Un Bon Après Midi

Je suis de passage à Paris et je décide, ayant quelques heures libres, de me rendre dans un ciné porno que j’ai fréquenté autrefois. Il existe toujours, beaucoup ont disparu, laissant place à des cabines, ce que je n’apprécie pas toujours. Celui-là est toujours assez fréquenté. Deux salles, une en bas, l’autre à l’étage, celle que je préfère. Il y a des toilettes dont la lumière a disparu depuis longtemps et où se déroulent les ébats les plus chauds.
Aujourd’hui, entre autres, j’ai envie de sucer des queues et c’est là que j’en trouverai.
Je m’installe à quelques mètres des toilettes, le dos au mur et quand je suis habitué à l’obscurité de la salle, j’observe le va et vient des hommes. Tout de suite l’un d’eux qui était près de la porte me repère et vient se mettre à mes côtés. Du coin de l’œil je le vois se rapprocher de moi. Il entre au contact son pied se pose sur le mien. Je me dégage et me dirige vers les toilettes, j’entre dans la pièce très sombre. Il me suit, me pose la main sur l’épaule puis sur les reins. J’avance la mienne vers son bas ventre et je sens la bosse. Il accepte la caresse et m’entraîne vers le fond, se met face à moi, sort son sexe et me saisissant par le cou m’embrasse. J’ai saisi sa queue déjà gonflée et la tripote. Lui dégrafe ma chemise et ma ceinture et parcourt mon corps de caresses, me pince le bout des seins et me roule des pelles qui n’en finissent pas. J’aime bien sa queue, de bonne taille, dure et tendue, le gland assez prononcé.
Il me glisse à l’oreille:
- Est-ce que tu veux venir chez moi passer un moment?
- Je ne sais pas, peut-être…
- Si, viens, je te caresserai et je te ferai l’amour, viens, tu me plais.
-Tu habites loin?
- Non, c’est à deux pas, viens, insiste-t-il.
Je me décide et nous sortons, Il a une quarantaine, a l’air sympa et ne me déplait pas. En effet, il habite à quelques rues de là. Nous montons par l’ascenseur, il en profite pour me caresser les fesses et m’embrasser.

Nous entrons chez lui. C’est correct. Il me propose un café et me demande pendant ce temps de passer dans la chambre et dans la salle d’eau. « Tu te laves et tu prends un lavement me dit-il, j’aime la propreté ». Je m’exécute et reste nu après, une serviette autour de la taille. Pendant que je bois il passe à la salle de bain, il en ressort nu et m’attire à lui. Il commence à me caresser, m’embrasser, me pincer les seins, me les mordiller. Il guide ma main vers son sexe. Il doit avoir très envie. Il bande très dur, sa queue est grosse, le gland développé. J’aime ce contact, c’est ce que je suis venu chercher. Il me fait asseoir sur le lit, se met devant moi et guide son sexe vers ma bouche. Je l’engloutis immédiatement. C’est bon et chaud. D’abord lentement puis à petit coups je lui donne du plaisir. Il me caresse et imprime le mouvement. Je l’avale de plus en plus profond au bord de la nausée. Il s’affale sur moi et nous roulons sur le lit. Nous restons longtemps à nous caresser mais sans cesse je reviens vers sa queue. « Attends, je t’ai dit que je te ferai l’amour! » Il se vautre sur moi, m’écarte les cuisses, les relève et guide sa queue vers mon anus. C’est d’abord très douloureux. Il att un tube de lubrifiant, m’en enduit le trou et recommence sa pénétration. Je me sens éclater, son gland passe l’anneau puis s’enfonce. Je lui caresse le dos et lui murmure les pires insanités: « oui, prends moi, laboure-moi, je suis ta femelle, ta pute, défonce-moi… »
Cela dure jusqu’au moment où je sens un jet m’inonder l’intérieur et sa queue diminuer et se retirer, alors, je me masturbe comme un fou jusqu’à la jouissance.

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