Le Retour Sur L'Autoroute...

Il est 2h du matin. Nous rentrons en voiture sur l’autoroute. Nous rentrons d’une soirée chez des amis. Tu as un peu bu. Tu es très silencieuse. A un moment, je vois ta main gauche se poser sur ta cuisse et remonter ta mini jupe. Je t’observe du coin de l’œil. Tes yeux sont fermés et tes doigts continuent de remonter le bord de ta jupe. Dans l’ombre, je vois les poils de ta chatte : tu n’as plus ton string ! Tes doigts s’attaquent à ton clito. Insensiblement, ton autre main remonte vers tes seins.
Je murmure :
« Où es-tu ? »
Tes yeux s’entre ouvrent :
« Dans la salle de bain de Valérie… »
« Raconte-moi… »
« J’étais en train de me rafraîchir penchée en avant au-dessus du lavabo. C’est alors qu’une main s’est posée sur mes fesses remontant ma mini. Dans le miroir, j’ai vu Valérie souriante, un doigt sur les lèvres. J’ai baissé la tête à nouveau et sa 2ème main s’est posée sur mes fesses.
Puis elles ont glissé sous ma jupe pour remonter et accrocher mon string. Il a glissé le long de mes jambes jusqu’au sol. C’est à ce moment-là que j’ai senti ses lèvres se posaient doucement sur mes fesses. J’ai écarté les jambes un peu plus. Immédiatement, sa langue s’est glissée entre elles. Je me suis cambrée, offrant ma chatte à cette douceur.»
Je t’observe. Inconsciemment, Tes doigts se sont enfoncés dans ta chatte et ton autre main a sorti ton sein de ton chemisier.
Tu continues :
« Pour lui faciliter la chose, je me suis retournée et j’ai posé mon pied sur le bord de la baignoire. Immédiatement, elle a plongé sa langue dans ma chatte et je t’assure que cette salope sait s’occuper d’une chatte ! Elle m’a fait jouir 4 fois et la dernière fois j’avais 3 de ses doigts dans le cul ! »
Juste à ce moment, je vois ta tête partir en arrière, ta main se crisper sur ton téton et tes cuisses se refermer sur ta main. Tu jouis ! Mais quelle salope tu fais.
Après avoir repris tes esprits, tu me dis :
« J’ai envie que tu me baises.

Arrête-toi, vite ! »
Nous arrivons sur une aire de l’autoroute. Entre-temps, tu avais enlevé ta jupe et ton chemisier et, à quatre pattes sur le siège avant, tu me suçais la queue.
A un moment, j’ai dépassé un camion et son chauffeur, voyant ton cul offert, a klaxonné.
A peine arrêtés dans un coin sombre, tu as sauté hors de la caisse complètement nue. Tu es venue ouvrir ma porte, m’a tiré dehors, et t’es couchée à plat ventre sur le capot.
Tu as hurlé :
« Baise-moi, baise-moi à fond ! Défonce-moi ! Explose-moi le cul, je crève d’envie de ta queue ! »
Je me place derrière toi et d’un coup je t’enfonce ma queue dans la chatte ! Tu hurles de plus belle :
« Vas-y, plus fort ! Défonce ma chatte ! Bourre-moi ! »
Je m’exécute avec plaisir. Tout à nos exploits, nous n’avons pas entendu le camion arriver et son chauffeur s’approcher.
« Encule-moi maintenant ! Explose-moi le cul ! Vas-y mon salaud ! »
Et tu jouis, accrochée aux essuie-glaces et au bord du capot.
C’est alors que je sens une main sur mes fesses nues. C’est le camionneur. Il glisse sa main entre mes fesses et me plante un doigt dans le cul. Cela me fait sursauter et m’enfoncer à nouveau dans ton cul.
Tu me dis :
« Salaud, tu veux encore me défoncer ? Ne te gêne pas ! Vas-y »
Pendant ce temps, la bite du chauffeur a remplacé son doigt et je la sens s’enfoncer. En commençant les allers-retours dans ton cul, je m’empale sur sa queue. Tu n’as rien remarqué et tu recommences à gémir.
« Oui cochon, vas-y ! Putain, j’aurais envie que Valérie soit là pour lui bouffer la chatte pendant que tu m’encules ! La regarder se caresser ses gros seins durs pendant que je lui enfonce mes doigts dans la chatte et que je lui bouffe le clito. Putain je vais jouir de nouveau ! »
Mais pendant ce temps, de mon côté, la queue du routier me fait un bien fou et je ne vais pas tarder à jouir.
Tout à ma jouissance, je dis :
« Oui plus fort, fais-moi jouir ! »
Tu ne comprends plus.
Tu te retournes et vois le spectacle.
« Salaud, je ne me doutais de rien et toi tu te faisais bourrer le fion ! »
Tu te dégages de ma bite et le routier me plaque à ta place sur le capot. Tu passes de l’autre côté et viens t’asseoir sur le capot, ta chatte à la hauteur de ma bouche.
« Lèche salaud, lèche-moi pendant que cette brute se fait ton cul ! »
Je plonge. Putain que ta chatte est mouillée. J’adore te bouffer, le cul ouvert.
D’ailleurs je sens que mon enculeur va jouir. Il s’enfonce une dernière fois et se vide !
Quasiment, en même temps tu gueules ta jouissance ! Il se retire et s’en va après une petite claque sur mes fesses.
Je suis vautré sur le capot, ma bouche sur ta chatte.
Je me relève et t’aide à te relever. On se rhabille et on reprend la route. Sur le capot, on voit briller une trace large et humide : ton jus de chatte…
Vingt minutes plus tard, tu me dis :
« J’ai encore envie… »
La nuit n’est pas finie…

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