La Plage Abandonnée Entre Amis

L'été dernier nous sommes allé avec un couple de nos amis : Lui bien foutu, elle 1m75, 85, 6O, 90 et un arrière train à damner un saint. Il se nomme André et elle Laurette. Mon épouse est aussi grande, avec un poil de plus de poitrine. Elle s'appelle Odette et moi, bof, je ne me trouve pas extraordinaire, je me nomme Jean. Nous sommes donc allez à la plage au bord de la Méditerranée. Il faisait relativement frais : environ 25° et les autres gens ne trouvant pas la température à leur goût partaient du bord de mer. Etant totalement isolés nous avons décidé de nous baigner dans le plus simple appareil. Laurette faisait un peu la grimace étant un peu prude. Mais après une courte hésitation elle nous fit un déshabillage très sexy. André le lui fit remarquer avec un brin de jalousie : il aimait bien conserver pour lui certains aspect de sa moitié. Nous sommes allé en courant nous jeter dans l'eau et partîmes en nageant un peu. L'eau était très agréable Odette s'approche de moi et me met la main sur le sexe qui était devenu rikiki dans l'eau. Mais elle me fit bander et me demande de la branler. L'autre couple étant relativement loin j'acceptais avec plaisir : faire jouir ma femme est l'un de mes plaisir les plus fin, j'aime son visage crispé par les orgasmes. Nous sortions de l'eau moi la pine encore un peu raide, et Odette rayonnante comme toujours après avoir joui.
Puis nos amis sortaient à leur tour et venaient se mettre près de nous. Je remarquais qu'il bandait encore un peu : eux aussi avaient du jouir. Mon épouse, toujours à l'affût d'une plaisanterie demandait à Laurette si elle avait pris son pied. En rougissant un peu elle répondit que oui, mais c'est mieux couché. Odette dans je ne sais qu'el élan vient l'embrasser sur la bouche. Laurette troublée répond à son baiser et elles se mettent à se caresser mutuellement.
Avec André nous étions surpris par les réactions de nos femmes. Mais nous bandions tous les deux.. Aussi voulant interrompre les deux filles qui se branlaient mutuellement, nous sommes allés vers elles.

Nous nous sommes fait remballer : elles voulaient jouir entre elles, ce qui d'ailleurs ne tardait pas trop.
Nous nous somme finalement jeté sur nos épouses respectives, mais maintenant elles voulaient changer de partenaire, pour disait Odette, comparer les tailles dans leur con. Nous avons suivi leur désir et j'avoue que de baiser Laurette ne me gênait pas beaucoup plus qu'André avec ma femme.
Mais ce jour là les filles avaient sans se concerter décidé de mener la danse. Elles voulurent se faire encore un 69 et être baisées en même temps. On le fit, mais c'était faire des efforts sans nom. Finalement nous avons quand même joui à peu près en même temps.
Elles nous demandaient des les enculer pendant qu'elles s'embrassaient à pleine bouche. Nous étions devenus tout les quatre des machines à baiser. Pour finir nous avons fait une partie carrée pleine de saveur. On ne savait plus qui suçait qui !
Au retour nous étions dans la même voiture que je conduisais, les femmes étaient derrière et s'embrassaient comme des folles et allèrent jusqu'à se branler encore. Les hommes étions littéralement H.S.
Puis les jours passant nous avons décidé de nous amuser quelques fois encore de temps en temps. Mais c'est une autre histoire à suivre…

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