De Si Belles Vacances (3)

Vendredi 26

Un sms de Patricia réveilla Claire à 10h. Elles étaient invitées à une sortie en mer, rendez-vous à 12h dans le hall de l’hôtel. Le temps d'avaler un petit déjeuner déposé par le room service, qui s'attendait à son accueil habituel, mais trouva les filles encore endormies, et de préparer un rapide sac à dos et c'était l'heure du départ. Carine et Patricia les attendaient et emmena le petit groupe au port, ou elles grimpèrent sur catamaran flambant neuf. Il était loin le souvenir de la croisière familiale inintéressante !
Celui-ci appartenait une connaissance, qui le louait en saison pour des sorties à la journée. Elles furent accueillies par Joan, une hollandaise, la cinquantaine, qui les guidera pour la journée. Quel chic de sortir du port sur ce bateau ! Joan avait prévue de faire le tour de l'île, une ballade de quatre heures, ou quelques escales pouvaient être organisées. Une fois à l'écart des côtes, c'est naturellement que tout le monde s'installa sur une serviette, sur le pont, contemplant les magnifiques paysages tout en bronzant. Et c'est aussi dans un geste machinal, qui ne l'était pas il y une semaine, qu'Claire retira son haut, pour bronzer topless. Elle rentrera à Nantes avec un bronzage impeccable, sans trace disgracieuse !
La journée se passa ainsi, entre baignade improvisée et longs moments de farniente. A l'arrivée au port, Patricia et Carine insistent pour prolonger la soirée dans un bar voisin, et jusqu'à tard dans la nuit, les filles se laissèrent aller à plusieurs mojitos et autres cocktails maison. A leur arrivée à l'hôtel, sur le coup de deux heures, la soirée dérapa, quant au moment de se coucher, Camille embrassa Claire. Un baiser amoureux, fougueux, qu'Claire ne refusa pas. Elle n'avait pourtant jamais été attirée par les femmes, et Camille non plus d'ailleurs, mais il y avait tellement d'envie dans ce geste... Les deux filles se couchèrent nues, enlacées, sans aucun autre geste déplacée à part le témoignage d'une profonde complicité.



