Sabrina, Ma Petit Princesse...

Sabrina était une jeune femme de 21 ans environ, on ne saurait le dire avec exactitude en fait. Mais cela n’était le plus important. En réalité, on ne regardait pas son âge mais plutôt ses formes. De taille moyenne, les cheveux d’or, elle avait tout d’une petite bombe qui vous faisait craquer au premier regard.
Ses hanches étaient fines, sa poitrine n’était ni petite ni énorme, juste ce qu’il fallait pour offrir une vue splendide à quiconque plongeait dans son décolleté qu’elle arborait fièrement.
Ses fesses étaient rebondies et ses cuisses charnues. Bref ! Elle avait corps de déesse et un regard à tomber par terre.
C’était une voisine que je croisais assez souvent et avec qui j’ai vite lié amitié. J’étais devenu son confesseur, celui avec qui elle venait parler de ses bons et mauvais moments, à qui elle dévoilait tout de ses craintes, de ses joies et de ses peines. Elles était sans tabou et avait un besoin évitant de se confier, de se sentir écoutée.
C’est comme cela que j’ai appris qu’elle avait eu sa première expérience sexuelle à l’âge de 11 ans ! C’est elle qui l’avait désiré. Bizarrement, je n’ai jamais su comment elle était tombé dans le sexe aussi tôt, ce qui avait fait qu’elle était si attirée par cela à un âge si innocent.
Elle ne le vivait pas toujours bien, allant de rencontre en rencontre, elle ne faisait que s’amuser en quelque sorte, profitant d’un chaud lapin de presque trente balai pour une nuit ; le temps de se faire ramoner le minou ; le temps d’une extase.
Avec moi, elle parlait ouvertement de tout cela et je la sentais plus respectueuse. Elle est pourtant venue un jour me demander :
– Si jamais j’avais envie de coucher avec toi, est-ce que tu accepterais ?
Le désir disait oui tout de suite. Une fille aussi mignonne, aussi bien foutue, aussi douce, on ne pouvait que vouloir passer un bon moment avec elle. Mais une part de moi-même se refuser à la prendre pour un vulgaire objet sexuel.


