Leslie, Transexuelle Chapitre 8

CHAPITRE 08 – Ma première sortie seule.

La préparation.
Maintenant lorsque je me regarde dans la glace de ma chambre je me trouve belle et désirable, avec mon 80 B, ma poitrine est comme je l’ai désirée, petite juste à souhait pour être ambiguë et me donner ce côté androgyne, mes tatouages et mon piercing mettent en valeur mon corps fin, et mon sexe me laisse le loisir d’être active suivant mes désirs, je suis prête pour rencontrée des hommes et des femmes et les satisfaire suivant les désirs qu’ils éprouveront avec moi.
Je me sens désirable et j’ai envie d’être désirée, et je suis prête à vivre dans ce corps qui est désormais le mien.

Quelques temps plus tard, un soir, je décidais de sortir seule pour la première fois, je désirais savoir vraiment l’effet que je pouvais provoquer maintenant définitivement dans le corps que j’avais désirée depuis si longtemps, il était temps de connaître les délices d’être regardée, désirée et d’être abordée, enfin j’avais envie de plaire et de me faire draguer.
Je me dis que ce serait bien le moment de mettre mes cuissardes blanches que Jacques m’avait offertes quelques temps auparavant et de mettre une tenue aguichante pour accrocher les regards.
Je passe une culotte fendue en dentelle blanche, me disant que je serais ainsi prête dans le cas d’une éventuelle rencontre et après avoir mis mes bas dim-up, j’enfile mes cuissardes vernies blanches à talons-hauts qui montent jusqu’en haut de mes bas blancs, très fines avec un zip à l’intérieur, elles ne devraient pas laisser les curieux et curieuses indifférents. Je décide de mettre un ensemble complet en latex blanc assortit aux cuissardes, cet ensemble se compose d’une guêpière et d’une mini jupe pour terminer. Passant devant la glace je me trouve super canon, pas de doute ce soir je vais faire de l’effet, je suis prête pour une aventure, j’enfile par dessus un imper, blanc évidemment, que je pourrais tenir fermé ou ouvert suivant mon humeur.



La sortie.
Me voila partie, en ce doux mois de mai il fait bon, je prends la décapotable pour me rendre en ville. En quelques minutes après avoir garée la voiture en centre ville je suis en train de déambuler dans la ville me rendant vers la mer, le petit vent du soir caresse ma peau à peine cachée dans la tenue lorsque j’ouvre mon imper, je frissonne de désir.
Tout en me promenant, je sens déjà que les regards se tournent vers ma silhouette, certains de curiosité, d’autres d’admiration et d’autres encore de lubricité non dissimulé, il va y avoir une émeute si cela continue ainsi.

A un certain moment, certaine de l’effet produit je décide de retournée vers la voiture, et tout en marchant dans la direction du parking, je sens que quelqu’un me suit, je me retourne, mon imper grand ouvert et je vois un beau jeune homme, blond les cheveux courts, une allure athlétique et musclée, un peu plus grand que moi avec ses grands yeux bleus qui me regardent,
- Vous n’avez pas peur d’attr froid, me dit-il la gorge serrée.
- Non, loin de la, il fait si bon ce soir.
- Cette tenue vous va à ravir, mais n’est ce pas un peu provocateur ?
- Certainement, je réplique, mais c’est fait pour…..
- He bien, cela me plait, nous ne nous connaissons pas encore, mais je pense savoir qui vous êtes,
Je suis étonnée et cela doit se voir car il rajoute :
- Figurez-vous que j’ai eu une aventure avec votre sœur Valérie, qui a durée l’espace des vacances, et pendant notre liaison elle m’a parlée de vous.
Val ne m’ayant jamais parlée de cette aventure et encore moins d’avoir parlé de moi à un de ses amants, je suis de plus en plus étonnée, mais je continue d’écouter.
- Par la suite, lorsque notre liaison s’est terminée avec Valérie, je vous ai vu, deux ou trois fois toutes les deux sans jamais oser vous aborder.
De mieux en mieux, ou va s’arrêter ma surprise.
- Elle m’a dit que vous étiez installée dans le coin et comme je vous trouve très belle, j’ai toujours espéré un jour vous rencontrer.

