La Vengeance De L'Enculée 3

3. Festin de bites
Le beau mâle me fait face, debout au pied du lit, jambes écartées, la tête renversée en arrière dans la pénombre. Emma est agenouillée devant lui, et lui suce les couilles avec des grognements gourmands, tout en le branlant d’une main, l’autre affairée à rouler un de ses tétons entre ses doigts. Je tombe moi aussi à genoux sans bruit derrière Emma. J’ai devant les yeux son cul défloré, et je ne résiste pas à caresser cette douce rondeur veloutée d’une main légère, tout en me branlant d’un poignet souple. Comme elle ne réagit pas, je m’enhardis, glisse une main entre ses cuisses, entrouvre les lèvres gonflées de son vagin et enfonce doucement l’index à la recherche de son point G que je connais bien. Je sais que je l’ai trouvé lorsqu’elle bascule son pubis en arrière vers moi et commence à se trémousser en gémissant de façon assourdie, la bouche maintenant vissée à la queue de Raphaël qu’elle aspire bruyamment. Cette double stimulation doit l’amener au summum de l’excitation, car elle ne tarde pas à m’inonder la main d’une gerbe de jus brûlant dans une série de spasmes incontrôlés. Elle laisse échapper de sa bouche la biroute du bandeur brésilien luisante de salive, et se jette en avant sur le lit, le menton enfoui dans les draps pour se reprendre en main.
J’en profite pour prendre la relève et empoigner la gaule dressée que Raphaël tend vers moi comme un étendard. Du bout de la langue, j’ouvre son méat et en extrais le précum visqueux au goût salé qui en suinte, puis je gobe son gros gland obèse et l’enfourne goulûment dans ma gueule. Mon cerveau est affolé de sentir cette masse de chair vivante qui pulse entre mes lèvres et me remplis la bouche avant de ressortir un instant pour mieux revenir forcer son passage entre mes dents, le gros bout protubérant palpitant contre mon palais. Agrippé à mes cheveux des deux mains, c’est lui qui règle en silence la cadence de mes aller-venues. Je lui broie les burnes d’une main, l’autre toujours vissée à mon sexe enflammé que je secoue au même rythme, frère jumeau de celui qui m’emplit la bouche à m’.

Si nous déchargeons en même temps, j’aurai la sensation que c’est moi qui me découille dans la gorge. Mais le salaud me frustre de ce délire en retirant de ma bouche son engin luisant de ma salive pour me tourner le dos et s’approcher d’Emma qui l’appelle d’une voix étouffée par le drap, lui offrant un con béant encore baigné de cyprine, ouvert des deux mains tirant sur les fesses. Tombé à genoux, complètement en rut, il l’empoigne sous les cuisses largement écartées, l’embroche par l’arrière d’un coup de son pieu d’acier et la pistonne sauvagement à coups de bassin brutaux, Elle l’accueille avec un soupir d’aise et l’attire par la tignasse pour lui bouffer la bouche.
Je suis à peine remis de mon festin de phallus avorté, et trop excité pour rester spectateur. Me traînant sur le sol, j’atteins la tête du lit que j’enjambe, et viens frotter contre leurs visages ma gaule dressée raide comme une poutre, cherchant à attirer leurs bouches soudées l’une à l’autre. C’est Emma qui prend conscience la première de ce monstre qui se presse devant ses yeux, et le happe au passage d’une bouche avide qui se ventouse autour du gland. De son côté, Raphaëlito saisit mes roustons entre ses dents et me les suce comme des sucres d’orge. J’ai l’impression que ces deux sangsues vont avaler mes parties génitales bousculées en tous sens par les coups de boutoir du baiseur qui lime ma copine. Très rapidement, la situation devient incontrôlable. Tout le corps du mec se raidit, fesses serrées et torse crispé. Il me mord le sac en laissant échapper un brame rauque et je sens qu’il éjacule en une longue série de convulsions. J’imagine son foutre épais qui englue le vagin hyper excité d’Emma qui réagit en inondant le lit d’une marée de son jus. Ma trique me fait mal de tellement me retenir, et à mon tour, j’abandonne le contrôle, je lâche une puissante giclée de riche purée qui tapisse le visage et les cheveux des deux suceurs, et me laisse retomber en arrière, dos contre la paroi. Raphaël s’est écroulé, son sexe toujours emmanché encore animé d’un lent mouvement coulissant, la poitrine collée au dos d’Emma.

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