Week-End De Découvertes Bisexuelles: Lubrifiants Et Levier De Vitesse Bienvenus

Après cette entrée en matière, nous avons décidé de continuer à nous voir pour baiser ensemble à trois, et l’occasion s’est présentée ce week-end avec l’invitation à la villa.
Nous avons embarqué ce matin dans mon vieux cabriolet BMW, capote baissée. Il fait très chaud, je conduis torse nu. Cécile est à côté de moi, en mini-jupe et cache-cœur croisé, et Gilles est affalé en travers du siège arrière, en short, les pectoraux à l’air. Il nous faudra bien deux heures pour atteindre la villa, par de toutes petites routes à travers une cambrouse idyllique mais paumée.
Nous avons mis la sono à fond pour couvrir le bruit du vent. Voilà une heure que nous roulons quand le voyant d’huile se met à tirer dangereusement sur le rouge, et que ma vieille tire se met à fumer. J’avise un bosquet d’arbres au bord de la petite route et parque la voiture à l’ombre. Je baisse un peu le volume sonore, saute hors de la voiture et prends un bidon d’huile dans le coffre arrière. Je n’en ai pas pour long, les autres peuvent rester dans la voiture à écouter la zique.
J’ouvre le capot et me penche sur le moteur. Il me faudra attendre quelques minutes qu’il refroidisse avant de pouvoir remettre de l’huile. Comme je ne vois pas mes copains avec le capot ouvert, je leur crie d’avoir un peu de patience. J’en profite pour vérifier le niveau d’eau. Puis je verse le bidon d’huile. Sans entonnoir, je m’en fous plein sur les mains.
Je referme le capot, et découvre à travers le pare-brise que les deux vicieux n’ont pas perdu leur temps: Gilles est couché à poil le dos sur le capot arrière, les pieds sur les sièges jambes écartées, le bassin tendu en avant, les mains dans les cheveux de Cécile penchée sur lui par dessus les sièges avants qui lui pompe la teub. Le spectacle est bien bandant, mais ce qui mène mon excitation à son comble, c’est qu’elle est à cheval entre les deux sièges avant, un genou sur chaque siège, jupe relevée et seins à l’air, et se ramone lentement avec le levier de vitesse gainé de cuir planté dans le con.


La vision de ses fesses largement écartées qui vont et viennent en laissant poindre la rosace de son anus rosé m’attire irrésistiblement. J’expédie mon froc, j’enjambe la portière et me coule sous le tableau de bord. Je prends en main pleine d’huile mon sexe enflammé, graisse son trou du cul de mon index maculé d’huile de moteur et, la base du levier entre les cuisses, je lui enfonce doucement ma barramine en fusion par à-coups jusqu’au fond du cul. C’est la première fois que j’encule, et je découvre l’immense plaisir d’être enserré dans ce très étroit fourreau soyeux. Après s’être contractée quand je l’ai pénétrée, Cécile a relâché les muscles de son fessier et a repris son va et viens sur le levier dont je sens le cuir mouillé me frotter les couilles baignées de son jus qu’elle vient de lâcher en une vague tiède. A l’aveugle, ses mains viennent triturer mes muscles fessiers contractés. Au travers de la fine membrane qui sépare les deux cavernes, le renflement du pommeau qui coulisse dans son vagin masse ma trique sur toute sa longueur à chaque passage. Mes mains sont remplies de ses seins dont j’entreprends de triturer les tétons durcis entre mes doigts gras. Mon ventre et ma poitrine en sueur sont plaqués contre son dos, nos têtes côte à côte.
Elle a abandonné la queue de Gilles et lui suce le sac avec application, l’étirant entre ses dents. Son phallus luisant de salive se dresse insolent juste devant mon visage, émergeant d’un buisson de poils drus. Je n’ai encore jamais goûté de bite mais ce gros morceau obscène au gland suintant et à la forte odeur attire ma bouche comme un aimant, et je l’aspire goulûment. J’en ressens un frisson qui court le long de mon échine jusqu’au creux de mes reins. Ma langue lèche le frein du gland et s’enroule autour, et je commence à le pomper comme j’aime qu’on me suce. Il m’a empoigné par la tignasse et me donne le rythme. Je sens qu’il va me découiller dans la bouche, mais je découvre que ça m’excite et que je n’attends que ça.
Ma succion devient frénétique et il m’envoie en gueulant une rasade de sperme qui me tapisse le palais, englue ma langue et m’envahit la gorge. Je suis au paroxysme, et redouble d’ardeur à défoncer le cul de Cécile Mes couilles bouillonnent de foutre et un dernier coup de biroute à fond de cul suffit à me faire éjaculer avec l’impression d’exploser son derche.
Nous restons un moment écroulés les uns sur les autres à reprendre nos esprits. Une fois grossièrement essuyés, nous nous remettons en route sans nous rhabiller, musique à donf, le vent chaud séchant nos poils frissonnants. Tous les fluides sont de nouveau à niveau.

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