L'Infirmière S'En Sort Bien

Le lendemain, Roger arrive vers dix heure. C'est lui qui porte le repas.
Elodie s'est habillée sexy. Chemise nouée sur le ventre, mini-jupe, pas de dessous.
-Bonsoir tonton,dit-elle en l'embrassant.
-Bonsoir,répond Roger, que tu es belle mon dieu. Et mon frère, çà va?
Raoul rejoint Elodie et Roger dans la salon.
Elodie a Acceptée la proposition de Raoul. Elle s'approche de Roger en ôtant sa chemise.
Raoul s'éclipse dans la chambre.
Roger s'avance d'Elodie, et glisse une main sous la jupe.
-C'est quoi, demande Roger, une envie de se faire donner.
-Viens dans la chambre, répond-elle. On va jouer.
Raoul est allongé sur le lit, tout nu, prêt a l'emploie
Elodie s'incline sur le corps de Raoul, saisit la belle queue bien raide. Elle suce le gland
décalotté du bout des lèvres, et titille le méat avec sa langue. De l'autre main, elle prend
les couilles , et les fait rouler entre ses doigts
Raoul ferme les yeux, çà tête roule sur l'oreiller.
Roger, placé derrière, a glissé deux doigts dans la chatte bien écartée d'Elodie. Il l'est
retire et lubrifie la petite rosette. Il présente son énorme queue en érection, et pénètre
doucement le petit trou d'Elodie.
Elodie ouvre grand les yeux, pousse un cri de douleur.
-Oh putain, comme il m'encule le frangin, qu'il est gros, se régale-t-elle.
Raoul a glissé une main entre les cuisses d'Elodie, sort le bouton et le caresse.
-Qu'est-ce-que vous me faites, salaud, j'ai jamais connu çà, murmure Elodie. Mais que
c'est bon. Faire une partie à trois avec deux super vieux bien montés. Et moi qui suis une
pute, vas-y Raoul, je joui oui, ouiiiiiii
-Moi aussi je viens, râle Roger. Ha...ha...hou....oui, oui, je crache.
-Et moi, dit Raoul, reprend moi en bouche, oui, avale, oui, comme çà.
Les joues creusées, Elodie avale la semence de son beau-père.
Les trois amants ont besoin de faire une pause.


Elodie et Roger décide d'aller prendre une douche. Une fois laver, Roger caresse le corps
Elodie.
-J'ai l'impression que tu aimes te faire caresser le clitoris? Demande Roger.
-Quand on me gratte a cet endroit, répond Elodie. Je suis prête à n'importe quoi, çà me
paralyse.
Roger se tourne vers la porte, tend un doigt en arrière, main ouverte, doigts dressés.
"Oh le salaud, se dit Elodie"
Elle s'approche, et place sa chatte sur la main de Roger, pour bien sentir ses doigts.Roger saisit le clitoris d'Elodie, et sort de la salle de bains.
-Allez viens, ordonne-t-il, on va rejoindre Raoul.
Elodie, les mains appuyées sus les épaules de Roger, le suit.
-Tu vas m'avoir salaud, arrête toi que je puisse jouir, gémit Elodie, oui, oui oui c'est bon.
Roger lui sourit, et ouvre la porte de la chambre.
Raoul est toujours assis sur le canapé. Roger le rejoint.
Elodie se place devant eux, et les excitent.
-On a plus de jus, demande-t-elle. comme je vais faire.
Elle se déhanche de plus en plus, caressant ses seins, et sa chatte, effleure leur sexe
en érection et se recule. Elle regarde l'effet qu'elle fait sur les deux frères.
Elodie se met a quatre pattes sur la moquette, évolue telle une féline. Les deux frères
observent la scène.
-Personne est intéressé? provoque-t-elle.
Roger se sacrifie, il se met lui aussi à quatre pattes, et avance son visage entre les fesses d'Elodie. On dirai un chien qui renifle une chienne en chaleur.
Elodie écarte ses cuisses, et se cambre pour que Roger puisse bien la lécher. Sa chatte
est toute mouillée.
Elle veut offrir ses dix neuf ans à ses deux amants. Elle veut que ce soit des experts qui
profitent de son corps, qu'ils la forment. De vrai mâles.
Roger se tourne sur le dos, saisit Elodie par les reins, et l'oblige a s'asseoir sus sa bouche
Elle pousse un cri de plaisir quand la langue la pénètre.

