Imprévu À L'Ile Maurice....
Imprévu
.Lors de vacances à lîle Maurice, je découvre enfin les plaisirs du sexe
avec un vrai mâle !
Je suis Mélina, 29 ans, mariée depuis 6 ans avec Paul. Nous navons toujours pas ds et partons chaque hiver pour une destination exotique au soleil. Cet hiver nous avions choisi 10 jours à lIle Maurice dans un très joli petit hôtel de luxe conseillé par des amis.
Malheureusement depuis plusieurs mois Paul me délaissait complètement. Toujours fier en public dexhiber une belle femme sexy mais dune froideur totale dans lintimité. Son seul plaisir semble être de voir les hommes madmirer et tourner autour de moi. Il me pousse toujours à porter des toilettes suggestives qui mettent en valeur mes formes, beaux seins ronds 95D, taille fine, croupe rebondie et appétissante, jambes longues et chevelure brune et bouclée.
Dès notre arrivée à lHôtel Exotica, javais remarqué les illades appuyées et les sourires charmeurs de Pierre, le manager. Paul se régalait de le voir faire et la dailleurs invité à prendre un verre à notre table le deuxième soir. Assis en face de moi, Pierre me dévorait des yeux, le regard plongé dans mon décolleté vertigineux porté sans soutien gorge. A la demande de Paul je ne portais quun string de dentelle noire sous cette robe ultra légère et moulante. Une paire descarpins à très hauts talons venait compléter ma tenue et je sentais sur moi le regard de plusieurs hommes et spécialement celui de Pierre, homme mûr dune cinquantaine dannées dallure très virile avec ses cheveux coupés très courts, son regard bleu vif et ses larges épaules. Il nous apprit quil était veuf depuis 3 ans, toujours seul, quoique enclin à des aventures sexuelles dun soir, et quil avait repris cet hôtel 2 ans auparavant pour commencer une nouvelle vie après ce lourd chagrin.
Paul lui expliqua longuement tous les sports nautiques quil souhaitait pratiquer lors de notre séjour et notamment quil avait réservé une sortie de 48 heures à la pêche au gros en haute mer pour le lendemain.
Je sentis à ce moment là que Pierre redoublait dattention pour moi et il me proposa de ma joindre à sa table avec dautres amis le lendemain soir puisque je serai seule sans Pierre. Je ne lui répondis pas par laffirmative car, en dépit de la froideur de Paul à mon égard jétais toujours très amoureuse de lui et aucunement intéressée par les autres hommes.
De retour dans notre chambre, Paul exultait : « tu as vu comme il ta matée toute la soirée, ah il est chaud bouillant, tu lexcites à fond
Mmmm » Sur ce il est parti prendre une douche, jai aperçu sous le peignoir quil avait une grosse érection
Incroyable, çà le faisait bander dur de voir un homme attiré par moi ! Javoue que tout ceci me troublait aussi car je sentis mon string se mouiller
et mes tétons se raidir sous la caresse de lair frais du soir sur ma robe quasi transparente. Je me suis regardée dans la glace et me suis trouvée effectivement très excitante. Javais vraiment envie que Paul me prenne sauvagement comme au début de notre mariage. Depuis des mois sans sexe, je sentais tout à coup une envie brûlante me dévorer le ventre et la chatte
Jouvris donc la porte de la salle de bains et vis avec stupéfaction Paul en train de caresser longuement sa queue dressée, gonflée et violacée de désir. Il respirait bruyamment et ses halètements devenaient rauques. Cette vision me poussa vers lui avec une chaleur intense dans les reins et la chatte trempée, ouverte. Une envie de sa queue en moi me déchirait. Il me cria « Ne me touches pas ! » et dans un feulement bestial il déchargea sa queue énorme de plusieurs giclées de sperme épais. La v
iolence de léjaculation fut telle que ma poitrine fut généreusement arrosée
Le regardant dans les yeux, je badigeonnais mes doigts de son sperme et, soulevant ma robe et écartant mon string je commençais une langoureuse et sensuelle masturbation de mon clito gonflé avec son sperme
.Mmmmmm
.. après des mois de frustration sexuelle, cette caresse fut exceptionnelle et rapidement je parvins à un orgasme violent qui me fit crier de plaisir.
Il se mit au lit dans lun des grands lits jumeaux et sendormit rapidement. Ce qui ne fut pas mon cas, car javais lesprit perturbé par sa révélation et je me demandais si finalement je ne ferai pas bien daccepter linvitation à dîner de Pierre plutôt que de rester seule en labsence de Paul en mer
.
