Une Soirée Resto Ciné Partie 2

Nathalie, impatiente de chevaucher à nouveau ce beau mâle, s’est levé, l’a pris par la main en lui disant :
« Si on allait dans la chambre ce serait plus confortable »
Ils sont montés et moi je leur ai dit que je les rejoignais très vite.
J’avais besoin de passer par la salle de bain et aussi de nettoyer les traces de mon éjaculation sur le sol.
Quand je suis arrivé dans la chambre, ma femme était allongée sur le dos, les jambes bien écartées avec la tête de son amant entre les cuisses.
Elle poussait de grands soupirs sous les assauts de la langue qui s’insinuait à l’intérieur de son intimité.
Elle lui tenait la tête comme pour qu’il la fouille encore plus loin.
Je me suis allongé à côté d’elle pour pouvoir l’embrasser.
Depuis qu’il s’était vidé dans sa bouche au cinéma, nous n’avions pas eu l’occasion de retrouver cette petite intimité ou l’on s’embrassait en se regardant droit dans les yeux et on l’on savait si tout se passait bien l’un et l’autre.
Je voyais à son visage et à son regard qu’elle aimait beaucoup la façon de se déroulait cette soirée.

Notre complicité fait qu’un seul regard suffit pour que l’on se comprenne et que l’on sache si on doit continuer ou pas.

Ma langue dans sa bouche et celle de son amant dans son sexe, elle était au bord de l’extase, elle soupirait de plus en plus vite et de plus en plus fort.
Lui aussi devait le sentir car il essayait de la pénétrer encore plus loin avec sa langue et ses doigts.
Quelques secondes plus tard elle explosait dans sa bouche dans un grand râle de plaisir qui semblait ne pas vouloir s’arrêter.
Il a continué malgré ça à la lécher.
Connaissant bien ma femme je savais que s’il continuait elle pouvait avoir plusieurs orgasmes de suite en très peu de temps.
Je pense qu’il l’a senti aussi car il a réussi à la faire jouir trois fois en cinq minutes rien qu’avec sa langue.

Ensuite Nathalie l’attrapé par les cheveux pour retirer sa tête de son sexe en lui disant :
« Viens me baiser j’ai trop envie de ta bite »
Il s’est relevé, a attrapé une capote qu’il a enfilé, puis s’est allongé sur ma femme en la pénétrant d’un seul coup, il est resté bien au fond d’elle quelques secondes puis a commencé des va et viens lentement.


Il devait être aussi très excité et ne voulait pas jouir trop vite.
De grands soupirs de plaisir s’échappés de la bouche de ma femme à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle.
Elle a enroulé ses jambes et ses bras autour de lui pour mieux le sentir.
Lui a accéléré ses mouvements et leurs bouches se sont rapprochées pour entre mêler leurs langues.
J’étais de nouveau spectateur, frustré mais heureux de voir ma femme se donner autant à cet homme, elle semblait n’avoir aucune retenue, me demandant même parfois s’il elle ne m’oubliait pas un peu dans le feu de l’action.
Ce spectacle m’excitait énormément et mon sexe était de nouveau tout gonflé, je me masturbais un peu en les regardant en prenant soin de ne pas me faire jouir trop vite.
Il la pilonnait de plus en plus fort et Nathalie n’a pas tardé à avoir un nouvel orgasme très bruyant.
J’ai aussitôt arrêté de me branler sachant que si je continuais j’allais jouir moi aussi.
Il est sorti d’elle puis l’a tourné sur le côté en s’installant derrière elle.
Il a pris sa jambe pour bien la relever, elle était ainsi bien écartelée et la vue que j’avais était époustouflante.
Je voyais bien sa grosse bite pénétrer ma femme et s’enfoncer au plus loin en elle.
« Viens la lécher » m’a-t-il dit.
Je me suis allongé à l’inverse d’eux et ai approché ma bouche du sexe de ma femme.
J’ai commencé à lui lécher les lèvres intimes et son clito.
La vue était terriblement excitante, ce gros pieu qui pilonner ma femme juste sous mes yeux.
Ma langue s’égaré parfois sur son chibre et ses couilles.
Mais les va et viens puissant qu’il donnait m’empêchais de bien jouer avec ma langue.
Je me suis résigné sans moindre plaisir à ne m’occuper que du sexe de ma femme.

A chaque nouvelle jouissance de Nathalie, il changeait de position.
Parfois je restais spectateur et parfois je pouvais participer un peu.

Après plus d’une heure de cette baise intense, il a pris ma femme en levrette.

