Cogner

J’ai ri en me redressant et en bombant le torse devant Bernard, le gamin que j’intimidais. Il a heurté violemment le sol quand je l'ai bousculé, et son regard était rempli de colère, de frustration et de peur. Je n'avais pas de raison particulière pour le tabasser, sauf qu’il avait un petit air "fier de lui" qui me déplaisait. Juste parce qu’il avait reçu les félicitations du prof. Un vieil imbécile qui bavait devant la mère de Bernard.

La mère de Bernard, c’est la prof d’anglais, une rousse exubérante, avec des vêtements trop ajustés sur ses formes généreuses. Quand elle descend de sa petite auto, tous les mecs se pressent pour mater la peau laiteuse au-dessus de ses bas. Quand elle se penche en avant, tous les mecs face à elle connaissent la couleur de son soutif, et ceux qui sont derrière elle ont le regard qui se voile en matant son cul rebondi.

Sa mère la prof, comme tous les mecs du lycée, j’aimerais bien me la faire. Mais comme je ne peux pas, je me venge sur le fils. Oh ! Rien de grave ! Je lui ai juste serré la main ! Un peu fort, un peu longtemps, mais le gamin a résisté. Sa pâleur naturelle s’est intensifiée, il s’est plié en deux, incapable de desserrer mon étreinte, en gémissant. Mais il n’a pas pleuré, n’a pas supplié, alors ça m’a énervé.

Nous sommes dans la même classe, en première, au lycée, mais il n’a que 16 ans. Et comme j’ai redoublé deux fois, j’en ai 18. Et une bonne tête de plus que lui. L’année scolaire se termine, et je ne verrai plus cette petite vermine, car je vais aller en "technique". Alors j’en profite pour le cogner un peu plus souvent, pour qu’il se souvienne de moi.

Donc, j’étais en train de lui écrabouiller la main mais, comme il résistait, d’un coup de genou, je l’ai envoyé rouler cul par dessus tête, ce qui a fait rire toute l’assistance. Je l’aidais gentiment à se relever, en le saisissant par sa tignasse, quand une voix haut perchée a retentit : "Marius !"

Je me suis retourné lentement pour voir Mme Marat, la prof d’anglais, à quelques mètres.

 Elle était plantée là, les poings sur ses hanches, et me regardait avec colère. Toute l’assistance en a profité pour décamper et je me suis retrouvé seul face à elle. N'importe quel enseignant serait en colère, mais elle, c'est la mère de Bernard.

Inutile de parler, je devine ce qui va se passer : "File dans ma classe. Illico presto." crache-t-elle en serrant les dents.
J’ai soupiré et je me suis mis à marcher lentement vers sa classe. J’ai fait un détour par les toilettes en prévision d’une engueulade qui pourrait durer longtemps. En pissant, j'ai entendu le claquement des talons qui passaient devant le chiotte. Ce devait être Mme Marat qui rejoignait sa classe.

Je me suis lavé les mains et je me suis dirigé vers sa classe. J'ai ouvert la porte sans toquer, pour bien lui montrer qu’elle ne m’impressionnait pas. D’un regard circulaire, j’ai vu que nous n’étions que tous les deux. Elle avait ôté son blazer et étrangement, elle avait dégrafé deux boutons supplémentaires, agrandissant son décolleté plongeant. J’ai supposé qu'elle avait chaud, ou qu’elle prévoyait de s’énerver.

"Ah, Marius. Asseyez-vous ici." dit-elle en me montrant la chaise. Elle semblait plus calme, mais son regard brillait d’une étrange lueur.

Je me dirigeais vers le siège désigné, quand elle alla vers la porte d’entrée pour la refermer en la verrouillant. Bizarre, comme attitude. Est-ce qu’elle aurait l’intention de me donner la fessée, ou quelque chose comme ça ? Je me suis installé en attendant la suite des évènements.

