La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1416)

chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1415) –

Mais ce sont les Volontés du Maitre et je balaye vite cette frustration, pour me concentrer sur le bonheur de Le servir… Et Monsieur le Marquis prit la parole :

- Il se fait tard Mes amis, mes chiennes et chiens sont à votre disposition… Quant à toi Ma chienne, tu viens avec Moi, dans Ma chambre… conclut le Maître en claquant des doigts

Le Maitre prit une laisse et l’accrocha à mon collier et fit un détour par le jardin pour me faire uriner

- Aller Ma salope de chienne pisse devant le Maitre, c’est une exigence car il n’est pas question qu’une chienne de ton espèce utilise les toilettes de Ma chambre. Et dépêche-toi, je n’ai pas que ça à faire ! dit-il d’un ton ferme.

Je me comporte alors en vraie chienne. Le Châtelain détache ma laisse et je tourne un peu autour de moi à quatre pattes en mettant mon nez (ou plutôt mon museau) à ras le sol, pour renifler. Puis je m’accroupis et j’urine comme une chienne de rue. Ensuite, je Le suis docilement jusqu'à Sa chambre où Le Noble m’installe sur le lit pour me branler de nouveau mon clitoris si réceptif. De plus, il me doigte la chatte qui est déjà trempée d’excitation à force d’être ainsi animalisée de la sorte.

- Quelle chienne, tu es, Ma salope, toujours en chaleur et je dirai même que tu es une véritable nympho. Comme ça, tu es encore en manque malgré cette soirée où tu as été utilisée et baisée par de multiples Dominants et Dominantes. Je vais te récompenser pour ne pas voir fauter et t’être bien comporter en bonne chienne obéissante que tu es. Tu vas passer la nuit ici, dans Ma chambre, mais à même le sol comme une chienne animale. Pour cela tu vas te mettre devant la porte et te coucher comme situ montais la garde… Et tu es autorisée à aboyer s’il y avait une visite inopinée… Mais avant cela, tu vas avoir droit à quelques petites surprises !, rajouta-t-il en appuyant sur l’interphone de Sa chambre.

..

Je sentais déjà mon plaisir monter, car le Maitre m’offrait quelques petites surprises ! Je compris vite de quoi il s’agissait quand douze de Ses soumis encagés firent leur apparition dans la chambre du Maitre par une porte dérobée avançant tous en quadrupédie à la file indienne. En silence, ils se mirent parfaitement en ligne, en se couchant sur le dos et relevant les genoux, écartant leurs cuisses, restant ainsi dans une parfaite immobilité. Monsieur le Marquis sortit alors de Sa poche un ‘pass’ en guise de clé universelle et enleva leur cage à chacun d’eux, puis il claqua des doigts, ce qui eut pour effet que tous se redressèrent à l’unisson pour se positionner debout, mains derrière le dos, tête baissée, jambes légèrement écartées… Visiblement excités, ils se mirent tous à bander très rapidement de la situation et aussi du fait que leur nouille de chien en manque de sexe fut libérée de la cage qui l’emprisonnait pour chacun d’eux.

- Mes chiens en manque de se vider les couilles, voici Ma salope de chienne qui, quant à elle, est toujours en manque de foutre... Et toi, Ma chienne, voici Mes meilleurs chiens les plus aguerris à la parfaite soumission et qui n’ont pas eu le droit à se masturber ni donc à se vider les couilles depuis deux mois. Et c’est toi, qui va t’occuper d’eux afin de les soulager de leurs couilles pleines, archi pleines même !... Tu vas leur servir de sac à foutre, Ma pute. Tu auras le droit de jouir uniquement si je te l’autorise... Mes chiens, tous les orifices de Ma chienne sont à Vous, alors profitez-en un maximum, videz-vous avant que je vous réengage de nouveau…

Le Maitre me descend de Son lit et je fais mettre immobiles, à 4 pattes. Affamé de sexe, le premier soumis s’approche de ma bouche et y enfile sa grosse queue bandante sans préambule pendant qu’un deuxième me prend la chatte sans vergogne d’un grand coup de reins salvateur pour sa libido jusque-là bridée. Et un troisième, très bandant tout autant que les autres, se glisse sous moi pour me lécher mon clito de chienne en chaleurs.
Je suis donc prise dans mon sexe en feu et dans bouche de putain. Les soumis remplissent mes deux trous à grands coups de boutoirs cherchant à se vidanger les couilles au plus vite afin de se soulager. Et cela m’excite énormément, j’en suis trempé, lâchant ma cyprine coulante. Je me fais baiser la bouche sauvagement et pareil pour ma chatte bourrée sans modération, sauvagement et durant de longues minutes, je suis prise comme une vulgaire chienne de rue, oui comme un simple trou à bites, bon à être utilisé. Le premier soumis qui me baise la bouche jouit dans ma cavité buccale en de longs jets de sperme chaud dans des râles digne d’un cerf en rut, tellement son besoin est intense de décharger sa grosse quantité stockée de foutre. Et il est très vite remplacé par un autre tout aussi pressé et qui utilise ses mains pour bien me baiser ma cavité buccale. Le troisième active ses mouvements de langue sur mon clito avec une gourmandise effrénée. Et j’ai le plus grand mal à me retenir de jouir. Je regarde le Maitre pour avoir Son accord, mais il ne me le donne pas :