Le lendemain matin Paul partit avant mon réveil et je trouvais un mot griffonné de sa main au milieu des sous vêtements : « Mélina, noublies pas dêtre très sexy ce soir au dîner de Pierre
Je te demande de ne pas porter de sous vêtements
Je nose pas encore imaginer la suite de la soirée
.mais jentrevois ta croupe offerte à ses coups de queue virils
»
Cette pensée me troubla et maccompagna toute la journée. Sur le bord de la piscine, vêtue dun minimal string fuschia, je menduisais de crème solaire avec une main sensuelle et mabandonnais au plaisir de mes doigts sur mes seins quand, soudain, une voix dhomme derrière moi me proposa « Voulez-vous que je vous mette de la crème dans le dos ? » Je me retournai pour voir un très bel homme noir dune trentaine dannées, avec un large sourire et un maillot de bains noir moulant sa superbe queue au repos et une belle paire de couilles dune taille impressionnante. Je sentis mes tétons se durcir en regardant cette belle virilité aussi suggestivement présentée. Il insista « Alors, cest oui ou cest non ?? » Dune voix blanche je lui répondis Oui. Ses mains sur mon corps me firent frissonner et il me glissa au creux de loreille dune voix caressante : « Je vois que je vous fais de leffet
Mmmmm ». Il continua son massage en insistant sur ma croupe et en sinsinuant discrètement le long de la ficelle du string « Mais vous mouillez, ma parole
.
Mais bien évidemment il nen fit rien, referma le tube de crème et me dit «Voilà, beauté ! ». il séloigna rapidement et ne réapparut pas au bord de la piscine, me laissant là avec le ventre assailli de désir et denvie de sexe hot.
Au bout dune demi-heure je retournais dans notre suite au dernier étage et me retrouvais en paréo dans lascenseur. Au 2e étage lascenseur sarrêta et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis entrer mon séducteur noir pieds nus et vêtu dun large bermuda de lin blanc. Un frisson me secoua de la tête aux pieds. Mais il resta loin de moi, sans mot dire et sortit comme moi au dernier étage. Je marchai devant lui dans le couloir, ondulant des hanches sur mes mules à hauts talons en songeant quil devait bander dans son large bermuda blanc. Cette pensée me troublait au point que je stoppai net dans le couloir et me jetai à genoux devant lui. Dune main preste je fis glisser son bermuda et révélai son énorme queue fièrement dressée devant lui. Avant quil ait eu temps de réagir ma main droite sen était saisie et ma main gauche caressait ses couilles. Ma bouche gourmande sapprochant en frémissant de son gland tendu au maximum
.Mmmmmm
.il soupira longuement en sentant ma langue effleurer son gland puis ma bouche laspirer sensuellement. Puis il se ressaisit : »Pas ici ! » et se dégagea rapidement. Je lentraînai dans ma suite. Il arracha mon paréo et me plaqua contre la porte juste refermée. Ses mains broyaient mes tétons, sa queue se frottait violemment contre mon ventre et sa bouche dévorait la mienne. Dun grand coup de genou, il écarta mes cuisses et me prit les jambes dans ses mains. Il souleva ma croupe de manière à présenter sa queue contre ma chatte trempée.
Il navait pas lintention de cesser
. Il me transporta sur le lit, minstalla en levrette sur le bord du lit et commença à me malaxer violemment la croupe puis à la fesser jusquà ce quelles me cuisent. Je pouvais voir dans le grand miroir quil me fessait dune main et que de lautre il se caressait langoureusement la queue. Cette vision exacerba encore mon désir et je lui chuchotai « Prends-moi maintenant, tout de suite ! » et je cambrai ma croupe au maximum et faisais onduler mes hanches devant ses yeux. Il caressa longuement ma chatte trempée et mon anus quil titillait dun puis plusieurs doigts et sans prévenir y plaça son gland énorme et donna une violente poussée qui me fit hurler. La douleur était telle que jeus le souffle coupé, mais peu à peu je sentis sa queue me ramoner doucement puis plus fort et le plaisir menvahit et jaccordais le mouvement de ma croupe à ceux de sa queue majestueuse. Il râlait dans mon dos, je gémissais sous ses coups de reins répétés et qui se faisaient plus rapprochés et profonds. Jamais je navais connu une telle sodomie, javais oublié Paul, mon mari et me laissais aller dans une sexualité bestiale qui me ravageait de plaisir. Jeus un nouvel orgasme, encore plus violent que le premier et mon mâle retira alors son membre viril pour décharger ses jets de sperme brûlant sur mes reins. Il sy frotta longuement la queue en marmonnant entre ses dents : « Quelle salope tu es, une vraie traînée comme je les aime qui se fait sauter par un black quand son mari est parti
On se reverra très bientôt » Et il me quitta avec une claque sonore sur ma croupe...
Je ne savais rien de lui, ni lui de moi mais je n'avais qu'une envie : le revoir au plus vite et continuer nos ébats.....
(Suite à venir....)
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