Tante Isabelle, Partie 1

Ma tante Isabelle, sur laquelle j’avais fantasmé adolescent malgré les 15 ans qui nous séparaient, avait toujours eu des soucis dans son couple et était en instance de divorce à l’époque de cette histoire. Il m’a semblé plus ou mois comprendre qu’en raison de la libido inexistante de son mari, sa nature amoureuse avaient fini par la pousser dans les bras d’un jeune ouvrier.
Toujours est-il que j’avais accepté avec joie que le fantasme de mon adolescence vienne loger chez moi, le temps qu’elle se retourne. Pour ma part, ça faisait quelques semaines que j’étais à nouveau célibataire, donc il n’y aurait pas de problème de cohabitation avec mon ex.
Nous étions restés en relation téléphonique avec ma tante, mais ça faisait plusieurs années que je ne l’avais revue, ma mère étant fâchée contre elle pour une raison obscure.

Dès que je lui ai ouvert, j’ai reconnu sa silhouette de mannequin des années 50 se découpant dans le soleil printanier. Ses boucles de cheveux jais venaient chatouiller son décolleté sage, mais tendu par une poitrine généreuse. Elle me fit un sourire radieux et m’embrassa sur les joues.

- Mais tu es devenu un grand et beau gaillard, me fit-elle en palpant mon torse.
- Et toi tu es toujours aussi resplendissante Tati
- Ah, arrête, ne m’appelle pas Tati, ça me vieillit. Tu me trouves si vieille que ça ?
- Ah non, c’est sûr que tu sais te maintenir en forme.
- Bon, en tout cas je te suis reconnaissante de m’héberger. Finalement je suis bien contente que ça se finisse avec ton oncle. Je m’ennuyais trop avec lui. Mais parlons d’autre chose. Voyons un peu cette garçonnière.

Après qu’elle eut pris possession des lieux, nous avons dîné sur le pouce et abusé d’un excellent vin qu’elle nous avait apporté. Après un petit bavardage sur les souvenirs familiaux heureux, la fatigue et l’alcool commencèrent à avoir raison d’elle.

- Excuse-moi, je commence à piquer du nez.

Si ça ne te dérange pas je vais faire un brin de toilette et allez me coucher.
- Pas de problème. Tu peux prendre mon lit, j’ai changé les draps.
- Ah, c’est très gentil. Mais toi, tu vas dormir où ?
- Dans le canapé, je serais très bien.
- Ah non, je ne tiens pas à ce que tu tes casses le dos pour moi, d’autant que mon séjour chez toi peut se prolonger. Ecoute, tu dormiras à côté de moi. On est en famille tout de même.
- Bon d’accord Tat… heu, je veux dire Isabelle, bafouillais-je, trop heureux à l’idée de dormir à quelques centimètres de l’incarnation de mon désir d’adolescent.

Satisfaite, elle pris le chemin de la salle de bain où je l’entendis prendre une douche. Quand elle ressorti, je faillis en perdre mon bouquin. Elle avait passé une robe de chambre qui s’échancrait largement sur une nuisette vaporeuse. En prenant appui sur mes cuisses, elle se pencha sur moi pour m’embrasser langoureusement près des lèvres. Quand elle se redressa un peu, tout en gardant ses mains proches de mon aine, je ne pu réprimer un coup d’œil sur la naissance de sa poitrine laiteuse tendant fortement le tissu fin de sa nuisette.

- Eh là ! Tu veux que je t’aide à me dévorer des yeux comme ça ? Me dit -elle en souriant et les yeux dans le vague.

En se redressant complètement, sa robe de chambre s’était ouverte comme par magie. Sa nuisette s’arrêtait haut sur ses jolies cuisses et cachait à peine l’ombre de son sexe. Toute offusquée qu’elle était, elle ne referma pas sa robe de chambre pour autant.
Je ne sais pas si c’était la langueur de son bisou, le musc de son parfum ou la vision de ses fruits gorgés à peine dissimulés, mais une formidable érection commençait à poindre et déformer la toile de mon short. Non sans avoir jeté un regard un peu trouble à mon entre jambe, ma tante s’en retourna vers la chambre en dodelinant ostensiblement de sa magnifique croupe, sans que je n’eu le temps de rajouter quoique ce soit pour ma défense.


Ma propre toilette faite fébrilement, je pénétrai dans la chambre l’esprit encore embué d’idée ueuse. La chambre était baignée par une lumière chaude et tamisée. Ma tante s’était endormie et sous les draps, son corps dessinait un joli paysage. J’ai rapidement compris ce qui tamisait la lumière, habituellement crue. Ma Tante avait déposé une étoffe rouge sur la lampe de chevet. Mon cœur manqua un battement quand je me rendis compte qu’il s’agissait en réalité d’une petite culotte. En m’en approchant, il me sembla y discerner une forte odeur féminine, ce qui m’excita de plus belle. Si elle venait de la porter, c’est qu’elle devait probablement être nue sous sa nuisette. Mon sexe jaillit comme un diable de l’ouverture rapide de mon caleçon, juste à quelques centimètres du visage de ma tante. Je pouvais sentir le souffle doux de sa respiration sur mon gland, qui n’en finissait pas en gagner en turgescence. Un peu anxieux, je regardais Isabelle qui, heureusement, semblait dormir à points fermés. Si celle-ci avait eu les yeux ouverts, elle aurait pu constater que mère nature avait été généreuse avec moi. Mais je n’eu pour toute réflexion de sa part qu’un simple gémissement ente-coupée d’une déglutition. Probablement devait-elle rêver de son ouvrier.

A SUIVRE

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