- Voila qui est fait, dis-je, mais peut-être pourrions faire quelques pas ensemble si vous le voulez bien…
- Sans problème, dit-il, c’est avec plaisir.
- Il s’appelle comment mon invité du soir, demandais-je d’un air détaché.
- Frédéric, me dit il, mais tout le monde m’appelle Fred.
- Et tu as quel âge si ce n’est pas indiscret ?
- Je viens d’avoir 28 ans, et pour préciser je suis seul, je viens de me faire larguer il y a deux mois par ma copine et personne depuis, et toi, parles moi de toi.
- Leslie, je vis ici et je vais avoir 19 ans, pas de petit copain non plus.
Nous voilà près de la voiture, ou je prends congé ou je continue la soirée avec Fred, sans réfléchir je dis :
- Es-tu d’accord pour aller dans un endroit que je connais tout près d’ici sur le bord de la plage, nous aurions la ville illuminée pour toile de fond et le bruit du ressac avec pour faire très romantique.
- Je suis partant, me répond Fred.
Et nous voila partis tous les deux dans la décapotable, l’imper grand ouvert et la mini jupe remontant sur le haut de mes cuisses, mon passager avait une vue directe sur ma culotte blanche, fendue de surcroît.
Tout en conduisant, je sentais Fred intéressé par mon anatomie, le regard fixé sur mes jambes et sur ma culotte blanche, je me dois de lui dire que, malgré mes apparences féminines, je suis une transexuelle.
- Tu sais Fred, je voudrais éviter les méprises et que nous ne soyons pas fâchés ce soir, il faut que je te dise que je ne suis peut-être pas celle que tu penses.
- Tais toi Leslie, je ne veux rien savoir, j’ai désiré t’aborder pour essayer de te plaire, et ce soir je suis là avec toi, tu es dans une tenue de rêve au volant de ta décapotable, je suis ton passager, dis toi que pour moi c’est un rêve.
- Oui mais avant que ce rêve devienne réalité, il faut que tu saches que je ne suis pas une femme.
Il me regarde l’air étonné, se demandant ce que je vais lui dire, mais sans rien dire il attend.

- Tu vois sous mon apparence de femme, j’ai une identité physique d’androgyne, avec une petite poitrine et un sexe masculin, je suis ce que le monde appelle une transexuelle.
Mes propos doivent exciter Fred, car à ce moment sa main gauche se pose sur ma cuisse au dessus de ma cuissarde, il me caresse l’intérieur de la cuisse, je frémis et il s’en aperçoit.
- T’aimes être caressée ? Me demanda-t-il.
- Oui beaucoup, j’adore….
Je viens d’allumer le feu, sa main monte d’un cran, légèrement plus haut, juste au dessus du bas trouvant la peau nue de ma cuisse, délicieux, il avait les mains douces et chaudes, une nouvelle fois un frisson me parcouru.
- Depuis le temps que j’ai envie d’une transexuelle, du rêve à la réalité, je suis comblé, me dit-il.
- Nous sommes arrivés lui dis je en rangeant la voiture dans un coin isolé et sombre, on ne sait jamais qui peu passer et nous surprendre….

Je n’ai pas le temps de couper le contact, qu’une main se glisse dans ma culotte fendue et prend mon sexe à pleine main, et le sort, je suis dans un état je vous dis pas, l’érection n’est pas loin. Je me penche vers lui pour voir aussi son attirail, je mets la main sur son pantalon de toile et touche une bosse qui en dit long sur l’anatomie de Fred, il doit être bien membré, il bande déjà, je me sens flattée de l’effet que je produis sur Fred.
- Ta queue est vraiment belle, comme la mienne, dit-il en détachant les boutons de son pantalon, puis il enlève le tout pour être à poil du bas, il n’a plus que son tee-shirt sur lui. Effectivement il a un beau paquet entre les cuisses, je me penche et le prends de suite en bouche, lui démarrant une pipe d’enfer, il me remplit bien la bouche, il met ses mains sur la tête et m’imprime le rythme sur son chibre qui n’en finit pas de grossir.
- J’aime ta bite, lui dis je reprenant mon souffle….
- Viens, me dit-il, sortons de la voiture nous serons plus à l’aise.
Juste le temps de laisser l’imper sur la banquette arrière et me voila à genoux dans le sable derrière la voiture à pomper Fred, mon amant de ce soir et l’ex amant de Val, ma sœur, tient d’ailleurs elle n’à pas du enfiler des perles avec lui, elle à du s’en prendre dans tous les trous et ne m’en a jamais parlée….
Il me tient toujours la tête imprimant son rythme de mes lèvres sur son dard, j’écartes les cuisses et saisi mon sexe pour me branler, j’ai trop envie, tout est aller si vite que je n’ai plus toute ma tête, le désir me gagne, le frénésie monte en moi, la soirée va être chaude je le sens, mon œillet frémis, tout en me masturbant de la main droite, je passe la main gauche sous moi et je me caresse l’anus et je m’enfile le majeur.