"Alors..." dit-elle en marchant vers moi. "Raconte-moi ce que tu étais en train de faire à mon fils !" me demanda-t-elle en se penchant un peu en avant, pour poser une main sur le bureau. Putain de merde, je peux presque voir jusqu’à son nombril. Son soutien-gorge en dentelle noire tranchait sur sa peau laiteuse. Impossible qu’elle ne se rende pas compte de ce qu’elle me montre. Elle le fait exprès pour m’allumer. Et ça fonctionne.
Ma bite se réveille et commence à s’étirer.

"Il devenait un peu trop arrogant, ces temps-ci, alors j'ai décidé de lui apprendre à vivre." Je déclare sereinement.

"Et tu fais ça devant moi, tout en sachant parfaitement que je regardais ?" elle me demande.

"Eh bien..." mais sans prévenir, elle s’assoit sur mes genoux.

"Tu es si agaçant. Tu tourmentes un sous les yeux de sa mère, et tu t’en fiches ! Existe-t-il une chose que tu n’oserais pas faire ? Tu sembles te moquer de tout. Tu aimes harceler, intimider, dominer. Je ne connais pas de jeune homme aussi … viril que toi !" me déclare-t-elle, en promenant ses seins devant mon visage.

Je suis un peu estomaqué par sa tirade. Je m’attendais à une punition, et j’ai une femme en chaleur, assise sur mes genoux, qui me dévoile sa magnifique poitrine, le sourire aux lèvres. Putain, j’aime ça ! Je n'ai aucune putain d'idée où cela nous mène, mais j'aime ça. Je ne savais pas qu'elle était là, derrière moi, mais je ne vais pas le lui dire.

"Mme Marat, ..." dis-je, mais elle m'interrompt.

"Appelle-moi Nathalie." 

"Nathalie, est-ce que ça ... t'excite, de me voir maltraiter ton fils ainsi ?" Je demande.

Elle soupire et ses seins me sautent presque au visage.

"Écoute, je peux te confier un secret, je suis attirée par les mâles dominants comme toi. Les hommes qui prennent, qui se servent sans demander, qui font plier les faibles, ça m’excite tellement … depuis toujours ..."

Je vois mieux où cela nous mène, maintenant. J'agrippe ses hanches, plein de confiance en me sentant durcir.

"Et je suppose que tu as besoin ?"

Elle hoche la tête sans répondre. Elle attend en frottant sa fesse contre ma bite tendue. Elle attend, impatiente et docile, que je la prenne en main.

"Dis-le. je grogne. Dis-moi ce que tu veux. Je veux te l'entendre demander."

Elle baisse les yeux et frotte son cul un peu plus fort.
En même temps, elle se tourne pour approcher un peu plus ses seins de mon visage.

"Je veux sentir ta bite. Je veux que tu me prennes. Je veux que tu me domines. Je veux que tu me fasses crier de plaisir. Je veux être ta salope pendant que mon fils m’attend dans ma voiture. Je veux être à toi !"

"Bonne fille !" J’ai fait glisser les bonnets de son soutif. Ses seins pressés sont énormes. Ses tétons turgescents, brun-rouge, tranchent sur sa peau laiteuse. Je les saisis, les tord, les étire. Ils se gonflent tandis qu’elle respire fort en gémissant : "C’est un bon début." 

"J'ai souvent entendu des commentaires sur toi de la part des filles. Certaines semblaient bien te connaître. Elles prétendaient que tu es monté comme un cheval !" me dit-elle, pleine d’espoir.

"Bernard risque de t’attendre longtemps. Tu l’as prévenu ?" je lui demande en lui souriant.

"J’espère bien qu’il va m’attendre longtemps. Très longtemps !" gémit-elle en respirant plus fort.

"Es-tu prête à risquer ton boulot pour faire l'expérience ?" Je la taquine en lui montrant la caméra de vidéosurveillance.