Samedi 27

Et c'est dans cette situation qu’elles se réveillèrent ce samedi matin. Sans bouger, attendirent le room service, qui, pour la seule fois de la semaine était une nouvelle femme, jeune, et très surprise de la situation. Elle déposa son chariot et quitta rapidement la pièce. C'était leur dernier jour sur place et Claire voulait qu'il soit agréable. Elle proposa un tour à la salle de sport, idée à laquelle souscrit Camille, non sans idées derrière la tête... Malheureusement, seules quelques personnes étaient présentes, et aucune ne méritait une attention particulière.
Après avoir contacté Patricia, celle-ci était absente pour la journée, seule Karine était présente, mais occupée avec une partie de sa famille. Seules, les deux amies se décidèrent pour un après-midi à la plage voisine, espérant y rencontrer de nouvelles personnes. Mais personne, non plus... Elles furent bien accostés par plusieurs jeunes hommes, mais rien d’intéressant. Au loin, elles observaient une famille black, et Camille se laissa aller à quelques fantasmes devant la solide anatomie du monsieur. Claire acquiesça, déçue de sa journée. De retour à l'hôtel, elle s'installe dans la partie cinéma, un film en anglais est diffusé, mais ne les convainc nullement. Direction le bar, ou toujours les mêmes personnes sont attablées. Rien d'attrayant non plus. C'est très déçu qu'elles regagnent leur chambre, se disant que ces vacances allaient se terminer en queue de poisson, sans feu d'artifice final.
Camille se dirige vers la douche, laisse glisser son short et son string, retires son haut, le tout sous le regard d'Claire. Claire la trouve belle, ses fesses, ses seins, ses longues jambes, sa peau blanche, tout transpire la sensualité. Cette vision la fait soupirer de dépit. Il fait encore jour, encore chaud. Dehors les équipes d'entretien s'affairent à remettre le lieu en état pour le lendemain. Quatre grands hommes noirs travaillent autour de la piscine, et sans réfléchir, Claire, s'imagina parmi eux.
Camille prenant sa douche, s'était l'occasion de lui faire une belle surprise. Claire sort sur le balcon et attira leur attention. Leurs regards sur elle, elle retira son débardeur et baissa son sort. Les quatre hommes la regardent en soutien-gorge et string les aguicher depuis son balcon. Claire se caresse la poitrine, se retourne, se touche les fesses, elle provoque son fantasme. Ce soir elle se sent soumise. Elle leur fait un petit signe et quelques instants plus tard, ils frappent à sa porte. Toujours en lingerie, Claire ouvrit et se retrouve face à quatre blacks, d'une vingtaine d'années, représentant d'une jeune immigration venue travailler pour les riches touristes européens. Elle les fit avancer, et se mit à genou, totalement soumise à la merci du groupe. C'est ce qu'elle recherche et sans perde de temps, les quatre hommes se déshabillent et entourent la jeune femme. Ils sont tous grands et assez affûtes, à part un un plus fort. Tous ont de gros sexes, gonflés, les couilles bien pendantes. Claire commence à prendre ces chibres en bouche, mais c'est eux qui lui imposent le rythme. Et voilà que Camille sort de la douche et découvre la scène... Complètement surprise et déboussolée, elle est elle aussi de suite entourée par deux hommes qui la pelote sans ménagement. Camille fait du 105E, et ses seins attirent les mains et bientôt les sexes qui glissent entre eux. Les sexes noirs disparaissent entre ses seins, Camille se laisse tripoter pas leurs énormes mains. A l'opposé Claire est maintenant allongée sur le dos, la tête dans le vide sur le bord du canapé, et chacun leur tour, ses amants viennent baiser sa bouche sans ménagement. Ses jambes écartées, son string laisse transparaître son sexe entièrement épilé et très excité. Bientôt un des hommes s'en approche, écarte le tissu et pénètre la belle, qui soupire de plaisir. Elle se laisse faire, prise dans un tourbillon charnel, se concentrant sur le sexe qui s'approche de sa bouche. C'est la première fois qu'elle se baiser par des blacks, le plaisir n'en est que plus fort.
Claire en veux plus et plus fort. Derrière elle, Camille est à son tour baisée et ses soupirs emplissent la pièce. Elle est assise sur un, dos à lui, pendant que le second debout, lui impose son sexe en bouche. Claire est installée à quatre pattes et une longue verge la pénètre facilement. C'est elle qui écarte ses fesses à la vue de tous, et qui prépare son anus à accueillir ces sexes gonflés. Par précaution, elle se lève chercher un peu de gel, car comme elle a habitude de dire « un peu de gel, et ça rentre facile ». Là, le premier homme force un peu l'entrée, mais son gland puis tout son membre sodomise maintenant la française. C'est très gros et très épais, mais Claire ressent le plaisir recherché. La tête enfouie dans l'oreiller, le fessier relevé, elle est offerte à la fougue du groupe. Les quatre hommes l'entoure et l'encule tour à tour, sous les yeux de Camille qui se masturbe vigoureusement. Elle n'avait jamais aimé cette pratique, mais de voir son amie dans cette situation l'excitait au plus haut point. A son tour, elle inséra un doigt, puis deux, puis dans trois dans ses petites fesses. Assise dans son fauteuil, elle déposa un peu de gel, puis un premier homme s'approcha. Il relève ses jambes, la vue est imprenable sur ses magnifiques seins, son pubis garni, son sexe épilé et tout mouillé, et délicatement il insère son gland dans le petit trou de la belle. Celui-ci s'ouvre petit à petit, sous les gémissements de Camille. Au bout de quelques instants, il n'y a plus de retenue à avoir, et, comme Claire, les sodomies s’enchaînent, viriles, profondes et animales. Camille, crie, râle, soupire mais en demande toujours plus. La chaleur dans la pièce est étouffante, l'ambiance est électrique, les quatre africains sont lâchés tels des fauves, mais Camille et Claire guident les ébats. C'est elles qui sifflent la fin du jeu et pendant que Camille se met en retrait du groupe, avant de s'éclipser dans la salle de bains, Claire se place au centre de la pièce et va recevoir va recevoir quatre belles éjacs sur ses seins.
Sa poitrine recouverte de sperme chaud, elle voit les quatre gaillards quitter la pièce, assumant totalement ce moment d'égarement, mais aussi surprise d'elle-même et de son geste.

Dimanche 28

Pour cette dernière matinée, les filles doivent quitter l’hôtel à 11h avant de décoller vers Nantes dans l'après-midi. Mais le réveil est difficile après cette nuit de débauche. Le charmant room service trouve les deux filles encore au lit, mais Camille d'un petit signe le fait approcher. Elle ne veut pas le laisser partir comme ça. Le pauvre jeune homme doit avoir 18 ans, et a subi les jeux érotiques des deux filles toute la semaine. Debout le long du lit, Camille allongée, elle lui baisse son pantalon et boxer. Son sexe est tout raide et Camille d'un geste vraiment sensuel et délicat lui offre une fellation suave. Celle-ci dure quelques minutes, ou la langue de la jeune femme glisse le long du membre, avant de l'avaler en entier. Le roommate, ne bouge pas, se laissant faire comme dans un rêve. Toujours sans mouvements brusques, et d'une douceur étonnante, Camille fait jouir le jeune homme dans sa bouche. Aucune goutte ne s'en échappe et c'est le sexe tout propre que le jeune garçon quitte la pièce, encore dans l'extase du moment vécu.
Pour les deux amies, cela marquait véritablement la fin des vacances, et c'est dans l'avion que le debriefing se fit. Elles avaient passées des vacances mémorables, une parenthèse enchantée, mais qui devait rester entres elles. Elle avait dépassé des tabous, mais la vie quotidienne devait continuer. Sexuellement, Camille avoua avoir pris du plaisir avec d'autres hommes, mais cela devait rester confidentiel. Claire pour sa part, avait découvert une nouvelle facette du sexe, et appréhendais le retour dans son appartement, seule. C'est Camille qui lui souffla un nom qu'Claire allait retenir instantanément : L'orchidée noire...

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