Les Vacances De Marion.

Margot, soixante deux ans, décide d'aller passer quinze jours de vacances chez sa copine
Marcelle, soixante ans. Margot en a profité pour emmener Marion, sa petite fille de dix neuf ans, histoire de lui changer les idées. Marcelle a une petite villa sur la côte d'azur.
Il fait encore jour quand Marion promène son chien dans le parc.
Elle y rencontre David, homme de cinquante huit ans, cheveux grisonnant, très charmant.
David est un homme très fortuné. Il est venu passé quinze jours dans sa superbe villa, pas très loin de celle de Marcelle. Ils se connaissent bien.
-Bonsoir, mademoiselle, dit David. La corvée du soir.
-Bonsoir, répond-elle timidement. Il faut bien lui faire prendre l'air.
-Vous êtes en vacances ? Demande David.
-Oui, répond Marion, avec ma grand-mère, chez son amie Marcelle

-Marion, je vais faire un tour avec Marcelle, dit Margot, tu veux venir avec nous ?
- Non merci, dit Marion, je ne vais pas tarder à rentrer.
Faut dire que les deux amies sont un peu grassouillettes. Peut-être que Marion n'ose pas trop s'afficher avec elles.
Marion et David finissent de faire connaissance en se présentant, et rentrent chez eux.
" Woua, quel homme séduisant" se dit Marion en se couchant.
Marion n'arrive pas à dormir. Le visage de David revient en permanence. Il est quatre heures du matin. Elle décide de se lever, pour aller à la cuisine prendre un verre d'eau.
En passant devant la chambre de Marcelle, elle perçoit des petits bruits, comme des gémissements. La porte est entre baillée. Marion y glisse un oeil.
Sa grand-mère est allongée sur le dos, toute nue, jambes écartées.
Marcelle est couchée sur le côté, une main derrière la tête de Margot, l'autre entre ses cuisses. Elle est en train de l'embrasser sur la bouche.
-Tu vois bien que je te l'ai chopée ta mounette, hein ? Salope. Dit Marcelle. Depuis que tu as envie que je te caresse la chatte.

Tu es toute mouillée maintenant.
-Cà fait rien, râle Margot, c'est trop bon. Doigte bien ma petite chatte. Tu sens mon clitoris comme il est dur. Tu me cailles là, oh putain, branle moi, je joui, ouii.. hou..ha.
-Tu appelles çà une petite chatte, répond Marcelle, Tu sens ce que j'y ai rentré ?
En effet, la main de Marcelle est rentrée au trois quart dans la chatte de Margot. Elle agite ses jambes de tous les côtés.
-Tu vas voir qu'en çà va être ton tour, menace Margot. On va t'entendre crier jusque sur le port, petite gouine.
Margot essaie de se dégager, mais Marcelle se met à genoux sur elle, sa chatte sur sa bouche.
-Tiens, goutte ma mouille, suce moi, ordonne Marcelle. Ta langue, bien sur mon bouton, vas-y, fait moi jouir. Oh, que tu me bouffes bien, ha...ha, petite pute, mord moi, hou.. Oui.
-Encore de ta mouille, réclame Margot, j'en veux encore. Mon petit clitoris, il te faut le punir ce salaud, ce polisson qui pense qu'à se faire gratter.
Marion n'en croit ni ses yeux, ni ses oreilles. Sa grand-mère qui fait l'amour avec Marcelle.
Et qui en plus se régale.
Marion va à la cuisine prendre son verre d'eau, et regagne sa chambre. Elle ôte sa chemise, et s'allonge sur le lit. N'y ne tenant plus, elle glisse deux doigts enter ses lèvres humides, et décalotte son clitoris.
"Pute de chatte, çà te fait mouiller ce que tu viens de voir, hein ? Tu veux que je te branle toi aussi, salope. Tiens, régale toi, crache, hou..hou.. ha..ha oui, ouiii.
Avant de s'endormir, Marion se doigte une seconde fois.
Le lendemain, pas un mot. Elle embrasse sa grand-mère et Marcelle.
-Bien dormi, ma chérie? demande Margot.
-Un peu de bruit, répond Marion, mais çà va.
-Ah bon, reprend Marcelle, et de où ?
-Je pense que c'était assez prêt, on entendait bien. Bon, je sors le chien.
Margot et Marcelle se regardent en souriant.
Une fois la promenade terminée, Marion décide d'aller à la plage.
Une fois arrivé, elle quitte son haut de maillot pour faire bronzer sa superbe poitrine.
Du bar, David reconnaît Marion. Il décide de la rejoindre.
Surprise, Marion porte ses mains sur ses seins.
-Je sais ce que c'est, la rassure David. Je suis pas venu pour çà. Ne te gêne pas.
"Après tout, pense Marion, pourquoi pas, c'est un bel homme, il a du en voir d'autre"
Elle enlève ses mains.
-Vous venez souvent ici ? demande-t-elle.
-Très souvent, depuis cinq ans que je suis seul, répond-il. Tu vois ce watch, là bas. Ben c'est le mien.
-Oh la la.mais vous êtes riche, dit Marion.
-Oui, répond David. Demain je sors en mer, çà te dirai de venir avec moi. Tu risques rien.
-Ce serai bien, répond Marion. D’accord.
David prend son téléphone.
-C'est David, ajoutez un repas de plus pour demain.
Arrivé à la villa, Marion en parle à Margot.
-Quoi, bondit- elle. Mais je ne connais pas ce David.
Marcelle est occupée à l'évier. Marion s'approche de son oreille.
-J'ai repéré les bruits hier, chuchote Marion, vous avez intérêt a m'aider.
Marcelle se sent coincée.
-Elle risque rien, Margot, je le connais, c'est un ami
-Merci, dit Marion en lui caressant les fesses. Vous serez récompensée.