"Cette saloperie ne marche pas. Ils l’ont mise pour impressionner les élèves, mais ne l’ont jamais branchée." 

Je me penche, et je gobe son mamelon pour le sucer. Elle s’accroche à mes épaules, puis elle passe sa main dans mes cheveux pendant que je tète alternativement ses globes laiteux. Je lèche, je suce, et elle gémit plus fort.

Ma bite est complètement raide, et elle se frotte dessus. Je passe ma main libre sur son cul joufflu, en malaxant autant que je peux. J'ai hâte de la prendre et de la faire crier, mais je veux l’entendre supplier. Je veux la renvoyer vers son fils dans un désordre fatigué, avec la chatte douloureuse d’avoir trop baisé. Je veux qu’elle se présente devant son fils avec les stigmates de ce que je vais lui faire subir.

Je ferme les yeux et me concentre sur la succion de ses seins rebondis, tandis que ma main s’insinue entre ses cuisses ouvertes.
Mes doigts cherchent à écarter sa culotte lorsque soudain, elle se lève d’un bond. J'ouvre les yeux, elle se tient debout devant moi, m’agrippe pour que je me lève et la suive. Je la laisse me conduire là où elle veut que j'aille.

Souriante, elle me pousse vers le siège de Bernard, son fils. Je m’assieds et elle s’agenouille entre mes jambes écartées : "Tu veux me sucer sur le siège de ton fils ? Tu es vraiment une salope." lui dis-je en dégrafant mon pantalon.

"Tu as bigrement raison. Je suis la mère et la prof la plus salope de la ville" me dit-elle en s’emparant de ma bite.

"Putain de merde … Quel morceau !" murmure-t-elle sous le choc, la bouche grande ouverte d'étonnement. Après avoir joué avec pendant un moment, l’avoir caressée en décalottant le gland, l’avoir léchée, suçotée, elle a ouvert en grand sa bouche aux lèvres charnues, pour engloutir ma bite presque entièrement.

J’avoue avoir été surpris. D’habitude, les femmes, après m’avoir léché la hampe et sucé le gland, essayent vainement d’engloutir plus que le quart de la longueur. En vain, ma bite est trop épaisse et trop longue. Mais cette salope m’a bluffé. J’ai toujours pensé qu’elle avait une bouche fabuleuse pour sucer la bite, mais elle est encore meilleure que je ne l’avais imaginée.

Avec quelques difficultés, après avoir facilement avalé la première moitié de ma bite, elle a réussi à glisser l’intégralité de mon membre dans sa gorge. Elle est restée là, souffle coupé, le nez contre mon pubis, quelques instants, avant de ressortir triomphalement mon outil. Les yeux brillants d’émotion, elle a léché lentement ma hampe, comme si elle en savourait le goût. Je pouvais sentir son souffle chaud caresser ma bite.

Une langue incroyablement enveloppante. Je la regarde savourer ma bite, profitant de chaque seconde. Elle reprend son élan, et replonge ma bite entièrement dans sa gorge. Je gémis. Je peux sentir son rire étouffé vibrer sur ma bite tandis qu'elle hoche la tête de haut en bas. 

La pièce se remplit de sons humides de sa pipe mouillée, et de nos gémissements. Elle glisse continuellement sa bouche de haut en bas, sans hésitation, sans reprendre son souffle. C’est la meilleure suceuse de ma bite que je connaisse, et sa pipe est fabuleuse. Jamais je n’aurais pu imaginer que ma prof puisse être aussi salope, et tout ça parce que j’ai cogné son fils !

Elle me suce comme si sa vie en dépendait. Sa main joue avec mes couilles, comme si elle voulait les soupeser pour deviner leur poids. Elle me masse le scrotum comme si elle espérait drainer encore plus de sperme dans mes bourses. Je penche la tête en arrière en fermant les yeux pour profiter au maximum de sa pipe, de cette bouche gourmande qui glisse sur ma bite tendue, et des sons humides qui s’échappent de ses lèvres baveuses. Mon esprit vagabonde et s’égare, jusqu’à ce que je réalise que cette bouche vorace qui me suce en bavant de luxure, c’est la même bouche qui va embrasser ma victime pour lui souhaiter une bonne nuit.

