B.A.H ?

Après avoir hanté, quelques années durant, les salles obscures de cinémas porno, afin de goûter les ébats entre hommes, j'ai décidé de le faire au grand jour.
Depuis quelques semaines, je m'offre aux amateurs sur les aires de repos des autoroutes. J'ai commencé par me coucher nu dans l'herbe, faisant semblant de dormir. Plusieurs personnes curieuses se sont approchées. Les uns pensaient que j'avais trop bu ou que j'étais malade. J'ai fini par m'endormir.
J'ai été réveillé par deux doigts qui pinçaient mon nez et une grosse bite qui s'introduit dans ma bouche. J'ai sucé tout de suite...l'habitude !
Me sentant consentant, et après avoir éjaculé dans ma bouche, mon visiteur me prit par la main et me fit lever. Il m'attira vers une voiture et me courba sur le capot. Avec ses deux mains, il écarta mes fesses et s'enfonça en moi. Il se retira, éjacula sur mon dos et émis un sifflement. Bientôt, une autre bite s'enfonça dans mon cul.
L'assaillant me prit par les hanches et me fit glisser sur le côté de la voiture. Il saisit mes bras et les souleva au-dessus de ma tête. Des mains se saisirent de mes poignets et les tirèrent vers l'autre côté de l'auto. Mon enculeur me saisit par les hanches et me souleva sur le capot. Mes fesses étaient juste au bord. De l'autre côté, ma tête dépassait de peu. Quelqu'un me saisit par les cheveux, releva ma tête et une voix forte m'ordonna :
- Allez, suces !
J'ai ouvert la bouche et une énorme bite força le passage, distendant mes lèvres. Ne pouvant la sucer, elle ressortit.
- Crache dessus, éructa son propriétaire.
J'obéis. La bite reprit possession de ma bouche et en usa comme d'un cul, allant et venant jusqu'à l'éjaculation. J'ai été enculé une quinzaine de fois. On m'a laissé à terre comme un vieux vélo usé, nu comme un ver.
Je me suis réveillé en sursaut quand, saisi par les pieds et sous les aisselles, on me transporta vers une fourgonnette.

On me lia les bras croisés dans le dos, un bandeau sur les yeux, puis, on m'allongea sur le ventre, dans le véhicule.
Arrivé à destination, on m'enleva le bandeau. On me fit entrer dans un local. Sur la porte, trois lettres B.A.H(Brigade Anti Homos). On me traîna vers un baquet rempli d'huile. On m'y plongea jusqu'au cou. Après ce bain quelque peu étrange, on me conduisit vers un local en verre où une vingtaine d'hommes, tous nus, les mains liées dans le dos et un bandeau sur les yeux, attendaient. Un de mes nappeurs pinça mon nez et on m'enfonça une boule entre les dents, nouée derrière ma tête. On ouvrit
la porte de la cage de verre et on me poussa à l'intérieur. Au bruit de la porte qui s'ouvrit, le sexe des hommes entrèrent en érection. Mon corps couvert d'huite était glissant. Les hommes ne tardèrent pas à m'entourer et je compris soudain. Les sexes se dirigèrent vers mon cul et y entrèrent sans peine. Certains, mieux montés que d'autres, réussirent à m'enculer en même temps. Ils ont été jusqu'à quatre à me sodomiser en même temps. Le sang coula...
Ils s'appellent Brigade Anti Homos. Moi je veux bien, mais s'ils savaient le pied que j'ai pris, ils changeraient de nom.

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