Léa, En Panne De Voiture

J’avais rencontré Léa au détour d’une route, devant le capot ouvert de sa voiture… Elle était en panne, et je proposais de la raccompagner. Vingt minutes plus tard, arrivés devant chez elle, elle me proposait un verre… Vingt minutes plus tard encore, je lui limais la chatte de l’index ; il faut dire qu’elle était fort accueillante… Et aussi, que tout en sirotant notre drink, je lui avais servi quelques fadaises et autres blagues… Elle semblait s’en amuser, mes blagues devenaient plus grivoises, je me risquait à lui caresser le bras, la hanche, et continuais par un patin éclatant, qu’elle ne refusait pas plus…
Jolie rousse un peu ronde, elle semblait accepter facilement tout, avec un petit sourire… Je découvris, plus tard, que si elle ne prenait guère d’initiatives, elle se prêtait à tous les jeux que je pouvais lui proposer. Après le baiser, j’attaquais sa vaste poitrine, un peu lourde, descendait vers son pubis, toujours pas de réactions négatives… Et continuais donc en la dépoilant un peu, chemisier, jupe ; elle portait des sous vêt noirs, avait une poitrine opulente, des hanches larges, des fesses épaisses, et était rousse naturelle, comme le démontrait quelques poils échappés de sa culotte. Je sortais bien vite de mes habits, en slip moi aussi, et retournais la peloter.
Toujours souriante et passive, elle me laissait la cajoler de partout, de la langue et des doigts…. Je dégrafais son sous-tif et lui caressais les nichons à pleine paume ; je glissais aussi une main dans son string, l’index dans la fente et la titillais : elle mouillait faiblement ; je la déculottais, poussais l’index à fond, elle souriait toujours, m’avait juste passé les bras autour du cou…
Je la limais, lentement, cherchant son clito du pouce, attendant une réaction… Rien, ou si peu, elle respirait fort, simplement. Je découvris plus tard qu’elle pouvait jouir sans que cela se remarque vraiment, et que même prise à l’improviste, elle n’était jamais vraiment sèche, ni vraiment ruisselante d’ailleurs…
Après quelques minutes de branlage intense, elle s’était projetée deux ou trois fois le con sur mon doigt, j’avais encore accéléré mon doigtage, et elle m’avait fait : “Ah ! C’était bon, merci… “.

