Chouchou

Ma voisine (1)
Ma voisine était très svelte et avait une belle taille. Une démarche chancelante qui me faisait rêver et fantasmer. Mais son mari avait un regard sévère et dur qui me faisait garder mes distances. A défaut de l’aborder directement, je me suis souvent posté devant la porte pour la voir passer et peut-être lui dire bonjour.
Nos terrasses étant voisines, j’ai des fois jeté un œil pour la voir penchée sur le linge qu’elle devait souvent laver en plein soleil, un jour sur deux. Mais il y avait aussi sur cette terrasse la chambre de sa belle mère, qui semblait bien veiller au grain de son fils souvent absent.
Tout semblait fait pour que cette femme reste pour moi fantasme pour la vie. Je me disais même qu’elle devait ignorer ma petite existence.
Le jour où elle me demanda si j’avais reçu un salut de sa part, je me suis même masturbé comme un fou en imaginant tous les scénarii possibles jusqu’au jour ou je me suis retrouvé avec elle dans l’épicerie. Elle demanda au commerçant de montrer un produit placé assez haut pour qu’il soit obligé de prendre l’échelle et se retourner. Elle en profita pour poser sa main sur mon sexe en disant fort :
« Voyons donc ce que tu as… et quand elle reçoit le produit de rajouter : j’y tiens, laisse moi le temps de m’arranger, continua-t-elle en retapant sur mon sexe. En sortant, elle me passe discrètement une petite boite de vaseline.
-ça ne calme pas les cœurs, lui murmurai-je une fois dehors
-non, le désir se calme en attendant… je vais trouver comment…
Elle me demanda de monter son panier, et sachant que je serai récompensé à l’arrivée je n’hésite pas, et ce fut un petit baiser sur la bouche. Ce qui me donne l’occasion de fantasmer et de me masturber.
Un soir, en rentrant du lycée, je la trouve devant sa porte. Et dès que je suis dans le garage, elle me tend une feuille de papier me fixant rendez-vous pour un jeudi à 8 h du matin.

J’avais cours à 10 h mais peu m’importait après tant de fantasmes. Notre piaule commune était libre ce matin là et tout s’annonçait bien.
Le jour J, à l’heure fixée, j’étais sur mon vélomoteur et ne voyais passer que des filles très lycéennes. L’une d’elles passa plusieurs fois devant moi avant de venir me dire :
-vous pouvez me déposer s’il vous plait ?
-je te porte sur mes yeux Fatiha, mais embrasse-moi, puisque tu es si bien déguisée, pour parfaire ton déguisement…
Elle me tend sa joue, alors que je prends sa nuque et l’entraîne dans un baiser passionné. La prenant par la fesse, je l’invite à plier sa jambe gauche. Ce qu’elle fait admirablement bien alors que je la sers fort lui faisant sentir mon érection. Elle recule violement et m’ordonne de démarrer…
Sautant derrière moi ; elle passa ses bras sous les miens et se colla à moi comme une adolescente amoureuse. Alors que je mettais la clef dans la serrure de la porte d’entrée, elle s’attaqua à ma braguette et apprécia mon érection. A la manière de certains nouveaux mariés, je la porte pour lui faire franchir le palier et la mène directement sur le lit. Sitôt posée, elle retira pantalon et culotte avant de se couvrir les jambes d’un drap. Sans chercher à comprendre, je la tiens par la nuque et approche ma bouche de la sienne. Elle recule et dit :
-on doit manger d’abord, stp.
-je croyais que la jeune fille ne tenait plus
-je n’ai rien avalé depuis hier, et je veux tout te donner, et tout de toi mon chéri, alors ramène surtout du café et quelques cigarettes pour moi… Sur ces paroles, elle m’embrassa et je la sentis mettre un billet dans la main.
-non, ce n’est pas ça…
-dépêches-toi, je pars avant 13 h, et ramène du chocolat aussi.
Très rapidement, je fais les achats demandés. A mon retour, l’eau est déjà bouillante, les tasses lavées et la piaule bien ordonnée.
Fatiha ne porte qu’une chemise qui couvre à peine ses petites fesses et des pantoufles roses. Elle me demande d’aller dans la chambre où elle me rejoint quelques minutes plus tard avec un plateau soigneusement garni avec le peu de choses que j’avais achetées. Elle avala un gâteau et porta le second à ma bouche en caressant mon cou et mon menton.
Elle découpa une longue baguette de chocolat, qu’elle suça un peu sur toute la longueur avant d’en mettre une extrémité dans sa bouche portant l’autre à la mienne. Elle me fait signe d’aller très lentement tout en déboutonnant lentement ma chemise. Je sens sa main caresser mon torse. Quand nos lèvres se joignirent, je sentis sa langue envahir ma bouche y recherchant le goût du chocolat que la mienne avait bien retrouvé dans la sienne.
Timidement, mes doigts s’aventurèrent à toucher ses petits seins bien fermes à travers la chemise. Elle gémit en aspirant plus encore ma langue. Je déboutonnai doucement son chemisier que je ne pus retirer puisqu’elle était assise dessus.
Elle avait un doigt sur mon nombril alors que son autre main s’accrochait à ma nuque maintenant l’infinité de notre baiser chocolaté. Me relevant un peu, et la relevant par la même occasion, j’en profite pour tirer sur le bas de la chemise qui n’était donc plus bloqué entre ses fesses et le lit. Je pus donc accéder plus librement au reste de son buste et à tout son corps.
Enfin, elle réussit à détacher ma ceinture et le bouton de mon jean sans abandonner cet infini baiser. Elle me poussa en arrière me faisant coucher sur le dos, retira sa chemise et me chevaucha. Je sentis son sexe ruisselant sur mon nombril et ses mains tenter de baisser mon jean. En relevant mes jambes, je réussis à ramener mes vêtements au niveau de mes genoux. Mon sexe alors érigé prit la direction de son homologue. Je serre Fatiha contre moi, ramenant son minou en ébullition au niveau de ma verge qui ne cherche qu’à explorer le fond de l’intimité de cette femme qui, ce matin, n’est plus fantasme, elle est vraiment là.

