La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1419)

chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1418) –

Quand je fus apprêtée, je me dirigeai enfin vers la chambre indiquée où se trouvait cet homme Dominant de passage au Château… et je croise le Maitre au détour d’un couloir. Je me mets de suite à genoux, je baisse la tête et reste immobile, les mains derrière le dos, la tête baissée. Monsieur le Marquis exigea sans détour que je me mette debout, de lui présenter mon cul en lui tournant le dos et en me penchant bien en avant. Et d’écarter avec mes mains mes deux fesses. Ensuite, il vérifia méticuleusement si mon trou anal était bien propre et si ma chatte était toujours parfaitement lisse et épilée. Il me doigta le cul, enfonçant un de ses gros doigts pour y trouver uniquement la propreté résultant des lavements anaux. Pui il me caressa le visage et me dit :

- Parfait ! Ta chatte et ton cul sont de véritables écrins pour accueillir une bite. Je veux être fier de toi, demain matin, Ma chienne car cet homme est un de Mes meilleurs clients et c’est un ami de longue date. Alors ne Me déçois pas. Je sais que tu seras en mesure de le satisfaire et je t’ai dressée pour cela.
- Merci Maitre de cette confiance et je ferai tout mon possible pour le satisfaire et ainsi Vous satisfaire…
- Bien maintenant, vas-y, il doit t’attendre. Bonne soirée et bonne nuit, Ma salope chienne
- Bonne soirée et bonne nuit à Vous, Maitre Vénéré et Adoré

Je quitte le Maitre, après qu’il m’ait donné une frappe d’encouragement sur mes fesses, pour m’agenouiller devant la porte de l’homme et frappe. Au bout de quelque instant, un homme ouvre la porte

- Voilà donc une des Favorites de mon cher ami, Monsieur le Marquis. Je m’appelle Maître Mickael. Entre et met-toi au milieu de la pièce

J’entre toujours à quatre pattes et m’installe à genoux au milieu de la pièce et j’attends les bras derrière le dos

- Comment tu t’appelles, soumise ? A chaque question que je te pose, j’exige une réponse, OK, la chienne ?
- Oui Monsieur, je m’appelle Cataleya, Monsieur
- Bien, Cataleya.

Tu vas voir que je n’ai pas la même façon de dominer que certains Dominants le font et qui ne voient que les soumises et esclaves comme juste des bouts de viande. C’est mon vieil ami, Monsieur le Marquis qui m’a tout appris, je dois bien le reconnaitre… Maintenant, sache que tu as autorisation de crier quand tu désireras. Vas au fond de la pièce et de dos, je veux marquer ton dos de mon fouet. Oui voila comme ça…

Je m’installe comme exigé et j’attends nue et sans bouger. J’entends ensuite les lanières du fouet fendre l’air dans le vide, puis les premiers coups se font sentir, mais c’est délicat et tendre. Mais ce ne dura pas, les coups se sont intensifiés et je commence donc à gémir, puis à crier, sans jamais bouger. Cela dura un bon moment. Une fois fini, Maître Mickael passa ses mains sur mon dos comme pour me féliciter et prit les martinets en cuir dur pour me fouetter avec. C’est délicieux pour moi, qui suis une grande maso. Je prends un pied monstre au bout de 30 minutes et mon fessier meurtri me brule car il doit être très rouge comme une tomate.

- Eh bien, tu es résistante Cataleya, une bonne chienne bien dressée. Tu ne serais pas un peu masochiste par hasard ?, à voir ta mouille dégouliner le long de tes cuisses ? salope en chaleur !
- Oui, Monsieur
- Bien, alors on peut continuer, petite marionnette à fouetter …

L’homme se saisit de la badine et commença à me donner des coups, mais aucune sensations. Les coups précédant ont comme anesthésiés mon cul ou alors ce sont les endorphines qui sont là. Il doit donc frapper plus fort pour que je réagisse et recommence à danser sous la badine. Maître Mickael rajouta des pinces, d’abords sur mes tétons et les fit sauter une par une avec la cravache pour faire un essai. Le résultat est que je sursautais et criais à chaque pince volant jusqu’au sol. L’essai paraissant concluant, il posa consciencieusement d’autres pinces posées sur toute la surface du devant de mon corps, de mon cou à mon sexe sur deux rangées verticales, en mettant de nouveau d’autres sur mes seins et tétons.
Puis idem sur deux colonnes, derrière cette fois, dans le dos, partant sous le cou jusqu’au bas de mes reins... Ensuite, il fit voler chaque pince, une par une, avec un fouet à la lanière fine et souple... A chaque pince éjectée de ma peau par le fouet, je sentis une douleur cuisante mais paradoxalement, j’en mouillai d’excitation … J’étais au bord de la jouissance lors des dernières éjectées, celles posées sur mes lèvres intimes… Ensuite, il m’installa sur le lit et commença à me branler doucement le clito, alternant avec ma chatte qu’il doigtait sans vergogne, revenant sur mon clito et ainsi de suite…

