Bite Au Cirage

Mes parents m'avaient envoyé en colo dans les Alpes pour me perfectionner en équitation. En effet nous nous retrouvâmes une quinzaine d'ados où équitation et sport de montagne se succédaient au fil des jours. Nous étions bien installés, dans un chalet assez vaste, où on nous avait séparés par chambre de cinq. L'ambiance était extraordinaire et tous les soirs nous nous retrouvions autour d'un feu de camp, où blagues et chansons se succédaient. Nous venions des quatre coins de la France.
Plus ça allait plus on devenait copain et chahut suivait un autre chahut. Un soir on décida de passer la bite au cirage de Gérémie, un petit blond qui venait d'Orléans, assez frêle. On l'avait choisi car il était très taquin et le soir venu sous le mot d'ordre de l'un de nous nous le capturions pour mettre à exécution cette bite au cirage..
Il s'est débattu tant qu'il a pu, puis voyant qu'il était maitrisé, il nous laissa faire...Kevin, un de nos leader, commença à déboucler la ceinture, puis déboutonna le bouton qui retenait le pantalon. Gérémie, dans une dernière tentative essaya d'y échaper, mais nous le tenions bien ferme... Nous étions tous assez excités par la situation... Kevin fit glisser le pantalon et Gérémie se retrouva en slip où l'on pouvait déjà deviner son petit sexe à travers le tissu. Kevin continua le déshabillé et tira sur le slip de Gérémie et nous découvrions son petit sexe mou retenu par deux petites boules imberbes.
"Quelle est mignonne cette petite queue" s'exclama Kevin. Il prit son sexe entre deux doigts le décalotta et commença à le branler. Malgré les suplications de Gérémie, Kevin jouait avec, et la petite queue prit du volume de plus en plus, jusqu'a une bandaison complète. Plus personne ne riait, comme au début, et je crois que nous étions tous très excités. Kevin se mit accroupi pour s'approcher du sexe et le prit dans sa bouche. Sa bouche épousait bien l'épaisseur de la queue maintenant tendue, et nos regards étaient fixés sur la manoeuvre.

Gérémie se laissait faire et regardait comme nous la bouche enveloppante de Kevin. Ce dernier avait l'air de se délecter et la queue de Gérémie glissait bien entre ses lèvres.
"Je veux bien gouter" dit Cyprien. Il relâcha le bras qu'il tenait tendu et se joignit à Kevin qui, tenant la queue dressée avec sa main la tendit à Cyprien. Celui-ci ouvrit grand la bouche et avala la queue bien décalottée de Gérémie et se mit à pomper en cadence régulière. Nous avions tous relâché les membres de Gérémie qui se retrouva à la merci de tous sur le parquet de la chambre, se laissant docilement faire.
Nous nous succcédions tous à sucer Gérémie et pour la plupart d'entre nous c'était une première. Pour moi c'était une découverte. Jamais je n'aurais imaginé un jour faire une fellation à un copain. Pourtant, j'y pris autant de plaisir que les autres et peut être est-ce moi qui suçait le mieux, toujours est il que Gérémie lâcha plusieurs jets de sperme dans ma bouche que j'hésitais à avaler pus que je déglutis.
Pendant que j'étais en train de sucer Gérémie, les autres s'étaient deshabillés et quand j'eus avalé la semence qui m'était offerte, je me redressais et me retrouvais à genoux, face à deux bites tendues. L'une après l'autre je les suçais et branlais. Elles avaient toutes un goût différent, mais j'y prenais goût. D'une main je branlais et en même temps je suçais, moi étant toujours habillé.
Pendant que je suçais et branlais, Gérémie que j'avais vidé, entreprit de me déboutonner, de baisser slip et pantalon et de me sucer à son tour. Il suçait formidablement bien, lèchant, titillant, avalant, jouant avec mon gland, c'était délicieux !
Alternativement je continuais à sucer et branler mes deux compères qui tout bassin avancé me laissais à ma guise. Je reçus le jus de l'un dans le fond de ma gorge et celui de l'autre sur ma langue. Je pinçais les lèvres pour bien les rincer. Chaque sperme avait son goût et je finis par aimer. Les deux garçons debout se retirèrent alors que Gérémie continuais à me sucer avec gourmandise.
Je finis par éjaculer dans sa gorge et malgré le ramollissement de ma queue il continuais à pomper. Je dus le repousser pour qu'il me lâche car sa succion commençait à me faire mal.
Nous étions tous rassasiés et très heureux. La bite au cirage avait tourné en partouze.
Tous les soirs, nous nous mettions tous à poil et nous nous suçâmes les uns après les autres, plusieurs fois dans la nuit. C'était il y a six semaines...

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