La Fille De Mon Rival !

Cela faisait déjà de nombreuses années que je travaillais pour une entreprise du Sud de la France ! Tout se passait à peu-près bien mis à part que je m'entendais moyennement avec l'un de mes supérieurs hiérarchiques ! Et cela n'a pas été en s'arrangeant lorsque j'ai obtenu une promotion me mettant quasiment au même niveau que lui !
A partir de ce moment là, déjà qu'on s'appréciait guère ce fut carrément un sentiment de rivalité qui s'instaura entre nous !
Les coups-bas et les attaques se succédèrent, je lui en voulais énormément et ne le supportais plus !
Fin Juin, la direction organisa une grande soirée afin de fêter le début de l'été et clôturer une bonne-année ; ce jour la fut l'occasion pour de nombreux d'entre nous de faire connaissance avec les conjoints et la famille de la plupart de nos collègues, on passa un très agréable moment dans une ambiance détendue ! Mon " rival " me présenta même à sa très charmante épouse ainsi qu'à sa fille : celle-ci âgée de 18 ans était vachement bandante ! Carole était plutôt grande, mince et élancée, avec un doux visage, des longs cheveux châtains-clairs et sous la finesse de sa robe d'été on devinait une fascinante paire de seins ! Je conversais pas mal avec la ravissante gamine, tout en l'admirant au fil de la discussion je me pensais : ça emmerderai bien son vieux si je baisai sa fille ! C’était la le moyen le plus agréable de me venger de lui ! ! !
Au cours de la soirée je parvins à m'isoler avec Carole : enlacés sur la pelouse on s'embrassait tout en se caressant, rapidement on se retrouva dénudés ... Carole me pompait le nœud, cette salope faisait ça bien ! J'encourageai la poupée à bien tout engloutir ! Puis je pénétrais Carole, la jeune cochonne ondulait sous moi en glapissant de plaisir ; je la fourrais avec rage tout en lui bouffant ses gros nibards de salope ! Déchainé, haineux, j’ordonnais à Carole de se mettre à 4 pattes.

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La fille de mon rival ne protesta pas, agenouillé juste derrière elle, je savourais ma vengeance ! Sa fille était à moi...
Ce jeune corps fin, tendre, fragile et superbe semblait être attiré vers l'avant par la lourdeur de ses fabuleuses mamelles ! Je me mis à sodomiser Carole de toutes mes forces comme un soudard...
Le lundi suivant au bureau, j'eus un sourire assez ironique en saluant son père !

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