Belle Fille En Rut

Je m'appelle Jacques. J''ai 45 ans.
J'ai connu Juliette il y a 15 ans, divorcée avec 2 s : Renaud, qui a maintenant 25 ans, et Marie, qui en a 20.
Nous avons eu ensuite le petit Léon, 7 ans et mignon comme tout.
J'avais donc élevé les deux petits, que je considérais comme mes s.
Cet été, nous sommes partis en vacances, Juliette, Marie, Léon et moi, à l'île d'Oléron.
Renaud, maintenant casé avec sa copine Aurore, ne daigne plus nous accompagner.
Nous étions sous la tente pendant quinze jours, avec peu d'intimité.

Marie, compréhensive, acceptait de s'occuper de Léon, lorsque le soir, Juliette et moi partions nous doucher.

Les douches étant bondées en fin d'après-midi, l'excuse était toute trouvée pour que nous rentrions tous les deux dans la même cabine. Nous en profitions pour baiser comme des fous, dans toutes les positions possibles. Juliette serrait un gant de toilette entre les dents pour ne pas trop se faire entendre par les cabines voisines.

Un soir, Juliette était partie acheter une paire de claquettes à Léon, qui lui même était chez des voisins, dans une caravane toute proche de notre tente. Nous nous étions baigné l'après-midi et une toilette s'imposait.

Juliette ne revenant toujours pas, Marie et moi décidâmes de partir à la douche. Les cabines étaient bien occupées, comme d'habitude. Il n'en restait plus qu'une. Je proposais naturellement à Marie de la prendre,
Elle y entra, et au dernier moment, me prit par la main et m'entraîna avec elle à l'intérieur.

- Tu baises maman tous les soirs. Je peux bien en profiter aujourd'hui. Si çà se trouve, elle a fait une rencontre est en train de baiser de son côté avec un mec.

Tout en exposant son argumentaire, Marie avait fermé la porte de la douche de l'intérieur; puis enlevé son maillot deux pièces pour se retrouver à poils devant moi.
Voici qu'elle s'attaquait maintenant à mon short de bain, mon seul vêtement.



Elle me l'enleva comme une affamée, et je me retrouvais aussi nu qu'elle.

En jeune fille bien élevée, elle rangea mon short sur l'étagère prévue à cet effet, au-dessus de son soutien-gorge et de son string.

Puis elle vint se serrer contre moi:

- Beau papa, je t'aime.

Elle me roula une pelle.

- Toi aussi tu m'aimes, vu comme tu bandes.

C'était vrai, et il n'y avait pas grand chose à dire. Marie continuait à se frotter contre moi, puis prit le savon, pour se laver elle-même, insistant sur sa chatte, puis me lava, achevant de me faire bander.

Je fus surpris de voir Marie, que je considérais toujours comme mon bébé, s'agenouiller et m'emboucher.

J'étais surpris de son ardeur et son don pour sucer. Juste comme il fallait. Je compris mieux lorsqu'elle m'enfonça un fois dans le cul, tout en continuant à me sucer.

- Maman m'a expliqué ce que tu aimais çà. Tu es un vrai cochon. C'est tant mieux, je suis une vraie truie.

Elle suça le doigt qui venait de m'enculer.

- Tu as vu ma chatte rasée ? Maman m'a dit que tu exigeais les chattes rasées.

Ce langage, dans la bouche d'une fille de vingt ans, me choquait. Mais je n’avais plus le temps d'y réfléchir, car je fis relever Marie, la retournais d'autorité contre le mur, et l'enculais très fort.

- Tu encules bien. Maman me l'avait dit. Continue. Je ne savais même pas qu'on pouvait jouir par derrière.

Je terminais à peine de jouir dans le cul de Marie, lorsque j'entendis la voix de Juliette au loin :
- Vous êtes où ?
C'est Marie qui répondit :

- Au 7ème ciel !!!

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