Le Cloître 3

Arrête de te branler ça m'agace. Laisse moi faire.
Nu comme moi, allongé sur le canapé, je matais ses fesses que je venais de dépuceler et au dessus le sac de couilles. Choisi dans tes films préférés celui qui t'excites le plus. En trois clics l'image est apparu d'un mec, nu qui se tortillait attaché sur un lit, en croix . Encore vêtu d'un short de sport et d'un tee-shirt, il se démenait pour espérer se détacher.
Un mec cagoulé entrait et sans un mot lui passait un masque en cuir . A un mur pendait divers matériels et avec un martinet aux lanières un peu longues il a fouetté par dessus le short. Le mec tentait d'échapper aux coups mais il en recevait quand même et il , a pendant une pause eu le tee-shirt découpé , dévoilant le dos. Les coups ont repris sur le dos laissant de petites traces rouges.
La seconde interruption fut pour découper le short et dévoiler une magnifique paire de fesses séparées par le bout de tissus du string.
Ce que j'avais pris en main était tendu et il haletait , les yeux fixés sur l'image comme si il était le fouetté. J'ai laissé continuer et on voyait le mec sortir les couilles sur le coté et les tenant serrées, donnait de petits coups dessus.
Une première goutte a coulé le long de sa verge que je tenais serrée, il donnait inconsciemment de petits mouvements dans mes doigts. J'ai arrêté sur l'image.
Xavier tu crois supporter ça?
Je ne sais pas mais pourquoi pas si vous l'imposez. Et vous?
J'aurais sans doute très mal mais il paraît que l'on s'habitue à tout. Il a souri, illuminant son visage et il a posé la tête sur mon ventre. Jouant avec mes couilles, il a égaré ses doigts par dessous. Palpant le bord de mon anus il a bien remarqué les soubresauts de ma queue.
Je ne sais pas par qui ou avec quoi mais vous semblez très souple de là.
Continue, j'aime et pendant un moment tutoie moi.
il a eu un petit rire. En fait d'après les films que j'ai vu vous avez du largement être utilisé.

