Je Suis La Pute De Deux Beaux Blacks.

Je passais quelques jours chez Patrick. Lorsqu'il m'annonça que le samedi de notre dernier week-end, il devait travailler j'étais un peu contrariée. Il essaya de calmer mon courroux en me promettant une belle surprise. En partant pour le bureau, il décida de ma tenue, un soutien-gorge, un porte-jarretelles, des bas noirs, malgré la chaleur, contrairement à nos habitudes pas de culotte, et une robe boutonnée dont il défit deux boutons en haut et trois en bas.
En me quittant, il me demanda d'être très salope et surtout de ne pas le décevoir, et me souhaita un bon après-midi. Par bonne journée, qu'avait-il concocté ?
Durant toute la matinée, j'étais très nerveuse et ma chatte coulait abondamment.
Vers treize heures on sonna à la porte. Avant d'aller ouvrir, je me regardais dans la glace, je vis qu'en marchant ma chatte était visible.
En ouvrant la porte, j'eus la surprise que Patrick me réservait : dans l'encadrement se trouvait, non pas un noir mais deux, très bien bâtis. Depuis toujours, j'ai un fantasme que j'avais plus ou moins réalisé : me faire prendre par un noir. Connaissant mon désir de profiter d'une belle queue autrement que la dernière fois et sachant très bien que je le réaliserais avec ou sans lui, Patrick avait décidé de me satisfaire.
Je les fis entrer et je leur offris un café. En revenant je m'accroupis devant eux pour servir le café, et je restais dans cette position, les genoux bien écartés. Ma robe était bien ouverte de sorte qu'ils avaient ma chatte juste devant les yeux.
Au bout d'un moment l'un d'eux se leva. J'avais sa braguette juste à la hauteur de ma bouche. Il sortit sa bite et je l'embouchais. Mon dieu quelle bite ! Jamais je n'en avais sucé d'aussi grosse et longue. L'autre fit de même, de sorte que je passais de l'une à l'autre. Ils me disaient :
- Allez, suce salope ! Patrick nous l'avait dit que tu étais une pute !
- Ah tu voulais de la bite noire ? Eh bien tu vas être servie !
Au bout de dix minutes, ils m'aspergèrent tous les deux de sperme, qu'ils me firent étaler avec ma main.

Puis ils me relevèrent, me retirèrent ma robe, sortirent mes seins de mon soutien-gorge. L'un s'en occupa, l'autre se mit à m'embrasser. Moi, je promenais son gland encore mou sur mon clito afin de le faire rebander. Quand sa grosse bite fut bien dure, il me l'enfila. Le deuxième se mit à s'occuper de mon cul, d'abord avec sa langue puis après avec son doigt. Il essaya de m'enculer, mais ils étaient vraiment trop gros pour m'enfiler à deux. Le premier se retira de ma chatte, puis il me fit mettre en levrette et laissa sa place à l'autre dans ma chatte bien baveuse. L'autre me présenta sa bite pleine de sécrétions à sucer. J'avais la chatte et la bouche remplies superbement. Ils me remplirent de sperme mais aucun ne me suça. Ils disaient en rigolant :
- Tiens, salope, surtout garde tout le sperme pour Patrick, ce soir !
Bien entendu, ma chatte et ma bouche ne leur suffisaient plus. Ce qu'ils voulaient, c'était mon petit trou. Quand le premier réussit à faire entrer sa grosse bite dans mon cul, je crus défaillir. Ce fut un vrai délire de jouissance ! Il déchargea, et l'autre pris aussitôt la relève. Mon anus était maintenant élargi et bien graissé.
Voyant que ma chatte réclamait sa part, l'autre noir me prit par-devant. Ce fut le plus merveilleux sandwich que j'ai jamais connu !
Quand ils me quittèrent, j'étais complètement repue. Patrick me trouva sur le lit toute nue, du foutre s'écoulant partout de mes trous. J'en avais même des croûtes séchées sur les seins et le bord des lèvres. Il examina soigneusement mon petit trou tout déformé et largement ouvert. Après il me demanda si j'étais satisfaite. Bien entendu, je lui répondis "oui". Il me dit :
- Je suis fier de toi, ma petite salope !

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