Merde, j’adore cette idée. Le gamin qui espère que sa prof de mère va rendre lui justice en punissant sévèrement son persécuteur, s’il pouvait la voir agenouillée et suçant ma bite dressée. Que j’aimerais qu’il puisse assister à cette scène, la petite crotte ! J’aime cette idée qui m’envoie des ondes de désir dans le ventre, en imaginant Bernard en larmes en voyant sa mère s’avilir devant son bourreau. Je suis sûr qu’il détesterait cela.

Je baisse les yeux pour la regarder sucer joyeusement ma bite. Elle glisse ma bite hors de sa bouche, la suce, la lèche. Elle me branle, les lèvres juste posées sur mon gland, en me regardant dans les yeux. Sans interrompre le contact visuel, sa bouche aux lèvres sensuelles glisse le long de mon manche. Elle gobe l’une de mes couilles, la suce tout en continuant à me branler doucement. Mon gémissement de plaisir la fait rire, un rire de gorge, un rire énervé d’émotion lubrique.

"Tu aimes ma bouche ?" 

"Putain, ouais." 

"Et ma chatte, je pense que tu l’aimeras encore plus."

"Tu as un autre orifice que j’aimerais visiter aussi." Je réponds avec arrogance.

Elle sourit à cette pensée, sans cesser de caresser ma bite.

"Si tu fais du bon travail, peut-être que je te laisserai prendre tout ce que tu veux de moi." dit-elle calmement.

Elle s'arrête de me branler, regarde ma bite avec dévotion, puis se relève et m’invite à la suivre. Elle se dirige vers son bureau, je me lève et je la suis. Elle dégrafe sa jupe, se contorsionne pour la faire glisser le long de ses jambes et l’enjambe. Elle s’assied sur son bureau, s'allonge sur le dos, et elle écarte ses jambes devant moi.

"Viens chéri, viens t’occuper de mon minou." dit-elle en souriant et en me tendant les bras.

Sans hésiter, j'accroche mes doigts sous l’élastique de sa culotte, la faisant lentement glisser. Elle lève ses jambes en l'air pour me rendre la tâche facile, je lui ôte le fragile rempart que je hume profondément avant de le rouler en boule dans ma poche. "Souvenir !"

Je m’empare de ses jambes que j’écarte, et je découvre sa chatte soigneusement épilée. J'att ma bite et la frotte de haut en bas dans sa fente humide, en la regardant s'agiter de tentation.

"Putain, s'il te plaît, ne me fais pas attendre, mets-la moi maintenant !" elle gémit.

"Qu'est-ce que tu veux ?" Je la taquine, voulant l'entendre mendier et pleurnicher un peu plus.

"Je veux ta bite dans ma chatte. Je veux te sentir m'étirer en me baisant. Je te veux en moi, putain..." supplie-t-elle.

"Bonne fille. Tu vas l’avoir ... Après !" Je tire une chaise pour m’asseoir entre ses cuisses ouvertes.

Elle halète et se fige au début, visiblement choquée par la sensation de quelque chose d'aussi vivace que ma langue en elle. La première surprise passée, elle se détend et ondule du bassin. Elle répond à mes caresses en agitant son gros cul et en poussant des gémissements rauques. Ma langue explore ses profondeurs, lèche sa fente, et mes lèvres saisissent son clitoris pour tirer dessus, ou le faire rouler sur ma langue.

Elle passe sa main dans mes cheveux, saisit ma tignasse à pleine main, presse mon visage dans sa chatte. Sa main libre empoigne son sein, le presse, le tord. Sa bouche pousse un long râle sourd lorsque mon doigt pénètre dans son cul. Je m’active, de la bouche et des mains et bientôt, un torrent de spasmes secoue tout son corps.