Je me suis glissé sous elle pour aller les lécher en même temps qu’ils s’accouplaient.
Elle en a profité pour prendre mon sexe dans sa bouche.
Je savais qu’avec toute cette excitation et le savoir-faire de ma femme je n’allais pas tarder à exploser.
Il était quand même plus excitant de savoir que j’allais cette fois-ci jouir dans sa bouche et non sur le sol.
Ma langue pouvait cette fois bien s’occuper de leurs deux sexes, je passais des lèvres de ma femme à la bite bien raide de son amant et à ses couilles qui malgré quelques poils n’étaient pas désagréable à gober.
J’essayais d’insinuer ma langue à l’intérieur du sexe de Nathalie en même temps que le dard qui la défonçait.
Je les léchais avec passion et plaisir, si bien qu’a un moment je n’ai plus me retenir et j’ai joui dans la bouche de ma femme qui a tout avalé.
Elle n’a pas tardé non plus à prendre son pied sous les coups de boutoir de son amant du jour qui la pilonnait juste au-dessus de mon visage.
Lui à son tour s’est déversé dans le ventre de ma femme dans un grand grognement bestial.
Je sentais qu’il se vidais par saccade alors que je continuais à lécher son membre et ses couilles.
A peine terminé, il est sorti du sexe de ma femme, a retiré sa capote et a poser sa bite toute gluante sur mon visage en la frottant bien partout comme s’il voulait à mon tour m’imprégner de son odeur de foutre.
« Nettoie » m’a-t-il dit.
J’ai alors enroulé ma langue du mieux que je pouvais pour nettoyer sa bite, la position n’étant pas idéal, j’ai tourné légèrement la tête pour pouvoir bien le prendre en bouche et aspirer toute la crème qu’il restait.

Nous nous sommes allongés tous les trois, Nathalie entre nous deux et tournée vers moi.
Lui s’est collé à elle et l’a enlacé, ne me laissant aucune place si ce n’est que de lui prendre la main et la serrer contre moi.
Peu de temps après nous nous sommes endormis.

Dans la nuit, alors que j’avais la main posée sur une fesse de ma femme qui était allongée sur le ventre, j’ai senti une autre main prendre la mienne et la poser sur un sexe encore en érection.

Instinctivement j’ai enserré ce gros membre et ai commencé à le branler doucement.
De la façon dont il a ensuite tiré sur mon bras, j’ai compris qu’une branlette ne lui suffisait pas.
Je suis donc passé par-dessus ma femme, qui dormait à poings fermés, et me suis retrouvé entre les cuisses du grand brun, ma tête à la hauteur de sa bite.
J’ai alors entrepris une nouvelle fois de lui faire une fellation.
Ma main entourait son sexe en le branlant pendant que je le suçais.
Ma langue s’enroulait autour de son gland que j’aspirais avec délectation.
Je la promenais sur lui depuis la base de ses couilles jusqu’à l’extrémité de son gland.
Je sentais que mes caresses buccales lui faisaient beaucoup d’effet, j’avais l’impression qu’il se lâchait plus que tout à l’heure et ses soupirs de plaisir le confirmaient.
Il me caressait la nuque pour bien m’enfoncer son braquemart dans la gorge.
Je sentais son gland qui secrétait du liquide séminal, ce qui n’était pas pour me déplaire et me faisait redoubler d’effort quant à la qualité de la pipe que je lui faisais.
Je prenais moi aussi beaucoup de plaisir à le sucer ainsi.
J’avais à la fois hâte de le sentir se vider dans ma bouche et à la fois envie que cette fellation dure des heures.
Pendant une bonne demi-heure j’ai joué de ma langue, de ma main et de ma bouche sur son sexe bien raide.
J’ai senti sa respiration s’accélérer, ses mains sont venues bloquer ma tête sur sa queue bien enfoncée dans ma bouche et j’ai senti son sexe gicler par saccade à l’intérieur.
Pour la deuxième fois de la soirée, il avait éjaculé dans ma bouche.
La quantité de sperme était moindre que la première fois mais assez copieuse quand même.
Je me suis régalé à tout avaler et à bien lui nettoyer la bite.

Des bruits de soupirs de plaisir m’ont extirpées de mon sommeil, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu Nathalie allongée sur le côté face à moi qui semblait se faire secouer comme un prunier.

