussures de ta langue de chienne. Aller et dépêche toi petite chienne

Très motivée par Ses mots encourageant, je m’exécute et nettoie consciencieusement les chaussures du Noble avant le début de la soirée qui va bientôt commencer. Et qui s’annonce riche en événements et ce fut le cas, car durant toute la soirée, je fus l’attraction de tous les Dominas et Dominants. Entre Croix de St-André, fouet, badine, martinet, chat à 9 queue, sodomies sauvages à répétition, chatte amplement remplie, souvent prise par mes trois orifices à la fois, mais aussi avec mes tétons travaillés, mes lèvres intimes munies de pinces, etc… Je fus humiliée, largement utilisée de multiples façons mais toujours heureuse et très excitée de satisfaire le Maitre et ses Invités présents. Au milieu du repas, Monsieur le Marquis était venu m’installer sur la table de gynéco et se mit à me pénétrer par un paquet attaché de crayons de couleurs dans ma chatte, crayons positionnés à diverses hauteurs dans le paquet, et donc les sensations étaient exquises car tous les points érogènes de mon sexe étaient mis en contact et provoquaient en moi mille excitations sublimes et démultipliés Puis Maitre me les retira doucement puis commença doucement à me branler mon clito de salope, déjà bien trempé de ma mouille de chienne en chaleur, puis le Châtelain continua en accélérant Ses mouvements et en me pénétrant la chatte d’un immense gode de taille XXL, doucement le gode me dilata la chatte et je retins mes gémissements de plaisirs, une fois ce gros gode entrée dans ma cavité vaginale, Il le ressort tout en continuant à me branler le clito pour me fister le plus profond possible avec Son poing entier entré et avec des mouvements rotatoires, ce qui accentua la monter de mon plaisir et me fit couler fontaine que je retins non sans mal quand Maitre m’ordonna :

- Pas encore, catin retiens-toi encore, espèce de grosse truie en chaleur.


Les mots du Maitre augmenta mon plaisir et j’eu de plus en plus de mal à me retenir de jouir, mais je tins le coup non sans mal. C’est seulement au bout de 15 à 20 minutes de ce supplice à ne pas jouir que Maitre stoppe tout et me descends de la table. C’est frustrée de n’avoir pas été autorisée à l’orgasme qu’Il m’amène près de Lui, à table pour que je mange ma pâtée bouillie de chienne, dans ma gamelle et que j’en profite pour me désaltérer. Une fois fini de manger, je m’installe en position agenouillée en attente et en silence, toujours tête baissée. Mais il est déjà tard et j’attends les directives de Maitre et je n’ai droit qu’aux caresses du Châtelain qui passe Sa main dans mes cheveux, tout en discutant avec Monsieur le Préfet et d’autres invités. Alors, durant une bonne partie de la soirée, je reste la à attendre avec dévotion et obéissance. Je me sens heureuse et encore une fois, je me sens frustrée de ne pas avoir joui. Mais ce sont les Volontés du Maitre et je balaye vite cette frustration, pour me concentrer sur le bonheur de Le servir…

(A suivre …)

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