Une fois la tempête calmée, elle soupire et se met à rire : "Ça fait vraiment du bien ! Maintenant, baise-moi, et ça ira encore mieux !" dit-elle avec ardeur.

Elle retient son souffle et gémit un peu en sentant mon gland étirer son ouverture. Mais elle est parfaitement lubrifiée et ce n’est plus une gamine, alors je ne fais pas le cérémonial d’attendre qu’elle s’habitue. Je m’enfonce droit en elle. Elle m’enserre entre ses jambes et m’accueille entièrement en elle, pubis contre pubis.

Je commence à déplacer ma bite dans et hors d'elle. Sa chatte n'est pas aussi serrée que les jeunes filles avec qui j'ai déjà baisé, mais putain, elle est bien plus bandante. Elle est bien plus enthousiaste, et totalement désinhibée. Pas de chichis, elle prend son pied, et elle m’encourage en gueulant fort.

Je passe mes mains sous ses cuisses, et je m'agrippe à ses hanches pour la maintenir en place pendant que je pompe ma bite dans sa chatte. Je peux dire qu'elle aime ça, car le niveau sonore de ses gémissements et de ses cris aigus augmentent d’un niveau pendant que je lui fais ça.

"Putain, Marius, les gamines ne mentaient pas quand elles prétendaient que tu avais la plus grosse du lycée.Tu me baises si bien, si profond. Vas-y, tape dans le fond, je ne suis pas ta mère !" ironise-t-elle.

"Tu voulais ma bite depuis un moment, hein ?" je lui demande en accélérant un peu le tempo.

"Oh, tu n'en as aucune idée. La première fois que j'ai entendu parler de ta bite, j’ai cru que la fille racontait des bêtises à ses copines. Mais de plus en plus de filles en parlaient, et ça m'a rendu folle de désir. Malheureusement, tu n’étais pas majeur, et j’étais obligée d’attendre. Quand je t’ai vu taper mon fils, j’ai profité de l’occasion pour t’amener ici !"

J’accélère encore en frappant mon ventre contre le sien, et je sens les parois de sa vulve s'agripper à ma bite. On dirait bien qu’elle n’a jamais été baisée par une bite aussi grosse que la mienne. Je lui pose la question.

"Tu es tellement plus fort que mon mari ! Plus grand et plus épais ! Putain, quel pied !" elle gémit.

Et puis il y a eu ça : "Ton mari ne te baise pas comme tu voudrais ? Est-ce qu’il te néglige ?"

Elle m’a raconté, d’une voix hachée par les coups de bite dans la chatte, que son mari était un mou, incapable de faire jouir une femme. Lorsqu’elle a été enceinte de Bernard, au début de son mariage, sa libido s’est déchaînée d’un coup. Son mari prétextait la fatigue, elle se sentait négligée, le jeune toubib qui l’examinait en tripotant sa chatte a été son premier amant. Depuis, elle en a eut beaucoup d’autres.

"Mon Dieu, ta grosse bite, c'est une de plaisir ! J'avais vraiment besoin d’une bite comme celle-là..." gémit-elle.

"J'espère que tu continueras à en avoir besoin. Je ne veux pas me contenter d’une baise unique." 

"Continue comme ça et … oh putain ! Oui, chéri ! Putain là !" elle exulte.

"Et quoi?" je demande, en m'assurant de continuer à la toucher sur cet endroit qu'elle aime tant.

"Je serai tienne ! Tu feras de moi tout ce que tu veux ! Je serai ta chienne, mais s'il te plaît, ne t’arrête pas, ne t’arrête plus, continue de me baiser comme ça !" elle me supplie.

"D’accord, tu seras ma salope." dis-je, en la baisant encore plus fort.