J’ai réalisé que les soupirs venaient d’elle et que ce qui la secouait était l’homme derrière elle qui avec une nouvelle fois planté sa queue dans son intimité et la baisait copieusement.
Décidément c’était à se demander s’il lui arrivait de débander ou s’il était naturellement en érection tout le temps.
Il besognait donc ma femme à nouveau.
Après avoir regardé l’heure, je me suis décidé à me lever car je devais bientôt partir, les laissant forniquer tous les deux.
J’ai quand même laissé la porte de la chambre entre-ouverte ce qui me permettait d’entendre les gémissements et les cris de plaisir de ma femme.
J’ai bu un café, suis passé ensuite à la salle de bain et suis remonté chercher des affaires dans la chambre.
Nathalie était en position de levrette et lui était installé derrière elle en la tenant bien par les hanches pour la défoncer.
Il se parlait en langage très cru tous les deux :
« Tu l’aime ma bite hein salope, sale petite pute je vais bien te bourrer, dit moi que tu l’aime ma queue sale chienne »
« Oh putain oui elle est bonne ta bite, je l’adore, vas-y défonce moi bien salaud, j’adore la sentir bien au fond de moi, c’est trop bon »
Je suis resté les regarder quelques temps puis voyant mon sexe qui commençait à gonfler, j’ai pris mes affaires et suis redescendu dans le salon pour m’habiller.
Peu de temps après j’ai entendu ma femme avoir un bel orgasme et ils sont descendu quelques minutes plus tard.
Nathalie voulait boire un café avec moi avant que je ne parte.
Ils étaient nus tous les deux, lui encore en érection (apparemment il n’avait pas encore joui) et nous avons pris un café tous les trois debout dans la cuisine.
Je suis allé me brosser les dents avant de partir et quand je suis sorti de la salle de bain, il était toujours debout dans la cuisine et ma femme à genou devant lui avec son sexe dans la bouche.
Je pense qu’il voulait bien me faire comprendre qu’il n’en avait pas fini avec elle et que quand je serai parti il allait la baiser encore.
Une fois que je suis parti, je crois qu’il a baiser ma femme dans toutes les positions et dans tous les endroits possibles : sur le canapé, sur la table de la salle à manger, dans l’escalier, dans la douche etc.
Elle a joui encore plusieurs fois et sa vulve commençait à la chauffer tellement il l’avait limé depuis la veille.
Lui a réussi à jouir une dernière fois en la prenant à quatre pattes sur le canapé et en lui claquant les fesses tout en proférant un tas de gros mots à l’encontre de ma femme.

Nathalie l’a déposé à son hôtel en toute fin de matinée, avant de sortir de la voiture il lui a roulé une grosse pelle et ils ont échangés leurs numéros.

Elle est repartie en regardant bien autour espérant que personne de sa connaissance ne l’avait vu emballer cet homme.

Nous avons bien sur reparlé de cette soirée tous les deux avec Nathalie quand je suis revenu le soir et en avons conclu que c’était une super expérience qui nous avait plût à tous les deux et donc que si l’occasion se représentait nous pourrions recommencer.

Le hasard a fait que une fois il est revenu dans le secteur pour une nuit alors que moi j’étais en déplacement en province.
Nathalie m’a demandé si ça ne me gênait pas qu’elle le voit seule, je lui ai évidemment répondu que non, elle pouvait le faire venir à la maison et qu’elle pouvait m’envoyer des photos de leurs ébats, ça me consolerait d’être seul si loin.
J’ai reçu cette nuit-là des dizaines de photos par SMS bardées de commentaire très salace à chacune d’entre-elles :
« Putain je viens à peine d’arriver que ta femme est déjà en train de me sucer »
« Regarde comment je vais encore bien baiser ta femme ce soir le cocu »
« Regarde ta salope comme elle suce bien mon dard »
« Matte mon sperme sur sa langue, elle va encore tout avaler la chienne »
« Tu es encore cocu ce soir et elle aime ça »
« Regarde bien ma bite qui défonce ta salope de femme »
« Écoute la jouir avec ma queue »
« Regarde comme elle prend cher »
Bref je me suis branlé une bonne partie de la nuit à regarder les photos et les vidéos que je recevais au fur et à mesure de leurs ébats.
Jusqu’au petit matin ils ont baisés, si bien que ce jour-là, Nathalie n’est pas allée au boulot se faisant porter malade elle, est restée au lit une bonne partie de la matinée après que son amant l’ai quitté.

Nous n’avons après cela plus jamais eu de nouvelle de lui.
Nous ne connaissons même pas son prénom.

Quant au jeune serveur que Nathalie avait allumé au restaurant, je vous en parlerais dans une autre histoire qui sera posté ultérieurement sous le titre « Le serveur ».

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