Première Fellation

Nous étions en colonie de vacances et nous dormions tous dans le même dortoir, par tranche d’age. J’avais sympathisé avec mon voisin qui avait son lit près du mien. Il était plus grand et plus développé que moi. Un jour, alors que nous étions dans les douches communes, j’avais surpris son regard qui ne se détachait pas de mon sexe et provoqua chez moi un début d’érection ce qui en déclencha une, chez lui, plus conséquente. Je dois dire que j’ai eu du mal à tenir la comparaison, quand nous avons mesuré de nos yeux avides, la longueur de nos armes.
Nous avons eu, ensuite, des jeux plus rapprochés, nous nous caressions la verge et les testicules, les nôtres d’abord, puis celles de l’autre et il y eut des soirées où je m’introduisais, nu, dans son lit quand il en éprouvé le besoin. Au début nous nous caressions mutuellement mais nos jeux finissaient par une masturbation personnelle. J’étais plus curieux que lui et surement soumis, et lorsqu’il me proposa de le masturber jusqu’à l’éjaculation, c’est avec plaisir que je m’exécutais. Certains soir je devais être maladroit car je ne le masturbais pas assez vite ou mal et il fallait qu’en même temps je masse ces testicules et comme il tardait « à venir » je finissais par avoir des crampes au poigné, et nos jeux dans le noir et le silence du dortoir était parfois quelque peu bruyant. Son éjaculation m’excitait au maximum mais je devais aller finir ma besogne dans mon lit.
Un soir, où nous devions être plus bruyants que d’habitude, nous attirâmes l’attention de notre moniteur. Il faut dire que sa chambre était dans l’angle de notre dortoir, délimitée par un grand rideau, du sol au plafond, juste en face de nos lit. Quand celui-ci ouvrit le rideau, je me retrouvais nu, éclairé par la lumière de sa chambre car je n’avais pas eu le temps de rentrer dans mon lit. Je me retrouvais donc face à son lit, nu, à genoux, les mains sur la tête.
C’était un jeune homme d’une vingtaine d’années, pas facile du tout , vêtu de son pyjama, il s’était allongé sur son lit, appuyé sur un bras, pour me demander de lui raconter ce qui c’était passé.

Après beaucoup d’hésitations et quelques mensonges rejetés, je racontai avec les détails imposés par mon interrogateur, le plaisir que je prenais à masturber mon petit ami :
-« Jusqu’à éjaculation ? »
-« Heu ! oui, jusqu’à l’éjaculation »
Ces yeux étaient vissés sur mon sexe, et dans la position frustrante dans laquelle je me trouvais, je me surpris à bander, ne parvenant pas à me contenir. Mes jambes devenaient molles et avaient du mal à me soutenir, quand elles fléchissaient, mes fesses descendaient et je les relevais aussitôt et ce va et vient agitait ma verge qui était devenue très dure et au plus long que je pouvais. Quand elle parvenait à se stabiliser, elle restait obstinément tendue vers le haut. Un petit sourire de satisfaction se dessinait au coin de la bouche du mono.
« Bon, tu sais que si je raconte cette histoire au directeur, tu risque gros et tout le monde va être au courant de tes agissements ? » Je ne pouvais pas répondre, conscient de ce qui m’attendait, le regard de mon interlocuteur était revenu sur sa cible, et la cible ne fléchissait pas. De toute évidence, la situation dans laquelle j’étais m’excité au plus haut point. Je venais d’apercevoir une énorme bosse qui entrouvrait sa braguette sans bouton, du pantalon de son pyjama, laissant apparaître ses poils très fournis. La solution à mon problème tomba net et sans détour :
-« Si tu es gentil avec moi comme avec ton petit copain, je peux ne rien dire. »
Bien sur que je vais être gentil, pour la levée de punition, mais aussi parce que l’excitation dans laquelle j’étais et la bosse …
Je m’avançais vers le lit à genoux d’abord, puis à quatre pattes ensuite, il avait écarté les jambes et ma main qui était devenue experte, saisit ces testicules pour les masser, il renversa sa tête en arrière dans un long soupir, je glissais l’autre main dans sa braguette et en sorti son gros membre que je brandissais, raide, dur, je le regardais avec curiosité car je n’en avais jamais vu de ce calibre, ce n’était pas une verge mais une queue.
Il s’était redressé, assis pour contempler sa performance et mes mains s’activant sur son sexe. Je caressais, du creux de la pomme de ma main, son gland pour apprécier la douceur de sa peau et je me mis à le masturber quand il m’interrompis pour baisser son pantalon et je pus apprécier ces testicules qu’il me demanda de masser à nouveau. Au bout d’un moment, quand mon œuvre avait fait rougir son gland il m’interrompis à nouveau pour me demander :
-« Tu as déjà sucé une bite ? »,
-« Non, je ne sais pas le faire »,
-« C’est simple, c’est comme si tu suçais une glace »
Je penchais donc ma tête au-dessus de sa verge que je tenais toujours droite, quand je sentis sa main pousser ma nuque et sa queue pénétrer ma bouche grande ouverte. Je pris beaucoup de plaisir à le sucer, ma langue lécha son gland comme il venait de me le demander. Il imprima un va et vient que j’imitai pour frotter ma verge sur le drap. Son gland pénétrait profondément dans ma bouche, sa main se faufila entre le drap et mon ventre pour saisir mon sexe et le caresser. Je sentais qu’il allait jouir, tous ses muscles se tendirent pour diriger son énergie vers son sexe qui me pilonnait, sa main bloquant ma tête pour que je ne puisse pas me retirer, je me résignais et je continuais à le sucer en attendant que son sperme chaud inonde ma bouche, ce qui provoqua une éjaculation de ma part dans sa main qui me masturbait vivement, saisit de soubresauts je m’appuyais fortement sur lui, à genoux les jambes écartées, la joue posait sur son ventre.
C’était ma première fellation, mais aussi la première fois que quelqu’un me masturbait jusqu’à l’éjaculation.
Les jours suivants, j’attendais avec envie que mon mono me fasse signe pour aller le rejoindre dan sa chambre, ce qui ne se produit pas. Mais dès le lendemain je racontais mon aventure à mon voisin, nu dans son lit et qui fut surpris que je ne sois pas puni. Je parlais un peu fort pour ameuter le mono, mais le rideau resta fermé.
Je décrivais donc son sexe à mon ami, ce qui le fit bander, je me saisis de sa verge pour le masturber.
-« Et ses couilles comment sont-elles ? »
-« Moins impressionnante que sa queue »
-« Tu l’as sucé ? »
-« Ouai »
Je rejetais alors le drap pour le découvrir, nous étions nu tous les deux, je pris sa verge dans ma bouche pour la sucer et il bénéficia de cette nouvelle expérience.

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