Elle ferme les yeux pendant que je lui martèle la chatte, en m'assurant de la toucher à cet endroit qu'elle apprécie. Ses gémissements emplissent la pièce, ses plaintes ne cessent de s'amplifier. Ses seins soubresautent à chaque poussée, et je ne prive pas du spectacle de son visage, tordu de plaisir, de ses seins qui gigotent au rythme de mes coups de bite.

Elle est vraiment très bandante, peu importe où je regarde. Avec les mains sur ses seins, elle pince et tord ses mamelons pendant que je la baise. 

J'agrippe ses hanches plus fort pendant que je la baise, pour la maintenir en place pendant que ma bite heurte sa chatte avec vigueur. Ses jambes commence à se lever, la plante des pieds regarde le plafond. Son visage se crispe, elle serre les dents, et sa chatte resserre son emprise sur ma bite. Je peux prédire qu'elle est proche de jouir.

Je garde mon rythme, claquant ma bite au plus profond de sa chatte trempée, tandis que ses gémissements deviennent plus aigus. Elle se cambre et se tord sous moi, et je la retiens vigoureusement. Ses frissons et ses cris se calment un peu, mais je continue de la baiser jusqu'à ce que je sois sûr qu'elle ait fini.

Une fois qu'elle est réduite à un abandon haletant, je glisse ma bite hors d'elle, luisante de son jus.

"C'était si délicieux, chéri..." haleta-t-elle, en fixant ma bite toujours dressée.

"Je n’en ai pas encore fini avec toi." lui dis-je en la retournant à plat ventre.

Nathalie tend ses mains derrière elle pour attr ses fesses joufflues et les écarter pour moi. Je suis sur le point de glisser ma bite en elle, quand elle se redresse soudainement : "Attends, j'ai une idée ..." 

Elle me pousse et je m'allonge sur le dos, sur le bureau. Elle grimpe sur le bureau et m’enjambe. Je voulais la baiser en levrette, mais c'est tout aussi bon. Lentement, elle positionne sa chatte au-dessus de ma bite. En s’empalant sur ma bite, elle regarde mon corps, admirative : "Salaud, tu es beau comme l'enfer !"

Elle glisse lentement vers le bas, appréciant la sensation. Lorsqu'elle touche la base, elle baisse la tête, et ses longs cheveux roux cascades devant son visage : "Putain de colosse." grogne-t-elle doucement. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit aussi bruyante pendant les rapports sexuels. Cela ne me dérange pas. C’est même plutôt motivant.

"Tu aimes ma bite ?" Je demande.

"Oh, oui ! C'est une bite fantastique, chéri !" dit-elle, en sautant sur ma bite.

Tandis qu'elle prend un bon rythme, on entend frapper à la porte. Elle se fige. Qui cela peut-il être ? Le surveillant général, un prof, la femme de ménage, ou un élève ? Si quelqu’un parvient à ouvrir la porte et nous trouve dans cette position, on est mal. Mais on entend cette petite voix familière :

"Maman ? Tu es là, maman ? Pourquoi ça te prends si longtemps ?" demande la voix. C'est Bernard, qui s’impatiente.

"Juste un moment, chéri. Je termine ma paperasse et j’arrive." dit-elle, sans cesser de me chevaucher. Elle prend appui des deux mains sur ma poitrine pour frotter sa chatte d’avant en arrière. Rebondir de haut en bas sur ma bite tendue lui hache la voix. Putain de merde, elle continue de me baiser en discutant avec son fils, cette salope !

"Bien, maman , d'accord. Tout s'est bien passé avec Marius ? Je ne l’ai pas vu partir."

"Tout va très bien, chéri. J’ai bientôt fini. Va m’attendre dans la voiture, et profites-en pour commencer tes devoirs, OK ?"

"D'accord, maman !" dit-il joyeusement.