- Voyons voir, maintenant, comment tu réagis à une stimulation vaginale et clitoridienne, salope… Mais ? Tu es trempée, salope ! Le fouet et les pinces t’ont visiblement stimulée, la chienne

Le Dominant continua alors à me doigter la chatte vigoureusement puis me fista totalement, enfilant entièrement son poing tout en faisant à son poignet des mouvements de rotation lents et appuyés. Ainsi son poing entrait dans mon sexe lentement mais inexorablement. J’avoue avoir eu du mal à retenir mes gémissements et mon souffle s’accélérait de plaisirs. Et encore plus ma jouissance à la retenir car l’excitation montait crescendo dans mon corps de plus en plus fortement. Je coulais littéralement et ma mouille suffisait amplement à lubrifier ce fistage vaginal. Au bout de 10 à 15 minutes, j’eus l’autorisation de jouir, enfin ! Et ce fut délicieux, pouvant crier, hurler mon plaisir, oui je lâchais de véritables hurlements orgasmiques, étant emplie de spasmes électriques jouissifs, je me sentais pleine, bourrée de la chatte… Une fois mon violent et si puissant orgasme passé, Il me dirigea ensuite vers la douche et défit son sexe demi mou de son pantalon et m’ordonna d’ouvrir la bouche, ce que je fis. Puis, il me pissa dessus, dans la bouche durant de longues minutes, jusqu’à que sa vessie se vide. Ça débordait et coulait sur ma poitrine et cela m’excitait beaucoup car je sentais ma cyprine couler de nouveau le long de mes jambes…

Une fois fini, Maître Mickael inséra dans ma bouche sa queue et commence à me baiser torridement ma cavité buccale tout en me donnant de petites gifles avec sa bite en la sortant de ma bouche, puis il la remettait en place pour me bourrer jusqu’à ma gorge.
. Il empoigna ma queue de cheval pour me besogner ma bouche qu’il baisait comme un sexe féminin. Et le Dominant fit faire à ma tête des mouvements de va-et-vient en tirant sur mes cheveux, imposant ainsi sa propre cadence. Et cela eut l’effet escompté, car il ne tarda pas à gémir de plaisir et je sentis sa grosse verge vibrer dans ma cavité buccale quand il me plaqua d’un coup rapide et subit ma tête contre son bas-ventre. Ainsi, il gerba sa semence en de longs et épais jets saccadés de sperme chaud. Je faillis sous son étreinte, mais il relâcha prise, ce qui me permit d’avaler et de me lécher mes lèvres souillées de sperme. Puis il exigea que je lui nettoie sa queue mollissant méticuleusement. Ensuite, il me doucha et exigea que je me branle sous la douche et sous son regard. Alors j’écartais mes cuisses de salope le plus possible et portais ma main sur mes seins, mes tétons, caressais mon ventre et laissais mes doigts aller jusqu’à mon clitoris et mes lèvres vaginales.

Je me doigtais en pliant mes genoux pour me retrouver semi-accroupie et sentis ma mouille abondante couler encore. Ce spectacle, à me regarder me branler, moi, chaude et lubrique en une véritable salope aguicheuse en chaleur était comme si je faisais un véritable appel à me prendre, à me baiser ainsi avec une telle lubricité, perversité que ce spectacle l’excitait beaucoup. E ainsi Maître Mickael bandait de nouveau et se masturbait en me fixant des yeux avec gourmandise. J’étais à la limite d’éclater mon orgasme moi-même quand il s’approcha de moi pour me faire plier en avant et sans concession, il décida de m’enculer sans attendre sous la douche d’un puissant coup de reins que je sentis passer avec violence et fougue. Et ce fut long et délicieux pour moi de me sentir ainsi défoncée et pilonnée par le cul telle une saillie des plus torrides et bestiale… Les moments de baise par mes trois orifices en de multiples positions et les moments de séances D/s dura ainsi toute la nuit… Maître Mickael me paraissait infatigable ! Un véritable étalon et je ne pus en réalité que très peu dormir, étant sollicitée très souvent pour soulager ses pulsions sexuelles et dominantes…

Au petit matin, quand j’eus le droit de dormir enfin, je fus reconduit au Chenil pour m’endormir après avoir mangé dans ma gamelle telle une chienne bien dressée… Ce fut à ma grande surprise Monsieur le Marquis qui me réveilla pour prendre possession de ma bouche et se vider dedans.
En guise de petit-déjeuner, j’eu donc droit à la semence du Maître...

- Ma salope de chienne, je suis fier de toi. Maître Mickael m’a parlé de ta soirée et nuit et il m’a exprimé sa pleine satisfaction. Continue ainsi et tu ne tarderas pas à mériter que mes Initiales soient accolées à ton nom de chienne, Cataleya… Mais il est déjà tard plus de 10h et nous avons une réunion professionnelle dans ton entreprise. Une dernière chose j’ai validé les devis pour ton petit château, ils commencent les travaux demain. Tu iras remercier leur travail, avec ton cul et ta bouche, espèce de chienne en chaleur…

(A suivre …)

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