Quatre Inconnus Dans Un Palace

J’étais nu, les mains attachées, et on était en train de me laver.
J’avais les yeux bandés.
Je sentais néanmoins, qu’ils étaient plusieurs.
Pas ment dans cette pièce, mais qu’ils étaient plusieurs.

On ne me parlait pas.
On me touchait juste pour l’instant.
Rien de sexuel.

Je sortais de mon agence de publicité, un peu avant l’heure normale.
C’était mon anniversaire, aujourd’hui, et mon copain, Pierre-Olivier, m’attendait dans un bar de palace pour que nous fêtions cela. Il m’avait en plus dit, ce matin, en partant, qu’il m’avait réservé une surprise.
En sortant, quelqu'un m'a tapoté sur l’épaule, je n’ai rien vu et on m'a bandé très rapidement les yeux, serré très fortement, aucun mouvement n’était possible.
Mes cris étaient étouffés par une main gantée.
Et je n’ai pas cherché trop longtemps à me débattre.

On m’invita à changer de pièce.
Je quittai du carrelage froid, pour une moquette très épaisse.
On aurait pu s’enfoncer dedans.
J’avais marché quelques pas…et on me poussa sur un lit, et on m’attacha de nouveau.
On me fit enlever mon peignoir.
J’étais nu.
On me fit boire du champagne.

Deux mains commencèrent à me caresser.
Quatre autres suivirent.
Et deux autres encore.
En tout, huit mains me touchaient.

Une des mains s’aventura sur mon sexe, pour commencer à le branler.
Une autre me titillait l’anus.
Une autre main s’occupait des mes couilles.
Des langues commencèrent à me lécher.
On me détacha une main.

On prit ma main libre pour la faire courir sur un sexe, long, épais, charnu.
On me cracha sur le visage.

Un sexe se rapprocha de ma bouche et on me pria de l'avaler.
On me baisa la bouche.
Une première bitte,
Une deuxième.
Les deux en même temps.
On m’encourageait.

Dans le même temps, on me stimulait la rondelle.


Des doigts avec du gel entraient et sortaient.
Un, puis un deuxième, un troisième.
On continuait à faire des allers et retours.
Et les doigts laissèrent la place à un sexe.
De belle taille.
Son entrée, malgré la préparation, me brûlait les chairs.
Je ne pouvais crier, ma bouche étant toujours sous la possession de ces deux bites.

J’avais deux bites dans la bouche.
Une bite dans le cul.
J’avais compté tout à l’heure 8 mains.
Le dernier homme ne tarda pas à s’occuper finalement de ma bite.

Je couinais de plaisir.
Je ne savais pas où j’étais…

On me détacha ma main restante.
Et on me fit mettre à quatre pattes.
La bite que j’avais tout à l’heure dans le cul reprit ses pilonnages.
Une main me masturbait.
Il éjacula 6 longs jets de foutre.
Une deuxième suivit tout de suite après.
Un peu plus grosse encore. Certainement celle de celui qui me suçait tout à l’heure.
Elle devait faire un bon 21x5.
C’était bon.
J’étais ouvert.
Soumis aux désirs de quatre hommes.

On me versa du champagne dans le dos. Et des langues le lapèrent.

La deuxième bitte versa son sperme.
La troisième rentra, mais pas seule, on me manoeuvra comme un playmobil, et je sentis que je n’allais pas recevoir une mais deux bittes, en même temps.
Le bonheur.
C’étaient celles que je suçais au début, deux belles bites de 18 cm.
Ensemble dans mon cul.

On me débanda les yeux.
La pièce était plongée dans l’obscurité.
Une lumière était allumée dans une autre pièce.

Un homme se pencha et chuchota au creux de mon oreille.
« Bon anniversaire, mon loup »

Je reconnus la voix de Pierre-Olivier.

Il alluma une des lampes de chevet.
Je compris rapidement qu’il avait mis en scène un de mes fantasmes.
Me faire prendre par des inconnus dans une chambre de palace.

Le jour de mon anniversaire en plus.

Trois hommes,
Un Black
Un grand blond, très musclé
Un grand brun, très fin.
Trois hommes me sourirent, nus, une coupe de champagne à la main.

Pierre-Olivier me prit le sexe, me branla et me fit jouir devant ces trois hommes.
Le grand black nous tendit deux coupes

Un toast fut porté à mes 33 ans.
Et je m’en souviens encore.

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