Oups! Mon doigt a glissé. j'ai eu un sursaut , il avait engagé son doigt au centre de mon anus.
Tu es chaud et humide à l'intérieur. J'étais pareil tout à l'heure?
Oui, très chaud et très humide.
Moi j'avais besoin de ton sexe. C'est pareil pour toi?
J'ai eu une hésitation puis un oui franc.
Laisse toi aller, allonge toi, pose les reins sur ce coussin. Montre moi ton trou.
J'ai suivi à la lettre ce qu'il voulait, je le désirais aussi .C'est de la langue qu'il a exploré mon trou qui s'ouvrait facilement, habitué à être . Cette fois ce fut différent, il a longuement léché avant de se redresser.
Tu veux que je te prenne maître?
Oui! Vas y, baise moi , dépucèle ta queue dans mes fesses.
Tout en me regardant il a frotté tout le sexe dans la raie, bloqué à chaque passage par ma rondelle et quand il s'est trouvé en face il a envahi mon cul. Il y a une énorme différence entre me faire presque violer, même si j'aimais , et recevoir l'amour d'un mec. Car sans nul doute à ce moment précis il m'aimait. Tout en me surveillant du regard il allait lentement dans mes reins, caressant mes couilles et ma queue, jouant avec le prépuce très lâche.
Je veux te voir jouir quand je te fais ça. Il faut se connaître et ça en fait partie je crois.
Entre ses va et viens et sa main sur ma verge j'ai été long mais j'ai giclé en creusant encore un peu plus les reins. Penché sur moi il m'a embrassé et se dégageant il 'est reculé , léchant mon ventre avec les petits pois qui y repoussaient. Il a résisté un moment quand j'ai voulu le sucer après mais je me savais propre et j'ai fait une magnifique pipe comme il là méritait, avalant tout ce qui arrivait.
Hooo maître!
Oui Xavier mais pour ça il faut se laver l'intérieur aussi, après j'aime rendre ce plaisir.
Je te jure que maintenant ce sera propre devant , derrière et dedans!
Je te crois volontiers. On descend voir la cave aux trésors?
Attends que je te sèche les fesses sinon mon jus va couler.
Il a passé un mouchoir de papier dans ma raie, épongeant au fur et à mesure que ça sortait. Tu m'as fait de l'effet! Voila on peut descendre.
Cette fois je connaissais un peu mieux les lieux et les comprenais. Il y avait une salle qui devait être le réfectoire avec sa chaire incluse dans les murs et séparé par le cloître carré l'ancienne nef totalement vide si ce n'est le recoin où était le confessionnal. La partie qui fermait le carré, était un bâtiment à un étage où devait se si les cellules des moines . Enfin dans la nef,
à l'opposé du confessionnal se trouvait l'escalier descendant à ce qui paraissait une crypte mais révélait la partie masochiste du local .
La première partie était consacrée au moyens différents de rendre le sujet en perte de sensations autre que son corps. Masques divers, cagoules côtoyaient les casques insonorisant que je devinais pour certains reliés par bluetooth.
Tu as déjà porté une cagoule et un de ces casques Xavier?
J'ai essayé maître mais je perdais tout repère. Je les enlevais vite.
Cette fois je vais te faire porter une cagoule qui te laissera respirer et l'emplacement de la bouche libre et un des casques . J'ai vérifié et une fois allumé on entendait une musique ressemblant à une marche funèbre.
Viens , je te tiens par la main avance.
Plus loin différents colliers et laisses aux murs . J'en ai passé un assez large à son cou. Je l'ai emmené plus loin ou une table épaisse avait des anneaux partout dans l'épaisseur du bois. Là je lui ai fait toucher et il a prononcé assez fort, d'une voix un peu chevrotante: La table maître?
Sans répondre, il ne m'aurait pas entendu, je l'ai soulevé pour poser ses fesses dessus et l'ai centré sur le bois avant de passer des menottes de cuir à ses poignets et les attacher aux deux coins supérieurs de la table. En passant vers ses cuisses j'ai frôlé son sexe bandé. Il a eu un gémissement. J'ai fait de même avec ses chevilles. J'avais vu posé sur une tablette une tondeuse branchée que j'ai mise en route.

Il n'entendais pas mais quand le sabot froid est passé sur son ventre, descendant sur le pubis les vibrations de la tondeuse ont fait perler son sexe. Même réglée au plus ras elle laissait des traces de poils. J'ai poursuivi sur les cotés et tenant ouvertes ses cuisses J'ai tondu les deux cotés de l'aine. Tirant sur ses couilles j'ai pu raser au plus prés du sac et le long de la fine trace sombre menant à son sexe anal. Le résultat n'était pas parfait encore et j'ai pris une crème posée là pour enduire son ventre de son nombril jusqu'au dessous du sexe. J'ai laissé agir le temps d'explorer un peu plus la cave.
Des tuniques courtes étaient accrochées au mur avec leur ceinture de corde, une bonne vingtaine.
Après un angle au centre d'un large couloir un escalier. Je l'ai monté et derrière une lourde tenture trônait un lit sur une estrade. Une cellule a du déclencher la télé vision et j'ai vu le maître, souriant, assis comme d'habitude.
Bonjour mon successeur. Je t'avais choisi depuis le début pour prendre ma place. Ici ce sera ton lit. Lieu de toutes tes débauches avec l'esclave que tu choisiras. Il te faudra recréer une communauté comme celle que j'ai dirigé avec une douzaine de flagellants. Tel était notre nom depuis fort longtemps. Cet ordre au départ religieux fut interdit par l'église mais s'est perpétué secrètement. Les biens furent rachetés après la révolution par notre communauté comme biens nationaux et murés à part l'entrée par où tu es entré.
Ton premier esclave est Xavier, plus tard tu le nommeras supérieur mais je te dirais les choses plus tard. Va le retrouver pour ôter la crème dépilatoire. Après tu devras le fouetter comme il en a envie le temps que tu le devine jouir.
A plus tard. L'écran s'est éteint.

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