La Gourgandine ( 5 )

5---- Toute la suite des évènements va très vite. Je recule ma chaise, fait mine de ramasser quelque chose, mais en réalité plonge sous la table.
- Qu’est c’que t’as perdu ?
Je déboutonne le haut de mon chemisier, me glisse à genoux entre ses jambes, tends une main, appuie sur la bosse en bas du pantalon, frotte le mandrin. Il est gros, vachement dur, j’en suis surprise. Il proteste d’un ton autoritaire.
- Tu vas pas recommencer !
- Vous bandez !
- Fout moi la paix !
Il a l’air furieux, repose son verre, repousse sa chaise, se lève. Je sorts vite fait de sous la table, et alors qu’il se dirige vers la porte, je lui barre le chemin, me plaque contre lui, ouvre la braguette. Il est surpris par la soudaineté de l’attaque, me repousse sèchement, je manque de tomber.
- Décidément, quand je suis seul avec toi, tu ne penses qu’à ça !
Alors qu’il s’apprête à refermer son pantalon, je reviens à la charge, sans hésiter je glisse ma main dans la braguette ouverte, m’empare du mandrin enfermé dans le slip. Il me repousse brutalement d’une main, mon chemisier s’ouvre, il s’empare d’un de mes seins, le serre. Ce faisant l’autre sein s’échappe hors de soustif
- Arrête ça, j’vais m’facher !
Je résiste, m’accroche à lui, glisse la main dans le slip, tente d’en sortir la queue, ni parviens pas, je commence à le branler sans la sortir. Lui, d’une main pétrit le nibard qui est à l’air libre, alors que l’autre main a trouvé un téton au travers du tissu du soutif, le pince à m’en faire mal.
- Aïe doucement, il est sensible !
- Lâche ma bite ou j’le tord !
Au lieu de faire ce qu’il m’ordonne, je me colle contre lui, attaque la ceinture, ouvre le pantalon, d’une main tire sur l’entrejambe du slip, de l’autre en extrait le mandrin. Sa queue est maintenant hors du pantalon, raide, rouge, gonflée. Je le branle, cette fois il ne me repousse pas, se laisse faire, me dit :
‘ C’est bon, t’as gagné !
Il ouvre mon chemisier, dégage le sein resté dans le soutif, agasse mes tétons, ça fait durcir ma poitrine, je mouille.