Le départ est proche.
Marion est fascinée par cet homme. Les pensées les plus folles traversent son esprit.
"Qu'est ce qu'il m'arrive, je vais quand même pas succomber aux charmes de ce vieux"
Marion est accueillie par un jeune homme.
-Monsieur est en bas, dit-il, vous pouvez descendre.
Marion descend prudemment, et arrive dans un grand salon. Dans la glace, elle aperçoit
David, tout nu, en train de mettre son maillot. Comme elle est placée, elle voit bien ce qui pend entre ses jambes. Et c'est pas mal du tout.
-Bonjour, dit Marion.
-Oh, excusez moi, répond David, je ne vous ai pas entendu. Changez vous, il y a une cabine là,
On ira se bronzer au large après.
Arrivé sur place, David propose à Marion de venir s'étendre à côté de lui. Au bout de dix minutes, David sent une main Qui cherche la sienne.
Prenant appuie sur un coude, David se tourne vers elle. Marion n'a pas mis le haut de son maillot. Il voit la pointe de ses seins dressés, les bouts tendus vers le ciel. La respiration de Marion ne laisse aucun doute.
David caresse la magnifique poitrine. Il prend le risque de glisser un doigt entre le maillot et le fait courir sur les lèvres humides, puis le fait tourner sur le clitoris. Marion respire de plus en plus fort.
-Si tu veux que j'arrête, tu me le dis, dit David, je comprendrais.
Quel tact. Il attend que se soit elle qui l'invite.
-Allez-y, gémit Marion, caressez moi. J'ai envie. Faites moi l'amour, s'il vous plait.
David quitte son maillot, et ôte celui de Marion. Il lui prend la main et le guide vers sa queue.
-Amuse toi avec, dit-il, fait la grossir.
Marion saisit la bite de David, sans oublier de lui soupeser les couilles.
Une fois la queue de David en érection, elle lui suce le gland du bout des lèvres. Elle sourit, monte sur lui, lui prend les mains, et les placent sur ses seins.
-Prenez moi, dit-elle, faites moi jouir. Mon corps vous appartient aujourd'hui.
-Descend sur ma queue, répond-il, tu vas voir, je vais te faire du bien.
La chatte toute mouillée de Marion avale la bite de David dans un cri de plaisir. Son corps est tout cambré, offert aux caresses de David.
-Que c'est bon, murmure-t-elle, je vais jouir. Oh, ma chatte, comme elle se vide, hou..hou ! je suis niquée, oui....ouii ha..ha.., mon bouton est en feu, encore, encore oui..
-Petite vicieuse, moi aussi je joui, tu sens comme je crache, mon dieu, merci Marion de t'offrir à moi ha...ha..ha... oua.
Marion s'écroule sur le corps de son amant d'un jour. Elle lui prend les lèvres et les forcent avec sa lange. David répond farouchement au baiser.
-Je suis agréablement surprise.
Tu n'as rien à envier aux jeunes, dit-elle en le tutoyant. Tu veux que je te taille une pipe ?
-A une condition, répond-il, que je mange la chatte.
Sans attendre, Marion se met en position, et aspire la queue de David. Lui, a la jeune chatte sur sa bouche. Il fait vibrer le clitoris tout décalotté avec sa langue. Il tente aussi d'insérer un doigt dans le petit trou de Marion. Ne sentant aucune résistance, il doigte les deux orifices, le bouton toujours entre ses dents.
C'est un hurlement qui traverse la mer.
-Chéri, chéri, cri Marion, jamais on m'a faite jouir comme çà. Tu es un dieu mon amour !
L'orgasme est terrible. Marion est couverte de sueur.
-Je viens, gémit David, avale, s'il te plait. Que tu es bonne, vas-y, suce. Passe bien ta langue sur mon gland, ha...ha. Oui, encore merci !
-C'est toi qui m'a excitée, il faudrait que je rencontre un homme comme toi.
-Je pars en mer ce week-end, poursuit David, tu veux venir avec moi ?
-Oh oui, répond-elle, on fera l'amour ?
-Si tu veux, bien sur.
-Et là, maintenant, dit-elle, tu peux me donner encore.
-Viens ici, ma chérie, tu as pas du être bien baisée dans ta vie.
David va prendre sa douche, laissant Marion épuisée sur le pont.
Deux heures après, le bateau regagne le port.

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