-Oua, çà y est, tu m'as eu salaud. Mon clito, vite supplie-t-elle, sors le, suce le, bien avec
ta langue.
Roger a remonté ses deux mains le long du corps d'Elodie, et lui prend les seins durcit
par l'excitation. Il fait rouler les énormes bouts entre ses doigts.
-Je joui, cri Elodie, haaaaaaiiiiiii, vas-y mon amour, fais moi cracher. Que c'est bon.
-Et moi demande Raoul, j'ai pas droit à une petite faveur.
-Mais si , mon chéri, quand Roger en aura fini avec moi.
En effet, Roger prend Elodie par les hanches, et la culbute sur le dos.
Il vient placé son sexe contre sa bouche, et l'enfonce.
-Vas-y, dit-il sèchement, branle moi, et avale tout, d'accord?
Elle fait signe oui de la tête.
En trois minutes, Roger a envoyé sa semence au fond de la gorge d'Elodie. Il l'a relève
par les cheveux, et la traine jusqu'à Raoul.
-Tiens, frangin, c'est a toi. Fais toi tailler une pipe. Comme tu l'es aime. Tu voudrais pas
être nôtre pute .Quand on veux s'amuser avec toi, on t'appelle.
-Ce serai bien , répond Elodie. Mais mon mari, il arrive demain.
-On peut le rendre à la raison, poursuit Roger, ce serai pas la première fois.
-Doucement, dit Raoul, ne lui fat pas le coup de la dernière fois, ou tu l'a mis tout nu, et
que tu jouais avec ses attributs. Tu te rappelle comme il pleuré. Mais il se régalé aussi.

Le lendemain, Jérôme rentre de son déplacement.
-Bonjour tout le monde, dit-il, çà va. Elodie ma chéri, ou es-tu?
-Je suis là mon amour, répond-elle, embrasse moi.
-Attend moi à la chambre, poursuit-il, une bonne douche, et je viens te baiser. j'en est trop
envie.
Jérôme sors de la douche enroulé dans une serviette, et tombe sur Roger, assis sur une
chaise.
-Ou est Elodie? Demande Jérôme méfiant.
-Elle est avec ton père en train de se le faire mettre, répond Roger.
-Quoi, rugit Jérôme, c'est quoi çà. Baiser la femme de son fils.

-Ta femme est tellement bonne, qu'on a pas pu résister. Cà fait trois jours qu'on lui met
des coups de queues de partout. Dans le cul, dans la chatte, dans la bouche.
Roger tire Jérôme par le bras, et lui quitte la serviette.
-Allez, viens t'asseoir, ordonne-t-il. Fait moi voir tes jolies choses.
Jérôme est assis sur son oncle, pris par les couilles.
-Pas comme l'autre fois, tonton, ne serre pas, s'il te plait, supplie Jérôme, j'obéirais.
Raoul et Elodie regarde par un coin de la porte. Elle met une main devant sa bouche pour
pas éclater de rire.
Jérôme a les jambes totalement écartées, et Roger fait rouler ses couilles entre ses doigts.
De l'autre main, il joue avec le prépuce.
-S'il te plait, tonton, implore-t-il, décalotte moi complètement, branle moi, comme j'aime.
Là, oui, comme çà, que c'est bon, je joui, ha...ha...oui. j'espère qu'Elodie n'en saura rien.
-Tu t'es bien régalé mon garçon, ironise Roger. Tu as vu ta queue comme elle a pleuré de
bonheur.Et tes couilles, elles sont encore pleines.Un jour, je t'enculerai, tu veux bien?
-Quand on sera que tout les deux, tonton, accepte Jérôme.
Raoul et Elodie entre dans le salon.
-Oh, ma chérie, ce n'est pas ce que tu crois, essaie de se justifier Jérôme, c'est une erreur.
-Mais, mon amour, dit Elodie, je ne t'en veux pas. Si tu te aimes que Roger s'amuse avec
ta queue. Tu sais? a partir d'aujourd'hui, j'ai accepté d'être leur pute. De m'offrir a eux
quand ils veulent. C'est tellement bon. Ma petite fente, et mon petit bouton, même s'ils
sont tout jeune, ne peuvent plus se passés de leur grosse queue. Tu verras quand Robert
t'aura enculer, et que tu l'aura sucer, toi non plus tu pourra plus t'en passé.
-Je vais te faire l'amour toute la nuit ma chérie, dit Jérôme.
-Je peux pas, répond Elodie, j'ai promis a ton père et a ton oncle de passer la nuit avec eux.
Touche, ma mounette est déjà toute mouillée.
Mais tu peux regarder si tu veux. Tu verras
comme ils se servent de ma chatte, et de mon petit trou.Et je te parle pas de mes seins, et de mon clitoris. Tu va voir comme ils se servent du corps d'une fille ces salauds. Je t'es
jamais tailler des pipes comme a eux. Enfin, assez parlé, passons à la chambre.

On rentre dans l'hiver, il va être long. Elodie pense aux chaudes nuits au coin du feu.

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