Drole De Cours À Jussieu

Il y a des travaux, des cours fonctionnent toujours, j’étais dans les toilettes de la tour 33 à regarder des dessins, et des inscriptions cochonnes, en me branlant.
Un bruit me fait redresser la tète, je vois un ouvrier qui me regarde.
« Viens me branler quand tu as fini » « en attendant, je m’occupe de l’ambiance » avec une pince il coupe la lumière.
Je me sens rougir, j’attends un long moment, j’ouvre le porte.
Il me fait face « tu suces ou tu baises ? »
« Je ne suis pas homo ! »
«  On dit çà ! »
Tu es marié ? Non !
Pour être tranquille, j’ai fermé la grille !
Je me sens pris en embuscade.
Dans la pénombre, je le vois sortir çà bite. Aller au boulot !
Je sais, je sais ! Tu n’es pas homo !
Moi non plus, mais j’aime enculer les petits jeunes dans ton genre !
« C’est la méthode forte que tu aime ? »
Il arrache les boutons de ma chemise et me pince fortement les tétons. Ce qui me fait pousser de petits gémissements.
Prends ma bite dans ta main branle-moi !
Je reste stoïque, mes tétons me font mal, une gifle écrase mes joues.
Je prends ça bite dans ma main. Son sexe est noueux, chaud, je me sens étrange, et impressionné.
« Ha ! c’est la méthode forte que tu veux»
Il me pince les tétons.
Il déboutonne mon pantalon, je veux l’empêcher, il prend ma main la pose sur ça bite.
« Touche comme elle est belle »
« Allez à poil ! Baisse t’ont froc! »
Je me sens piégé, je baisse mon pantalon et reste figé de peur.
Il s’approche de moi, saisit mon slip et d’un geste brusque, il le déchire.
Il fait tomber son bleu de travail, il ne porte aucun slip.
Il a de grosses couilles, ca bite dressée lui barre le ventre.
Pris de panique, je me précipite vers la grille.
De la sueur perle sur mon front, il me gifle j’ai les joues en feu.
« Agrippe les barreaux de la grille et pressente moi ton cul ! »
« je vais te dresser » « je vais t’apprendre à obéir » 
Il me cingle les fesses, avec sa ceinture.

Soumis, je prends la pose J’entends le bruit caractéristique de la pochette d’une capote qui se déchire. Sa bite noueuse coulisse dans ma raie, je me crispe, il crache, une main appui sur mon dos une douleur envahie mes reins.
J’appelle, Au secoure ! A l’aide ! Au secoure !
Mon tortionnaire s’esclaffe
Retiens ton souffle !
D’un violent coup de rein ça bite s’enfonce jusqu’à la garde je sens ces couilles qui écrasent mes fesses. Mes poumons se vident. J’ai l’impression que mes fesses se sont séparée, je n’ai plus la force de crier. Je ne pense qu’a se sexe vigoureux dans mes fesses.
« Tiens prends çà dans le cul ! »
Il me sodomise de toutes çà longueur, mes fesses me brûlent, mon cul me fait mal. Je gémis à chaques coups de butoir.
« Tu prends ton pied ! »
« Elle te plaît ma bite ? » « Elle est bonne ! »
Il me pilonne le cul a grand coup de reins.
« Maintenant tu es uni pour le meilleur et le pire »
il passe son bras sous mon ventre, fixé à son pieu, il me dirige vers un évier. Et me demande de saisir le bac ce qui m’oblige à me pencher beaucoup plus. Je m'incline.
« Tu piges qu’avec ma bite dans le cul »
« tu es obliger de me suivre,« De te plier à tous mes caprices »
Dominé par cette bite noueuse je n’offre plus aucune résistance totalement dominée par ce type. Je saisis le bac cambré a l’extrême.
Ces mains écartent mes fesses.
« Je te la mets bien profonds »« tu en prends plein ton petit cul »
« bouge ton cul maintenant, pousse sa va ouvrir en grand ton trou du cul »
Dompter, je pousse, ma rondelle n’offre plus de résistance.
Il se retire sa queue et m’encule d’un coup 1 fois 2 fois 3 fois en vociférant.
« Prends, çà dans le cul  » « et encore çà »
Des claques s’abattent sur mes fesses qui me brûlent.
« Cambre-toi bien ! »
La domination sadique, la souffrance me fait bander, le cul et les couilles en feu, humilié je jouis en longs jets saccadés qui rétracte ma rondelle.

Mon bourreau grogne.
« Tu jouis salope » «tu as la rondelle qui vibre »« se faire enculer s’est mieux que la branlettte hein ? » 
il hurle, sa liqueur zèbre mon dos, une tape s’abat sur mes fesses elles sont bien ronde.ca a été bon de les baiser. il a ouvert la grille et a disparu.
La tète bouillonnante de réflexion le cul en feu je me rhabille. Et quitte les lieux au détour d’un couloir mon bourreau est sur un escabeau et change un néon, il me fait un clin d’œil quand il n’aperçoit ce qui me fait rougir.
Je sens son regard sur mes fesses jusqu’à ce que je disparaisse.
Kado

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