A l’instant où nos sexes se touchent pour la première fois, je tente de me renverser en l’entraînant avec moi, mais tenant à garder les choses en mains, elle pose ses mains et son poids sur mes avant-bras m’empêchant de me relever. Ses pieds viennent écarter mes cuisses, alors que ma bouche était toujours sous la délicieuse occupation de sa langue investigatrice. A trois reprises, elle me laissa croire en la pénétration si recherchée, et ce n’est qu’à la quatrième qu’elle aspira plus fort ma langue alors que je sentis mon sexe aspiré par la douceur et l’ouverture de cette vulve gourmande.
Quand elle ondula dans tous les sens, je compris qu’elle allait bientôt atteindre l’orgasme… je retenais pour ma part mon éjaculation avec grande attention. Puis tout se passa si vite que je crois notre jouissance commune.
Quand elle libera mes bras, je pose mes mains sur ses fesses pour coller son bassin contre le mien, alors qu’elle abandonna ma bouche pour coller sa joue à la mienne. Elle ronronna longtemps son plaisir en caressant tantôt mes cheveux, tantôt ses petits seins. Puis elle essaya de se relever alors que je serrais toujours ses petites fesses…
-tu aimes tant que ça, alors que c’est tout dégoulinant ?
-depuis le temps que j’en rêve, je voudrais y rester toujours… je n’ai jamais fait l’amour comme ça… je n’ai jamais fait vraiment l’amour, si tu veux…
-je ne te crois pas, sinon pourquoi une piaule petit menteur ?
-pour baiser, mais faire l’amour… je te jure que c’est la première fois…
-mon petit chéri… dit-elle en ondulant du bassin, on se fume une cigarette ?
Dès que je quitte son entrejambe, elle se lève en laissant couler quelques gouttes de sperme entre ses cuisses. J’allume deux cigarettes et lui en tend une. Elle passa rapidement sa langue sur mon indexe avant de la prendre entre ses lèvres.
-tu sais que tu m’étonnes, je n’aurais jamais cru que tu fumais, et ta façon de le faire est si délicate, si élégante…lui dis-je en ramenant ses cheveux derrière son cou, et déposant une bise sur son cou…
-assieds-toi un peu et fume ta cigarette, et essuie ton sexe pour ne pas salir les draps.