Je lui demande :
- J’peux vous faire une petite gâterie ?
- Pourquoi pas ! Mais ensuite tu m’fous la paix, j’suis pas venu pour te baiser !
Il se rassoit, reprend son verre, continu de siroter sa bière. Je m’accroupis devant lui, prends le gland en bouche, absorbe une partie de la queue. Il me regarde faire, je ne sais pas s’il apprécie ma prestation. Il repose son verre et à deux mains me saisit la tête et m’enfonce sa pine en fond de gorge. Il la maintient jusqu’à ce que j’étouffe, j’ai du mal à reprendre ma respiration, j’en bave. Il me repousse, me dit :
- Bon, ça suffit comme ça !
Je me relève, hésite un instant, l’interroge du regard, il ne range pas sa queue, attend. Je vais chercher une capote, déchire l’étui, me plante devant lui, :
- Fallait qu’t’en arrives à ça !
Je m’agenouille, il me laisse la dérouler sur sa queue. Je me relève, lui tourne le dos, remonte ma jupe, lui montre ma jolie petite culotte rose.
- Dis donc, tu as de la belle lingerie.
- Vous aimez ?
- T’as encore prémédité ton coup !
- Faut bien que je vous remercie !
J’écarte ma culotte pour dégager ma vulve, ouvre mes cuisses, saisit l’énorme queue, la guide dans mon trou, il me laisse faire. Je descends doucement dessus, le gland force l’entrée, c’est gros, je grimace mais ça rentre. Une fois dedans, j’ai besoin de faire plusieurs tentatives pour que le reste de la queue pénètre entièrement en moi, ça me donne chaud. Il me prend aux hanches, m’aide à monter et descendre sur son pieu. Il entre en entier, je remue le bas ventre d’avant en arrière quand il est tout au fond, m’étire le vagin. Il me prend à bras le corps, se lève sans sortir de moi. Je suis plantée sur sa bite, mes pieds ne touchent pas le sol, il me transporte doucement sur le lit. Je me retrouve dessus, à genoux, en levrette, appuyée sur les épaules. Il remonte ma jupe sur le dos, lui est toujours resté encastré dans mon vagin. Il me prend aux hanches, me burine dur, je pousse des petits cris, hi iiii hooo iii à chaque fois qu’il parvient au fond de moi.
Il m’accompagne par des han, han, quelle symphonie ! Il enfonce ses 20 cm, va au plus profond de mon bas ventre, entre, sort, fait des va et vient rapides.
Il sort de moi, m’aplatit sur le lit, me retourne sur le dos, remonte ma jupe, enlève ma culotte, j’ai le ventre à l’air, lui expose ma toison, ma fente.
- Vingt dieux, ta vraiment une belle chatte !
Il se penche sur moi, déboutonne entièrement mon chemisier, vire le soutien-gorge, caresse mes seins, aspire mes tétons, ils enflent, ma poitrine durcit encore. Je remonte les jambes, écarte les cuisses en grand, ouvre mes lèvres, lui expose le fond rose de ma fente, attends qu’il me la remette.
- Revenez dans moi !
Au lieu de ça, il roule mon clitoris entre deux doigts, décalotte le petit bouton rose, le titille. Mon bas ventre fait un bon à chaque fois qu’il l’agasse, je cambre les reins, mouille en abondance, pousse des petits cris de plaisir. Il baisse pantalon et slip sur ses cuisses, dégage bien son attirail. Il me relève le cul, met mes jambes sur ses épaules, glisse sa queue devant mon trou, d’un coup de rein s’enfourne direct jusqu’aux couilles, butte au fond de moi.
- Oh là, doucement !
J’ai les jambes en l’air, il les tient serrées et plaquées contre sa poitrine, me pilonne acharné, ses couilles touchent mon cul tellement il me l’enfonce. Je suis partie, halète, accompagne chaque coup de pine, ça y est, je décolle, ne contrôle plus rien, chavire, perds pied, resserre mon vagin. Il comprend le signal, s’arrête au fond de ma gaine, plusieurs soubresauts suivis de plusieurs salves, dans un long râle il envoie ses giclées de foutre dans la capote.
- Wahhhhhhhouiiiiiiiii
Quel orgasme, il y a longtemps que j’en ai eu un aussi fort. Il relâche mes jambes, je les écarte, il s’aplatit sur moi, ne bouge plus, sa bite se contracte, envoie ses dernières giclées, ressort lentement. Il la retire de moi, se lève, tient son pantalon, vire la capote dans la poubelle, va dans la salle de bains.
Il me laisse là, étendue sur le dos, cuisses largement ouvertes, jupe remontée sur le ventre, minou, cul et seins découverts, pantelante, anéantie, assouvie. Il revient, je me redresse sur les coudes, le regarde, il a rangé sa queue, refermé son pantalon. Il décroche sa veste, la remet, me regarde, dit :
- T’as eu c’que tu veux ?
- J’ai pas souvent l’occasion de m’en faire enfiler une de cette taille !
- Si un jour j’ai le temps, j’te fais signe !
- Oh oui, vous me faites tellement du bien !
- Bon, il faut que je rentre ! J’ai perdu assez de temps comme ça !
- Vous regrettez ?
- Non, t’es vraiment bonne! Mais t’aurais pas dû !
Je me lève, enfile ma culotte, rabats ma jupe, remet mes seins dans le soutien-gorge, referme mon chemisier. Je prends un papier, inscrit mon N° de téléphone, lui donne, le reconduis à la porte. Il prend sa mallette, m’embrasse sur la joue, sort, je lui dis : .
- Merci pour tout.
- Tu m’as crevé ! J’voulais pas en arriver là.
- J’aime votre bite ! Faudra v’nir m’la remettre sans tarder !
- Tu prends la pilule ?
- Oui.
- Si j’avais su !
Je referme la porte derrière lui, mets la chaîne de sécurité. Il est resté ici plus d’une heure, m’a fait jouir comme pas souvent. Qu’est ce qu’il m’a bien baisé ! Que c’est bon d’avoir en soi une bite d’une telle dimension ! Vivement qu’il trouve une occasion pour revenir me voir !
Lorsqu’elle m’a raconté cette histoire, je lui ai dit :
- Tu as eu moins de mal à le convaincre de te sauter que lorsqu’il a débouché ton évier !
- Oui, il m’a même dit qu’il reviendra me baiser
Décidément mon père y prend goût ! Je porte son nom mais il n’est pas mon géniteur, ça offre des perspectives ! Et si un jour j’arrive à l’improviste ?
Lire la suite 6

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