C’est pour cela que je me suis résolu à lui expliquer que si je couchais avec elle, c’était parce que j’avais des sentiments. Et ces sentiments étaient bien là, à n’en pas douter. Le temps qu’elle passait avec moi était toujours trop court et son absence paraissait durer une éternité.
Sa voix me manquait quand elle n’était pas là, son regard aussi mais j’avais peur de le lui dire. Je ne voulais pas non plus servir uniquement de jouet sexuel à mon tour. Je voulais quelque chose de plus sensuel, de plus sincère.
Et son regard, à ce moment-là, me confirma qu’il y avait quelque chose de passionnel malgré ses aventures hasardeuses, éphémères.
Elle m’embrassa tendrement, me caressant les cheveux délicatement.
Mon cœur ne semblait plus battre dans ma poitrine et une force me submergea à m’en donner le vertige ; un vertige de bonheur sans fin.
Je comprenais par ces caresses et cette fougue dans le baiser que ce ne serait pas un vulgaire objet sexuel, mais belle et bien une petite princesse que j’honorerai parce que nos corps et nos cœurs le voulaient.
Je posai alors une main sur ses hanches pour la faire remonter délicatement, effleurant sa douce peau. Je lui caressai un sein, le massant tendrement pendant que je plongeais dans son cou pour l’embrasser.
Elle haletait, elle en voulait plus, je le savais mais je ne voulais rien précipiter ; je voulais profiter de ce corps, de cette douceur, de cette chaleur, de cette tendresse. Je lui retirai le haut pour ensuite plonger sur sa poitrine. Je lui embrassais chaque petit bout de peau jusqu’à la naissance de ses seins.
Elle dégrafa son soutien-gorge pour me laisser libre accès à sa poitrine. Je massai ces seins qui pointaient vers moi et commençai à les sucer, les mordiller tendrement pour la faire gémir.
Ma langue passait et repassait sur les tétons dressés et naviguait entre les deux monts fermes de sa poitrine encore jeune.
Tout en baiser, je descendis sur son ventre, mes mains courant le long de ses flancs.
Cette caresse lui donna la chair de poule. Je ne lui retirai pas sa jupe large en jeans mais glissai mes mains dessous, caressant bien ses cuisses pour atteindre sa petite culotte.
Je me redressai alors pour la regarder dans les yeux. Des yeux bleus étincelants et brillants d’amour et de plaisir.
"Bien sûr, ma petite Saby, que tu veux que j’aille plus loin…"
Ma main droite vint alors caresser sa cuisse, tendrement avant de rejoindre son pubis. Puis je la passai sur son sexe et sentis sa culotte déjà toute humide. Je lui massais le sexe durant quelques instants, lentement en appuyant légèrement dessus. Une caresse intense qui lui décrocha quelques gémissements de plaisir, les yeux mi-clos.
Puis je lui caressai les cuisses. Douces cuisses chaudes et fermes elles aussi. Je remontai jusque vers sa culotte pour la lui retirer. Comme elle leva les jambes, je les lui embrassai tendrement.
J’étais désormais à l’étroit dans mon pantalon, surexcité par cette petite chatte qui n’attendait que moi, je le quittai, ainsi que mon boxer.
Mon sexe raidi était à l’air libre et j’étais plus à l’aise pour plonger entre ces cuisses désormais ouvertes. Je les lui embrassai tout du long avant d’atteindre, enfin, sa petite grotte d’amour.
Je passai ma langue dessus, d’abord sur son clitoris avant de descendre jusqu’à l’entrée de son vagin luisant.
Mes coups de langue la faisaient gémir de plus en plus fort. Ce n’était rien comparé au moment où j’ai commencé à aspirer ses lèvres pour sucer son clitoris.
Sabrina se cambra alors, passant ses mains furieusement dans mes cheveux et redemandant encore et encore que je la suce goulûment.
Je goûtais à sa cyprine avidement, tournant et retournant ce petit clito dans ma bouche.
Puis j’allai la fouiller avec deux doigts introduits lentement dans sa petite chatte humide. Je la masturbai lentement, la faisant fondre toujours plus.
Au bout de quelques minutes, je retirai mes doigts pour les sucer.
Elle avait déjà porté sa main à sa chatte pour se caresser. Elle ne disait rien mais son regard dévoilait tout : elle en voulait encore. Et moi aussi.
Je vins l’embrasser encore une fois, me redressai et pris mon sexe en main. Je le frottai un peu contre sa chatte avant de m’enfoncer délicatement en elle. Je sentais mon sexe s’introduire dans son petit con serré, glisser le long de ce tunnel d’amour chaud et doux. Ce que c’était bon…
Sabrina posa ses mains sur mes épaules et ferma les yeux en un râle de bonheur.
Je commençai mon va et vient, toujours lentement, intensément pour qu’elle me sente bien en elle. Par moment, je cherchais à aller le plus loin possible dans son vagin, me sentant plus proche d’elle à chaque coup de rein.
Je la regardais, admirais son corps parfait de jeune fille. J’étais en train de lui faire l’amour et je n’aurai su dire à ce moment-là à quel point je l’aimais.
Elle se cramponna à mon cou pour venir m’embrasser. Je me couchai progressivement sur elle, stoppant mon mouvement. J’étais au fond d’elle, ses cuisses repliées sur les miennes.
Je me retirai pour me mettre sur le divan. Je l’aidai à se redresser. Elle vint s’asseoir sur moi, les jambes bien écartée, ses cuisses encadrant les miennes, pour m’embrasser une fois de plus. Puis, elle prit mon sexe dans une main, se redressa et présenta ma queue à sa petite chatte gourmande et suintante. Elle fit glisser mon sexe en elle. Je m’enfonçais une fois de plus dans sa caverne d’amour. Et au lieu de donner de grands mouvements du bassin, elle commença à se balancer lentement d’avant en arrière. Parfois, elle arrêtait pour donner un mouvement circulaire. Ses cuisses se frottaient à moi et je les caressais doucement.
Elle posa ses mains sur mes épaules pour me fixer droit dans les yeux. Son mouvement était plus rapide, plus intense.
Mon sexe la pénétrait plus profondément à chaque élan. J’avais maintenant une main sur sa fesse gauche et l’autre sur son dos, proche du cou.
Elle se penchait sur moi, allant de plus en plus vite dans son va et vient. Elle haletait et gémissait de plus en plus fort.
Je la serrais contre moi pour lui glisser à l’oreille :
– Jouis, ma puce, vas-y ! Jouis !
Ce qu’elle fit quelques secondes plus tard dans un gémissement de plaisir absolu. Et je ne tardai pas à la suivre. Quand elle serra les cuisses sur les miennes, son souffle chaud dans le cou, mon sperme se répandit en elle, en un long jet intense. Je donnai encore un peu de mouvement pour jouir en elle, faire échapper tout mon sperme. Je la serrai contre moi, déposant de tendres baisers dans le cou.
J’avais une main sa cuisse et nous étions enlacé, profitant un peu de ce moment d’extase. J’aurai alors voulu que le temps s’arrête, que l’on reste là indéfiniment.
Mon sperme coulait de sa chatte, le long de ma queue, mais ni l’un ni l’autre ne voulait bouger.
Nous finîmes la journée, allongé dans les bras l’un de l’autre, se caressant tendrement, refaisant un monde empli d’amour. Notre amour…

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