Elle en fit de même pour ses jambes et son entrejambe avant de s’approcher de moi, m’invitant à écarter mes jambes. Elle s’assoie coquettement sur ma cuisse et regarde sa montre.
-Nous avons encore deux bonnes heures de plaisir…
-et d’amour ?
-ouiiii mon chéri, dit-elle alors que je happais son sein.
Elle posa son bras sur mon épaule approchant son deuxième sein de moi et caressant l’intérieur de ma cuisse.
-tu ferais tout ce que je veux pour le reste de la matinée ?
-tout ce que tu voudras, mais promets moi de revenir Fatiha.
-marché conclu, alors obéis…
Elle coupa deux baguettes de chocolat et se leva. Elle suça un bout et dessina un cœur sur sa poitrine.
-oh, j’ai raté, efface le chéri stp
A petits coups de langue, et comme un doux petit chaton, je lèche tout le dessin en pelotant son sein droit dont la pointe était bien érigée.
Quand je recule pour regarder mon œuvre, elle embrasse mon front, baisse la tête et dit en soupirant:
-ce n’est pas encore parfait, recommence chéri stp
-dis que tu aimes
-tu m’as promis d’obéir, vas-y dit-elle en tirant doucement ma tête.
-oui, dis-je en continuant
-c’est bon, dit-elle en soupirant de plaisir, alors qu’une contorsion la parcourt en rejetant son buste en arrière.
Alors que je la retiens par les épaules, elle s’attache à mon coup. Alors que je la sers contre moi en caressant son dos, je sens une de ses cuisses s’éloigne de la mienne. Le laisse descendre une main pour la serrer, je comprends qu’elle a mis son pied sur le lit en pliant sa jambe, et écartant donc ses cuisses. Comme elle tente de s’élever un peu, je comprends ce qu’elle attend de moi. Je plie un peu mes genoux, et mon sexe se retrouve au niveau du sien déjà bien humide, alors que je sens ses petites bises sur ma nuque. Un léger mouvement de son bassin ramène son minou tout contre mon gland que je pousse à bien entrer. Une nouvelle contorsion rejette sa tête en arrière alors qu’elle se tien à mon cou, que sa cuisse s’écarte encore et je pousse encore sur mon sexe.
Je la relève en la serrant contre moi, alors qu’elle gémit un peu, je commence un va et vient d’abord lent, puis de plus en plus rapide. Au moment où je la sens jouir, je la sers contre moi en éjaculant. Repliant son cou sur mon épaule, je l’entends dire quelques mots avant de la sentir aspirer mon omoplate.
Un peu plus tard, j’étais assis sur le bord du lit alors qu’elle était couchée près de moi, la tête sur ma cuisse, les jambes repliées et ma main sur sa fesse. Elle serra ma taille, alors que je l’entends pleurer :
-qu’as-tu chérie, tu regrettes ?
-je suis mariée, et tu es mon voisin… il ne fallait pas… et si tu en parles, je serai salie…
-je n’en dirai rien
-tu as déjà dit à Rachida que tu rêvais de moi… que lui diras-tu demain ?
-la même chose, et tu le sauras encore… tu sauras que je rêverai toujours de toi… je t’ai envoyé un message, c’est tout… et comme je te dis que je t’aime et que je te désirerai toujours, je n’aurai plus besoin de messagère…
-même pas quand elle sera dans ton lit ?
-dans mon lit, et pourquoi y serait-elle ?
-arrêtes, ne me dis pas qu’elle ne t’a pas encore eu entre ses jambes, depuis le temps qu’elle le projette… en plus, elle est très sexy cette petite… elle ne doit pas te laisser indifférent…
-pas vraiment, mais je n’y pense pas non plus…
-arrêtes, elle ferait bander un mort, avec ses gestes de gamine.
Moi-même, elle me fait un petit effet, même si je n’ai pas de goût pour les femmes…
-si elle n’était pas vierge…
-elle ne l’est pas, si c’est ton souci.
-on en reparle la prochaine fois.

A suivre

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