“T’as déjà jouit ?“. “Bein, oui, fallait pas… ?“. Et elle rougissait. Je la rassurais, tout en ralentissant mon mouvement. “Non, non, continue, c’est bon…“ Sapristi, elle avait pris son pied, faiblement, c’est sûr, mais je n’avais rien vu venir, et elle en redemandait. Moi qui avais connu des orgasmes féminins dévastateurs, ça me changeait. Et j’allais de découvertes en découvertes…
Elle avait la touffe fournie, ça lui débordait sur les cuisses, lui dissimulait l’abricot. Je jetais mon slip, la couchais sur la moquette, et lui enfilais ma bitte. , Elle avait le vagin accueillant et moelleux, peu serré, J’avais l’impression de tringler dans de la ouate, je pouvais y aller à grands coups, je ne risquais pas de gicler à l’improviste… Elle avait encore eu deux ou trois coups de cul, et m’avait remercié : “Oh, oui, encore, encore…“. Sapristi, pas une contraction, pas un spasme, à part cette brève et légère participation. Et toujours son bon sourire… “Allez, viens, mets toi à quatre pattes, que je t’enfiles par derrière…“. “Oh, cochon !“.
Mais elle s’exécutait, toujours souriante. Elle m’offrait à présent son large cul.
Je m’installais derrière elle, lui écartais les genoux, tendais la paume sous sa touffe, et raclais en arrière vers sa vulve, cherchant son clito, un peu au hasard : “Ho…“. “T’aimes qu’on titille le bouton, hein ? Vas-y, ma belle, mets toi un doigt…“. “Oh, cochon…“.
Son expression la plus salace, sûrement. Elle obéissait encore, et se posait un doigt dans la vulve. “Et bien, branles toi, maintenant, si tu veux que je t’enfiles !“. “Ho…“. Mais, doigt contre doigt, je la sentais obtempérer, encore. Et l’auto-branlage semblait la ravir : elle avait un peu creusé les reins, et son doigt allait toujours…
Je lui pointais de la main le gland en bord de fente, et l’emmanchais lentement, mais bien régulièrement ; j’étais sur un genou et un pied, entre ses jambes, et lui glissais, bien à fond, avant de me branler la tige entre ses lèvres à petits coups rapides et courts.
“Ho, ho !“. Avait-elle pris son pied, encore ? Moi, je reprenais mon ramonage, à grands coups lents, ne lui laissant que le bout du gland, avant de la renfiler jusqu’aux couilles. Je lui captais les nichons à pleine main, et en butée, la tirais fortement en arrière… “Ah…, ah… ouiiii… “. Enfin, un peu de participation audible… Elle était toujours aussi moelleuse, légèrement humide, et je sentais son doigt s’activer sous son ventre…
Je lâchais ses mamelles, lui ouvrais la raie, et lui caressais le petit trou, testant son élasticité. “Ho…, cochon !“.
Décidemment… Je préférais de toute façon une moule à un trou du cul, donc… Je débitais, puis : “Viens me sucer, pour voir…“. Je m’allongeais, et toujours consentante, elle m’attrapait la tige, prenait mon gland dans sa bouche… La vache, elle me secouait la queue, tirant exagérément le prépuce vers le bas et me massacrait le bout…
“Ho, ho ! Attends, je t’explique comment j’aime… Prends ma trique dans ta main, juste sous la couronne, voilà… serres un peu…
Ho, pas si fort… Non, un peu plus fort… Voilà… Maintenant, ouvre la bouche, et pose la sur ton poing… Voilà ; ferme, et sans les dents, hein… Oui… Voilà… Maintenant, recule la tête et la main, ensemble, jusqu’à ce que t’aie plus rien dans la bouche… Voilà, et maintenant revient au départ… Voilà, pas mal, continue“. Effectivement, elle apprenait vite, et bien drivée, on devait en faire quelque chose. Mon prépuce recouvrait et découvrait alternativement mon gland, avant de glisser entre ses lèvres. “Bon, arrête, c’était bien, mais ça suffit…“. Avec ses talents cachés, elle aurait bien pu me faire gicler à l’improviste, et je préférais profiter encore de sa moule de velours.
Je m’asseyais à terre : “Bon, lèves toi… Tournes, je veux voir tes fesses… Voilà, poses les épaules sur la table, oui, écartes las pieds, encore, bien…“. J’avais une vue magnifique sur son cul, son con et ses nichons pendants ; Toujours assis, je m’approchais : je ne voulais pas en rater une miette ! “Bon, maintenant, une main à la moule !“.
“Ho !“. Elle avait posée une paume sur sa touffe.
“Non, au panier, j’ai dit !“. Sa main descendait encore… “Bien, enfiles toi un doigt… Bien doucement, et à fond“. “Ho !“. Je voyais son index disparaître doucement entre ses lymphes, jusqu’à la paume… “Bon, maintenant, branles toi…“. “Ho !“. “Et titilles toi un tétin, en même temps !“. Je voyais son index apparaître et disparaître dans sa fente, et son téton roulait dans ses doigts ; elle respirait fort et ses reins creusaient au rythme de son branle.
Je me levais, m’approchais, lui caressais un peu la fente : “Laisses ton doigt, ramones toujours…“. Je posais la main sur ses reins, les creusant encore, et le gland au bord de sa fente, attendais que son index ressorte, et lui poussais ma bitte quand elle se remettait le doigt… “Haaa… haaaaa…“. Je suivais son rythme, deux ou trois fois, puis accélérais le mouvement ; je frottais dans son vagin et sur son doigt, et ça m’excitait considérablement… “Tu veux t’en prendre plein la chatte ? T’as qu’à demander…
Demandes…“. “Oui, je veux m’en prendre plein la chatte, viens, viens s’il te plaît…“. J’accélérais le mouvement, je me sentais durcir et grossir, elle se branlait toujours ; je l’attrapais par les hanches, et la tirais violemment sur ma pine, pour l’enfiler plus loin ; je sentais mes couilles battre sur son poing, et sa mamelle libre oscillait sous mon boutoir. Et je lâchais mon foutre dans son ventre, en quelques giclées chaudes… Quelques minutes plus tard, elle m’avait repris dans sa bouche, toujours quémandeuse...

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