L'Initiation De Christophe (4)

4.
Mon mobile sonne : c'est Christine. Je n'ai pas eu de nouvelles depuis 15 jours.
Tremblant, je réponds :
«C'est moi. Je vais t'envoyer un texto. Le jour où tu le recevras, tu te présenteras à l'adresse indiquée à 21h30 précise.»
Et elle coupe la communication.
Mon excitation tombe d'un coup. Plusieurs jours passent pendant lesquels je commence à douter. A chaque texto, mon cœur bat la chamade.
«Devant le sauna l'Amphibi.»
Il est 19h! Je plonge sur Internet et trouve l'adresse: c'est à l'autre bout de Paris. J'y vais aussi vite que possible. Il est 21h20 lorsque je me présente devant l'établissement. Personne. Je patiente en me demandant ce qui m'attend. Je commence à bander…
«Entre et dépêches-toi!»
La porte s'est ouverte et Christine se tient dans l'encadrement. Il est 21h30…
J'entre, lumière tamisée, température agréable.
«Suis-moi.»
Christine porte un grand linge blanc autour de son corps superbe. Nous arrivons au vestiaire. Étonnement: ils sont mixtes. Je vois deux hommes et une femme à demi-nus. La femme enroule son linge autour de sa taille, laissant sa poitrine à l'air libre. J'ai juste le temps de voir sa chatte avec un petit triangle de poils…ce qui n'arrange pas mon érection…
Un des hommes sort entièrement nu, son linge sur l'épaule. Je suis assis sur un des bancs et je ne peux pas m'empêcher de mater sa queue lorsqu'il passe devant moi. Bel engin…
Je suis nu et je cherche un linge.
«Ne cherches pas de linge. Tu me suis comme cela…»
Là, je bande dur! Nous descendons des escaliers. Il fait toujours plus sombre. Arrivés presque en bas, Christine se retourne et prend ma queue en bouche… Quelle suceuse exceptionnelle. Elle s'applique longuement, accompagnant sa fellation par un branle lent et régulier…
«Mmmmhh très bonne ta queue. J'adore la sucer. Viens.»
Nous arrivons au milieu du couloir. Christine s'arrête devant une porte ouverte.

Dans la pièce, un grand matelas et une femme. Elle suce, à quatre pattes, avec ferveur la queue d'un homme pendant qu'un autre la lèche, le nez entre ses fesses.
«Regarde comme elle aime ça, cette salope se branle en même temps.»
En effet, la main libre de la femme s'active sur son clitoris. L'homme derrière elle s'approche et je vois distinctement son sexe pénétrer dans le ventre de la femme qui gémit encore plus fort.
«Viens.»
M'arrachant au spectacle, Christine m'entraîne plus loin. Elle pose son linge dévoilant son corps superbe et nous entrons dans le hammam. Il fait très très sombre… Dans la vapeur, nous nous dirigeons à tâtons vers la banquette. Nous sommes assis, Christine à ma gauche. Après quelques secondes, une ombre s'assied à ma droite. Une autre se place debout devant elle et m'approchant, je vois un homme sucer la queue de l'autre. Cette queue est monstrueuse… Mon voisin arrive à peine à gober le gland et branle le manche de 25 cm au moins.
Même si je n'aime pas trop les hommes je ne peux m'empêcher de mater…
C'est alors que je sens la bouche de Christine s'emparer à nouveau de ma queue… Elle me pompe comme une déesse… Je vais bientôt jouir et je le lui dis. Elle s'arrête et me sourit de ce sourire carnassier qui est le sien.
«On dirait que tu es prêt à me baiser ou à m'enculer mon cher Christophe.»
Je tremble d'excitation. Elle sort du hammam et je la suis, direction la douche. Sous la caresse de l'eau chaude, Christine se frotte à moi accentuant encore (si cela est possible) mon érection.
Nous nous séchons et, nue, elle se dirige vers une des alcôves que j'avais vues plus tôt. Elle entre et se met à quatre pattes sur le matelas.
«Viens me baiser avec ta grosse queue. Enfile-moi et défonce-moi profond.»
Je ne me fais pas prier et plantant mon pieu gorgé de sang dans son ventre, je commence à pilonner cette chatte chaude et détrempée. Pendant plusieurs minutes, je me régale des orgasmes à répétition de cette salope.
Elle bouge son cul pour me permettre de l'enfiler plus profond encore. Je profite de ma position pour planter un de mes pouces dans son cul, qui l'accueille sans difficulté. Cette salope doit se faire enculer souvent… Après avoir pris son pied une quantité de fois, Christine me dit:
«Si tu veux te faire mon cul on change de pièce.»
Je sors de sa chatte et elle m'entraîne tout au fond du couloir. La pièce est vide et séparée en son milieu par une vitre épaisse et opaque. Plusieurs trous sont percés dans la vitre. Christine me demande de passer derrière la vitre. Son bras sort d'un des trous, saisi ma queue et l'attire dans le trou.
Immédiatement, elle prend ma queue en bouche et me pompe comme une damnée. Je dois à nouveau l'arrêter.
«Je vais jouir!»
«Mmmhh j'aurais bien envie de te boire mais je te veux dans mon cul d'abord. Je sens alors au bout de ma queue son anus. Je suis collé à la paroi et elle vient se planter sur ma queue jusqu'à la garde.
«Ouiiiii, j'aime ta bite dans mon cul. Encule-moi fort!»
Elle se colle à la paroi et je commence à la limer à fond. Putain que c'est bon! Je lui travaille le cul, alternant coups de boutoir et lenteur… Si bien que je ne peux plus me retenir.
«Je vais jouir!»
«Ouiiii jouis! Remplis-moi le cul!»
Ce que je fais. Je me déverse en criant dans ce trou si accueillant. Je suis collé à la paroi. Tout à coup, celle-ci n'est plus opaque! Et je vois Christine, les doigts plantés dans sa chatte qui me sourit : je viens de jouir dans le cul de l'homme des vestiaires!
Vu le plaisir que je viens de prendre, je sourie (un peu jaune) à Christine pendant que l'homme s'avance, faisant sortir ma queue de son cul. Il me sourit, me remercie et s'en va. Christine vient de mon côté de la vitre et me demande:
«Tu m'en veux ? Désolée mais je n'ai pas pu résister quand le mec m'a demandé de se faire enculer par toi…»
«Non je ne t'en veux pas….»
Elle se penche alors et prend ma queue ramollie dans la bouche.
Avec tout son savoir-faire, elle me fait rebander et m'attire dans une des alcôves. Elle se dispose à 4 pattes et, écartant ses fesses à deux mains, me dit:
«Encule-moi Christophe, défonce-moi le cul, fais-moi payer!»
Je me précipite et d'un coup, d'un seul je plante ma queue dans ce cul offert. Christine commence à crier, gémir, pleurer de jouissance. A un moment, elle se retire, se couche sur le dos, remonte ses jambes sur ses seins, dégageant son cul:
«Encule-moi comme ça! Je veux te voir jouir! Je veux te voir me remplir le cul de ton jus!»
Je la plante à nouveau. Elle att un de ses seins et un de mes tétons et les tire, les pinces, les malaxe en simultanément. C'est trop. Un dernier coup de reins et, criant, je me vide planté à fond dans son cul qui vibre de sa jouissance à elle!
Nous sommes couverts de sueur, vautrés l'un sur l'autre… Péniblement, Christine se relève et je finis couché sur le dos. Elle m'escalade et, posant son anus sur mes lèvres, me dit:
«Lèche ton foutre tu sais qu'il a bon goût…»

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