- Pas encore Ma belle chienne en manque, tu pourras jouir uniquement quand le chien qui te prend ta chatte de pute se sera vide les couilles tout au fond de ton garage à bites de salope. Quant à toi Mon chien, même si je sais que tu es en manque, retient toi au maximum de jouir, mais quand tu n’en pourras vraiment plus, tu te déchargeras dans sa chatte sans te retenir.
- Oui Maître, répondit le chien soumis en faisant des incroyables efforts pour ne pas lâcher son foutre trop tôt

Mais le soumis est trop en manque de sexe, alors il ne peut s’empêcher d’accélérer ses mouvements de copulation pour me défoncer la chatte à grands coups de reins pénétrant profondément, et moi j’en mouille de plus en plus durant encore un moment jusqu’à qu’il n‘en pouvais plus de se retenir, alors il lâcha enfin des puissants râles jouissifs en éjaculant avec une force inouïe son sperme en grosse quantité.
Alors, de même, je me suis mise à crier, à hurler de plaisir dans une jouissance quasi animale qui me parcouru jusque dans mon ventre me provoquant multitudes de spasmes orgasmiques… Une fois que le soumis se retira avec sa queue dégoulinant encore du foutre, un autre me prit sans attendre le cul très bestialement, et sans aucune préparation. Il enfonça en effet, son gros mandrin gorgé de désirs dans mon anus et s’activa de coups de boutoirs forcenés, ses couilles pleines frappants mes fesses.

Je dus me retenir de crier car avec sa grosse bite au gros gland violacé, il me déchira le cul, car trop en manque, il ne prit pas le temps de préparer une dilatation anale de mon cul. Et ce fut cela, à chaque fois qu’un soumis finissait par jouir dans un de mes trois orifices, il fut remplacé par un autre et ceci durant une bonne partie de la nuit. Ils se déchargèrent en moi un nombre incalculable de fois, usant et abusant de mes trous de salope et sans modération. Et surtout sans jamais se préoccuper si je prenais du plaisir, me prenant tantôt mon cul ou à un autre moment ma bouche ou ma chatte. Et même le plus souvent, les trois orifices en même temps, prise dans un phénoménal gang band ce qui m’excitait beaucoup. Pendant que certains me baisaient ou m’enculaient, les autres se branlaient sur mon dos ou mes seins ou selon la position du moment sur mon ventre ou mon visage à finir par se vider tout mon corps qui au final était recouvert de leur foutre de chiens affamés de sexe. J’étais collante de sperme.

J’eu encore le droit de jouir 3 fois au total, mais quelle jouissance ! C’était des orgasmes démentiels, hors norme, me faisant à chaque fois grimper au plafond ! Je basculais alors dans un monde de luxure totale, un monde de perversion et de délice charnel absolu, démultipliant ma libido à outrance. C’était tellement bon de se faire baiser et enculer sans modération, à l’excès même, de n’être que trou (s) de plaisirs à me faire remplir, à me faire bourrer ainsi.
J’étais haletante, à la limite pantelante. Je ne réfléchissais plus, je leur servais simplement de trous à foutre, de citerne à sperme, de simple garage à bites à utiliser à volonté. Mes instincts primitifs de femelle étant exacerbés à outre mesures… Au bout d’un moment, presque au petit matin, quand Monsieur le Marquis fut satisfait en constatant l’épuisement des soumis vidés jusqu’à la moelle de leur semence, Il les arrêta alors et les firent raccompagner dans le Chenil. Puis, se tournant vers moi, Il me dit :

- Tu pues le foutre de Mes chiens, Ma salope de chienne. Mais te voilà à ta vraie place, bonne qu’à être prise à même le sol et à outrance, comme un simple jouet, un simple objet de plaisirs à Ma disposition et utilisée comme bon Me semble… Regarde comme tu m’as fait bander Ma chienne, comme J’ai Moi aussi envie de te posséder encore une fois, ce que je vais faire. Présente-Moi, ton cul salope de chienne ! …

(A suivre …)

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