Ma Nièce 10ans Après

Je vous ai raconté voici quelques mois comment j’avais eu le privilège de dépuceler ma jeune et jolie nièce Marjorie. Elle m’a offert son pucelage quelques jours après ses 18 ans. Je devrais dire « ses pucelages » car ce jour là j’ai aussi eu le droit de la sodomiser.

C’était il y a presque 10 ans de ça et aujourd’hui, Marjo va avoir 28 ans, elle est mariée avec Vincent et ils ont 2 adorables gamines de 5 et 3 ans.

J’ai revu souvent Marjorie lors de fête de famille, mais depuis qu’elle est avec Vincent, nous avons été très sages… même si je mourrais d’envie de lui faire l’amour…

Je suis à la retraite depuis peu et il y a 15 jours j’ai eu la surprise d’avoir la visite de Marjo avec ses 2 filles. Nous avons discuté un bon moment, pris un café puis elle est repartie chez elle non sans me promettre de revenir se faire offrir un petit dej…

Cette visite a réveillé en moi mes vieux fantasmes et les désirs toujours présents de caresser son corps….

Mardi dernier, Marjo est revenue, mais cette fois-ci, toute seule… J’ai quasiment toujours vu ma jolie nièce en pantalon mais là, surprise elle était en jupe assez courte et jambes nues !

Je l’ai félicité pour sa féminité et on est passé au salon. Marjo assise sur le canapé, moi sur le fauteuil lui faisant face. Mes yeux ne pouvaient pas se détacher de ses cuisses car Marjo était assise en tailleur, jambes suffisamment écartées pour que je puisse voir sa petite culotte blanche.

Je vais mettre le café en route et reviens au salon. Je ne m’assoie pas sur le fauteuil mais à côté de Marjorie. Tout en discutant de choses et d’autres, je pose une main sur une cuisse que je caresse doucement. Marjo ne dit rien, ma main descend sur l’intérieur de la cuisse puis remonte vers l’entrejambes. Marjorie pose sa tête contre moi et écarte davantage les cuisses quand ma main s’égare sur la culotte que j’écarte pour atteindre cette petite chatte qui m’a rendu fou autrefois.



C’est pour ça que je suis venue parrain chéri, Je n’ai jamais oublié tes caresses. Vincent ne m’a jamais comblée comme toi. Embrasse-moi, déshabille-moi !

Je ne me fais pas prier et mes lèvres trouvent les siennes, ma langue investi sa bouche. Mes mains se posent sur sa poitrine que je malaxe à travers le fin tissu de son corsage et de son soutien-gorge. Je défais un à un les boutons du chemisier. Marjorie m’aide à l’enlever et dégrafe elle-même son soutif. 10 ans après les seins de ma nièce sont toujours aussi beaux, aussi fermes aussi arrogants. Toujours 2 belles grosses poires aux petites aréoles roses avec 2 tétons pointant fièrement. J’en prends un dans la bouche et le suce avidement tandis que je pétris l’autre. Je me régale des nibards de ma nièce, je les pétris, les malaxe, les écrase, Marjorie geint doucement. Ma langue s’affaire sur les pointes érigées que j’englouti dans ma bouche.

Marjorie n’est pas restée inactive. Elle a déboutonné mon jeans et a sortit ma queue du slip. Elle m’astique la bite furieusement.

- j’en peux plus, prend-moi mon chéri. Je veux sentir ta bite dans mon ventre.

Je lâche les roberts de ma petite salope et je viens entre ses cuisses. J’écarte la petite culotte. Elle a toujours cette petite toison blonde, peu fournie, les grandes lèvres bordées de quelques poils rares qui m’excitent terrible ! Je commence à la doigter tandis que ma langue vient titiller son clito. J’introduis un deuxième doigt dans sa fente, puis un troisième. Marjorie halète et pousse des petits cris de plaisirs. Je lui arrache alors sa culotte, lui écarte largement les jambes et je lui bouffe la chatte. Ma langue fouille son vagin, aspire ses petites lèvres roses, je gobe son clito qui a doublé de volume.

- Viens, je t’en supplie, baise-moi comme une salope !

