La Gourgandine ( 16 )

16------ Le samedi suivant, sans en avoir reparlé à mon père, je me rends chez elle, m’installe, fait une toilette intime, me parfume légèrement cet endroit crucial, mets un film dans le magnétoscope. Je me demande s’il va venir, il ne doit plus se souvenir qu’aujourd’hui je l’attends chez ma copine. Plus le temps avance, plus je me dis que c’est foutu. Dommage, j’ai tenté ma chance, je suis venue là pour rien ! Vers 3h 1/2, j’entends que quelqu’un gratte à la porte. Je me lève, entrouvre, regarde, c’est lui.
Je retire la chaîne de sécurité :
- Entre ! Je croyais qu’t’avais oublié !
- Ce que je suis en train de faire est contraire à mes principes !
- Personne ne saura qu’t’es venu ici pour me sauter !
Il entre, je remets la sécurité, prends sa parka, l’accroche au porte-manteau derrière la porte à côté de mon anorak. Il a l’air gêné de se retrouver avec moi dans ce studio, regarde autour de lui, a l’air de découvrir les lieux. Tous les deux savons pourquoi nous sommes là, je mouille rien que d’y penser.
- Je me demande ce que je fais là ?
- T’as brisé tes tabous ?
- Je sais que j’ai tord, mais depuis l’autre fois, lorsque je baise ta mère je n’arrête pas de penser à ton cul !
- Et moi, quand j’entends ma mère faire l’amour, je rêve que c’est moi qui est à sa place au-dessous de toi, que je me donne à toi !
- Je suis toujours coincé au débit de tabac, j’ai peu de loisirs alors que ta mère est libre d’aller faire un tour quand elle le désire. Bien sûr je pourrais sortir en semaine, dans ce cas elle me remplace, mais je n’aime pas courir les magasins comme elle le fait. Aujourd’hui je lui ai confié le comptoir, je lui ai dit que j’avais besoin d’aller faire un tour. Profites-en, prends la liste de courses, m’a-t-elle dit !
- Tu as raison, ta vie est monotone, tu vas avoir 42 ans, je comprends que d’être toujours au comptoir est lassant.
- Je suis gêné de me retrouver seul avec toi dans le studio de ta copine !
- Ca fait tellement longtemps que j’ai envie de te faire cadeau de mon corps !
- Je ne peux pas l’accepter !
- Pourquoi ? Si t’es venu c’est bien pour ça ?
- J’aurais pas dû v’nir !
Je quitte mon pull.

