La Boulangère

Le nuit au fournil, la sieste après midi, telle était la vie du boulanger. Sa femme coquine a tout point de vus était demandeuse de plaisirs sexuels. Mais son époux ne pouvait la prendre que le jour de fermeture hebdomadaire, le Dimanche, et encore pas comme elle le désirait. Ce qu'elle voulait c'était avoir de multiples orgasmes. Pour cela, elle profitait des repos de son mari pour se donner pratiquement à tout homme qui lui plaisait. Un jour ce fût sur moi. Par un concours de circonstances, je me trouvais au bon endroit au bon moment. En effet ce lundi vers 12 heures 3O, juste avant t la fermeture, je me rendis compte que je n'avais pas acheté de pain pour la journée. Je me précipitais au moment où le rideau se baissait. Juste à temps pour faire ma course. A ma grande surprise, elle fermait le rideau et m'invitait à prendre un apéritif. Je ne pouvais pas dire non. Elle me conduisait à la salle à manger et partit à la cuisine pour chercher, me disait-elle des verres. En effet un petit moment après elle portait les verres : mais elle était nue pour cela. Je compris de suite son manège, étant un peu au courant de ses besoins. Mais sa nudité me fit bander et elle s'en apercevait de suite en portant la main sur mon sexe pour le faire gonfler d'avantage. Je lui pris les lèvres et y introduisais ma langue qu'elle happait sans complexe. De son coté, tout en me tétant la langue, elle défaisait mon pantalon et je ne tardais pas à me trouver presque nu devant elle. Elle pris ma main et me dit de la branler.
Je la masturbais et elle ne tardât pas à jouir. Je bandais de plus en plus fort et après avoir joui, elle se mit à vouloir me sucer. Je finis de me mettre nue et je lui présentais ma bite qu'avec une rare dextérité elle suçait en ménageant des temps de repos pour que je ne jouisse pas trop vite. Elle du me garder dans la bouche un bon quart d'heure…
Lorsqu’elle senti que je partais elle ouvrait en grand sa bouche pour recevoir mon sperme et l'avaler.


Elle sus me remettre en forme rapidement pas ses caresses toujours précise, entre autre elle me doigtait le cul et bien sur je rebandais à nouveau. Nous avons baisé, elle sur la table, les jambes pendantes et moi dans son con accueillant. Elle m'offrit à manger, ce que vu l'heure, j’acceptais avec plaisir. Mais pendant le repas elle était sur mes genoux et je la branlais toujours. Lorsque le repas fût fini, elle, toujours nue me poussait dehors en me disant à demain, si tu veux encore que l'on baise et si je te plais.
La fille était jeune, environ la trentaine les cheveux bruns foncés, les yeux clairs une poitrine qui devait être un bon 95C et un cul, un cul !!!!
Le lendemain et les jours suivant je venais plus prendre mon pain, mais venait tout simplement rendre visite à une fille qui se dévergondait de plus en plus : elle aimait se faire sucer, branler, baiser et enculer, bref toute la panoplie y passait.
Puis un jour fatigué de la vie qu'il menait, son mari vendit la boulangerie et nous ne nous sommes plus jamais rencontrés .... Maintenant je suis obligé d'acheter du pain…

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