Je ne peux pas résister plus longtemps et je fini de me déshabiller. Je bande comme un cerf devant le corps sublime de cette petite pute, mais avant de la défoncer, il faut qu’elle goûte à mon pieu.
Je l’approche donc de sa bouche et Marjo l’embrasse et le lèche immédiatement. Sa langue virevolte sur mon gland turgescent puis elle le prend en bouche, le relâche puis le reprend plusieurs fois de suite. Elle me rend fou cette gamine ! J’en veux plus alors je lui appui sur l’arrière de la tête. Marjorie a tout de suite compris et elle enfourne maintenant mon gourdin entièrement dans sa bouche, elle me fait une somptueuse gorge profonde ! Son va et vient qu’elle a repris sur ma tige me fait bander encore plus fort. Marjo s’attaque maintenant à mes couilles qu’elle lèche avant de les sucer. Une burne, puis l’autre sont englouties dans sa bouche. Elle essaie de gober les 2 à la fois. Quel bonheur, surtout qu’en même temps je sens un doigt sur mon anus. Marjo le masse savamment afin qu’il se détende, puis elle me l’introduit dans le cul. J’en peux plus, je vais jouir, marjo s’en rend compte et elle reprend ma queue dans sa bouche.

- Vas-y, lâche ta purée.
Je ne peux plus me retenir plus longtemps et je lui envoie 3 jets de sperme qu’elle avale immédiatement.

- Quel régal ! C’est chaud, c’est bon, tu as le meilleur foutre que je connaisse !

Marjo me nettoie avidement le gland recueillant au passage un dernier jet.

On a besoin de reprendre un peu notre souffle tous les 2 (surtout moi) et Marjo s’affale sur le canapé. La petite garce sait ce qu’elle fait : elle écarte largement les cuisses m’offrant une vue imprenable sur sa vulve humide.

Je sens que je rebande déjà un peu. Pour m’exciter encore un peu plus ma jolie nièce se caresse lentement la chatte. Elle titille son clito puis glisse un doigt dans sa fente. Elle écarte ses grandes lèvres, me laissant découvrir ses nymphes roses, fines aux bords ciselés. Qu’elle impudeur ! La vue de son con totalement offert fait encore dresser un peu plus mon braquemart.

- Alors mon tonton chéri, t’en as pas envie de ma petite chatte ? Elle n’attend que toi !

Ces mots indécents me font chavirer.
Puisqu’elle en veut la salope, eh bien elle va en avoir.

Je viens me placer entre ses cuisses et j’enfonce d’un coup violent ma bite en feu dans sa fente largement ouverte. Sa mouille abondante facilite le passage et je n’ai aucun mal à la perforer à fonds. Mes couilles viennent taper contre ses fesses. Je la pilonne furieusement. Marjo est aux anges.
- Ahhh oui, mon chéri, encore plus fort ! Tu me baises bien ! Ouiii encore ! Déchire-moi le con ! Fais-moi jouir ! Putain que c’est bon !

Je n’avais jamais entendu Marjorie parler comme ça. Ces propos vulgaires m’excitent terrible. Je reprends mes coups de boutoirs encore plus violemment. Mon pieu s’enfonce profondément dans son vagin dilaté. Je sors de sa chatte puis la pénètre à nouveau bestialement. Plusieurs fois je recommence, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Chaque pénétration arrache un cri à Marjo.
Je la pilonne, je la défonce, mon braquemart est devenu un marteau piqueur ! Je ne me contrôle plus, j’halète comme une bête mais je continue de la déchirer ;
Marjo est au bord de l’extase. Elle balance son bassin en avant à chaque coup de bite, pour que je la pénètre encore plus profond.
Je sens que je vais jouir. Je m’apprête à sortir de sa caverne pour lâcher ma purée sur ses seins, mais elle me retient dans son ventre :
-Non mon amour, décharge dans mon vagin. Envoie ta sauce dans mon con. Inonde-moi !

Je ne peux plus me retenir et j’envoie 2 longs jets de sperme chaud et bien épais dans sa chatte.

Epuisé, je m’écroule sur le corps de ma jeune maîtresse.
Quelle est belle cette petite salope de nièce. Quelle baise bien !
Je suis épuisé et bien qu’elle en veuille encore, je suis obligé de déclarer forfait…

Ce n’est pas grave parrain, je reviendrai !
Voilà un programme qui me convient, car j’ai encore son petit cul à baiser !

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