Elle ne s'arrête même pas pour écouter son pas décroître dans le couloir, elle recommence à rebondir sur ma bite.

"Parler à ton fils pendant que tu baises avec son tourmenteur. Tu es incroyable." 

Elle hausse les épaules et se mord les lèvres : "Je n'allais pas me laisser distraire par mon gamin. Tu es si fabuleux !"

Ses mains sont toujours posées sur ma poitrine, et je regarde ses seins gigoter au rythme de sa cavalcade. Sa chatte enserre fermement ma bite, et elle ne montre aucun signe de fatigue. Je regarde et j’admire son corps pulpeux. Jamais je n'aurais espéré voir Nathalie me chevaucher ainsi.

C’est une experte. Elle est plus que bandante. On la dirait faite pour ça. Elle n’a jamais chevauché une bite aussi grosse que la mienne, et je n’ai jamais baisé pareille salope. Précisément, c’est ma salope, maintenant. Et si je dois faire de la vie de Bernard un enfer, quelle importance ? C’est une poule mouillée, et je me fiche bien de savoir qu’il pleure en entendant sa salope de mère gémir et crier comme une pute en chevauchant ma bite.

Elle accélère son rythme et ses gémissements s’amplifient. Ses seins gigotent en tous sens, et elle frotte ma bite contre les parois de sa vulve à l’endroit qui lui fait du bien. Sa chatte enserre ma bite comme dans un étau. Elle halète en gémissant. Elle accélère encore sa cavalcade, avec encore plus de vigueur et d'enthousiasme.

"Putain, chéri, ta bite me rend folle !" Soudain, son rythme devient erratique, elle se courbe sur moi, pantelante, ses mains se crispent sur mon torse. De nouveau, elle est proche de jouir. Son vagin se contracte, elle m’emmène avec elle dans le plaisir.

Je n’ai pas le temps de penser à la façon dont je veux la terminer, le vertige arrive trop vite. J’essaye de la prévenir, pour qu’elle se lève, mais elle résiste, s’accroche à moi. Ses muscles vaginaux massent ma bite, je suis incapable de résister.

"Viens en moi, je vais jouir encore plus fort !" elle me crie. Elle me pousse à bout en se contorsionnant sur moi, ses ongles se plantent dans mes pectoraux, ses cuisses charnues s’ouvrent et se referment, ses jus arrosent ma bite, et je projette ma semence dans sa chatte, la remplissant.

Coup sur coup, elle crie lorsque ma crème l’asperge, et elle prolonge sa cavalcade, essayant de retenir son orgasme qui décroît. Cette femme, c'est le meilleur coup de ma vie, et de loin. Aucune des jeunes femmes que j’ai baisées ne peuvent rivaliser avec cette femelle. Je ne peux m'empêcher de gémir bruyamment avec elle.

Lorsque la tempête s’est apaisée, elle glisse lentement hors de ma bite, et se lève en tremblant. Mon sperme s'égoutte de sa chatte congestionnée. Elle fouille son sac à la recherche d’un mouchoir pour endiguer la fuite. Je n’ai qu’une idée en tête, la revoir, pour la baiser encore et encore.

"Alors, j’ai réussi mon examen, cela ne restera pas un coup unique, n'est-ce pas ?" je lui demande en m'habillant.

"Après ce que tu m'as fait subir ? Putain, non, je ne veux pas m’arrêter de sitôt." elle m'assure. "Surtout, ne te vante pas de ça à personne, d'accord ? Cela pourrait me détruire."

"Ne t'inquiète pas, je vais garder ça secret."

Je me rhabille, en jetant quelques regards furtifs à son strip-tease à l’envers. Elle est toujours aussi bandante.

"Vas-y en premier. Je dois ramasser des trucs à ramener à la maison" elle me dit. Elle m’enlace pour m’embrasser voluptueusement à pleine bouche. "À bientôt, mon chéri."

Putain, je suis fatigué maintenant.

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