Fred me voit faire et cela l’excite encore plus, il me relève et me met droite devant lui, il ouvre ma guêpière et libère mes seins,, il les caresse et son sexe bat sur ma cuisse, son regard brûle de désir et d’envie, je sens que d’un moment à l’autre il va me défoncer, je le tiens par la queue, et tout en branlant son membre, je lui fait faire le tour de la voiture, cela me donne l’occasion de récupérer un de mes tubes de gel qui ne quitte jamais dans le vide poche, je me remet à genoux pour le reprendre ma fellation et me passer du gel dans la raie du cul, il me redresse et me prend par les épaules, me couche sur le capot les seins au contact du métal, il ouvre ma culotte fendue et trouve mon trou, il place son gland sur ma rondelle, et pousse, waouh, heureusement que je me la suis graissée sinon il me déchirait, en trois coups de reins il est au fond de moi, il fait une pause…
- Pratique ta culotte, dis t’il, toujours prête à prendre une bonne queue dans le cul, hein.
- Oui mais la tu as bien faillit me déchirer, une chance que je me sois graissée la rondelle.
- Pardonnes moi, Leslie, le désir était si fort et depuis si longtemps, oh, comme tu es serrée….
- Oui, ne bouge plus le temps que je m’habitue, t’es drôlement gaulé mon salaud et t’aimes les trans en plus.
- Oui, je suis bi, mais je préfère les trans aux gays, c’est le côté ambigu, mais parfois un beau mec, je ne dis pas non.
- Et bien sans rancune je te rendrais la pareil tout à l’heure, je vais te défoncer le cul avec mon gros pieu.
- Oui, si tu veux, mais tiens pour le moment prend cela dans ton joli derrière.
Et il se mit à me pilonner comme un forcené, et il savait y faire, un enculeur de première, le roi de la sodomie, à grands coups de reins il me possédait de plus en plus loin m’arrachant des cris de jouissance, mon cul était en feu sous ses coups et chaque poussée était accompagnée par un mouvement de reins qui décuplait sa force de poussée, en plus mes cuisses s’encastraient dans le capot de la voiture, j’étais bloquée à la merci de Fred, sans même pouvoir me branler, les mains accrochées à la capote de la voiture, ouverte indécente à la merci de Fred qui me bourrait le fion comme un forcené, c’étai ma première en dehors de Chris et de Jacques et jamais je n’avais été pistonnée de la sorte par une autre personne et l’engin était de taille, je crus mourir mais la jouissance montait, mon cul s’ouvrait à l’assaillant, et dans un râle je jouis du cul pendant que Fred me remplissait le fondement à grande giclées de son sperme chaud, j’étais tétanisée et restait là sans force affalée sur le capot.
Se retirant de moi et me laissant largement ouverte, il me fit les compliments d’usage en me disant que j’étais une baiseuse de première et que si je le voulais il prendrait mon cul sans se lasser tellement il avait aimer, reprenant mes esprits je me suis redressée et à mon tour je lui ai mis les mains sur le capot, afin qu’il me présente son fion, je lui ai écartée les jambes de part et d’autres des miennes et après lui avoir écartée les fesses de mes deux mains je suis rentrée dans sa rondelle d’une seule poussée, le passage était largement fait, certainement qu’il avait déjà accepté des gros calibres, mais sa réaction fut immédiate et il se mit à feuler pendant que je le pistonnait, jusqu’à ce que je me répandre dans ses entrailles.
Nous finirent la nuit chez lui, il désira me reprendre avec mes cuissardes comme seul habit, et il me baisa le cul dans diverses positions, allongée sur la table mes jambes sur ses épaules, à quatre pattes en levrette lui debout derrière, puis pour finir sur le côté en me branlant pendant qu’il me sodomisait à nouveau. Son petit trou a reçu son lot de pilonnage et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre le cul en feu, un doigt dans l’anus de l’autre et une main tenant le membre de l’autre. Le lendemain, je suis partie avec une sensation de vide au cul, me disant qu’il me faudrait le combler rapidement.

Le retour à la maison.
Quand Chris et Jacques me virent rentrer, ils me sentirent l’air quelque peu morose, ils m’ont donnés toute leur attention, et comme chaque fois en de telles circonstances, Jacques me prit la rondelle pendant que Chris m’offrait son cul, cette thérapie avait du bon car en allant me coucher, Fred était oublié, enfin presque car mon corps, lui, le gardait en mémoire.

A suivre……

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