Il me regarde d’un air bizarre, envie ou peur de moi ? Je baisse mon jean, l’enlève, le laisse par terre à mes pieds, les dégage, me voilà les seins à l’air et en petite culotte. Je tourne sur place, lui fait admirer mon corps, dis :
- Je ne te fais pas envie ?
- Arrêtes, rhabille toi, une autre fois peut-être !
- Pourquoi ? T’es bien venu pour me sauter ?
- Oui bien sûr, mais à te voir t’offrir comme ça, je m’en sens incapable
Je vire ma culotte, me campe devant lui jambes quelque peu écartées pour lui faire admirer ma fente poilue. Je me retourne, me penche en avant, lui montre mes fesses, les écarte à 2 mains pour bien lui exposer mon entrejambes, pivote de nouveau. Il me regarde d’un air déçu.
- Je ne peux pas te prendre, t’es ma fille, rhabille-toi !
- Tu sais bien que non, pourquoi te focaliser là dessus ?
- Je ne peux pas accepter que tu t’offres à moi de cette façon !
Il se dirige vers la porte. Je le ratt par un bras, passe devant lui, me plaque contre lui, frotte mon ventre, appuie une main sur l’endroit stratégique, pas de doute il bande. Il m’agrippe les seins, les serre, me repousse, je lui dis :
- Aïe, tu m’fais mal !
- Je ne veux pas de toi !
- Mon cul ne te plait pas ?
- J’suis venu pour rien, je m’en vais !
Je lui barre le passage, me penche en avant, il me repousse brutalement mais je réussis à dégrafer la ceinture de son pantalon.
Je manque de perdre l’équilibre, me raccroche à la ceinture, le pantalon tombe au sol.
- Bon sang, j’vais te flanquer une taloche si t’insiste !
Il se baisse pour reprendre son pantalon, mais je me colle derrière lui, passe une main devant, la glisse dans le slip, serre son mandrin. Il se redresse brutalement sans avoir remonté le pantalon, file un coup de cul pour se dégager, j’en profite pour attr l’élastique du slip et le descendre sur ses cuisses.
Il se retourne, me fait face, exhibe une queue rouge, gonflée à l’extrême, le gland violacé. Il me regarde d’un air furieux, me dit d’un ton sec :
- Je viens de te dire que je ne veux pas, t’as pas comprit !
- C’est trop tard, ta queue te trahit !
Je saisie le pénis derrière le gland, fait coulisser la peau, passe mon doigt sur le méat.
- Lâche ça !
- T’as envie de moi, ça se voit !
- Y en a marre, fout moi la paix !
Je déboutonne sa chemise, il se laisse faire, la retire, lui fait quitter son maillot de corps, nous voilà tous les deux à poil, mais lui a les jambes entravés par le pantalon et le slip. Je m’accroupis devant lui,
- J’te fais une gâterie ?
- T’es bien comme ta mère !
Je le prends en bouche, fais coulisser la peau sur la hampe. Il émet des petits grognements de satisfaction, me prend la tête, m’oblige à l’absorber, j’étouffe, recrache. Alors que je le suce copieusement, il dit :
- Bon, ça suffit !
Il me redresse, dégage ses pieds, se baisse, me prend à bras le corps, me soulève et me dépose sur le lit. Je me mets sur le dos, remonte mes jambes, écarte mes cuisses, lui dévoile l’intérieur de mon intimité. Il me relève le cul,
- À mon tour de t’la bouffer !
Il plaque sa bouche sur mon sexe, commence à lécher mon clito, le fond de ma fente, entre sa langue dans mon orifice. Je remue le bas ventre, pousse des petits cris de jouissance, ouh o o o ahhh a a, il me fait ça rudement bien. Je mouille en abondance, il aspire, me boit, fait vibrer son doigt dans mon vagin, décalotte mon petit bouton, l’agasse du bout de la langue et du doigt. Mon ventre fait des bonds à chaque fois qu’il y touche, ma respiration est rapide, mon cœur s’emballe, passe à la vitesse supérieure. Je le supplie
- J’tiens plus, prends-moi !
Mais il se retourne, passe en 69, replonge la tête entre mes cuisses. Il recommence à exciter mon bas ventre avec ses doigts et sa langue. Sa queue est sur ma bouche, je l’ouvre, absorbe l’énorme gland, le suce, caresse les couilles.
Il la fait entrer et sortir, je salive abondamment, je la sens se raidir, pourvu qu’il ne se vide pas dans ma bouche maintenant. Je n’en peux plus, c’est trop fort, j’ai rarement connu ce genre de mise en route. D’habitude les mecs ne s’attardent pas, après quelques coups de langue ils me la rentrent, certains sans même attendre que je mouille. Il continue à faire de lents va et vient dans ma bouche, sa langue, ses doigts dans mon vagin font vibrer tout mon corps. Cette fois je suis bien partie, ça y est je m’envole, mon cœur s’affole, ma respiration se bloque, je suis foutue, j’atteins le 7ème ciel, pousse un énorme cri de jouissance.
- Ohhgreeeeeeeeeuah oh.
Mon cri se prolonge par un grognement, il m’a enfilé sa queue en fond de gorge pour l’. Je viens d’avoir un orgasme d’une bonne dizaine de secondes, incroyablement puissant. Je ne bouge plus, suis dans les vaps, reste jambes largement écartées, ma respiration ralentit, mon cœur reprend doucement son rythme de croisière. Je refais surface, ouvre les yeux,
- Qu’est c’qui m’arrive ?
- Bon, t’as jouis, on arrête là !
- Je t’en supplie, rentre la !
Il est à genoux à côté de moi, regarde mon corps, me laisse encore récupérer. Voyant que je suis de nouveau lucide, il commence à me sucer les tétons, me pétrir les seins, ils durcissent à m’en faire mal. Il me caresse partout, passe le bout de sa langue sur tout mon corps, j’en frissonne de plaisir. Il écarte mes lèvres, aspire mes nymphes, passe son doigt entre, roule mon clito, en dégage la petite tige rose, caresse l’extrémité, rentre deux doigts à l’intérieur de moi, m’ouvre. Je remue le bassin, gémis de plus en plus fort, lui dis :
- J’la veux !
- Mets-toi sur le ventre !
Je me retourne, cambre les reins, lui présente mon cul, serre les cuisses. Il écarte mes fesses, passe le bout de sa langue sur ma rosette, la mouille, y fait tourner son doigt, le rentre dedans, je bloque mon sphincter. D’une voix suppliante je lui demande :
- S’il te plait, ne m’encule pas !
- J’vais t’empaler !
- Non, t’es trop gros !
Il met son pénis en place sur mon anus, commence à pousser, je resserre mon sphincter, remue le bassin, parvient à dégager la bite qui commence à entrer dans mon trou du cul, elle glisse à l’arrière de ma fente
- Non, pas par là !
- Veux pas t’faire un gosse !
- J’prends la pilule !
Il est à genoux derrière moi, jambes écartées, je garde les miennes serrées, remue le cul pour bien le placer sur mon trou.
Je lui dis.
- Rentre la dans mon con !
Il s’incline au dessus de moi, appuie les mains sur le lit, le bout arrondi du gland s’est positionné à l’arrière de ma fente sur l’entrée du vagin. Je mouille abondamment, mais l’engin est plus gros et plus long qu’un phallus ordinaire, je le supplie :
- Ne me fais pas mal !
Il donne un brusque coup de rein,
- Aïe ouilleyouille non, grooos !
Le muscle cède d’un seul coup, le gland passe et la moitié de la queue disparaît dans ma gaine, butte au fond, le voilà dans moi.
- Aaah, n’entre pas tout !

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