Au Septième Ciel Sans Escale

Je m'appelle bélinda, j'ai 24 ans et je vis chez mes parents.
Mon petit ami et moi aimons bien faire l'amour dans des parties de la maison où tout le monde risque de nous surprendre (cela donne du piment à nos amourettes).

Un après midi alors que je croyais être seule à la maison, j’y invitai mon jules qui est très vite arrivé comme s'il n'attendait que ça. Je mis le crochet du portail.
Nous nous sommes embrassés près de la piscine en nous déshabillant puis je lui ai fait une pipe sans qu'il n'éjacule.
Son sexe était très raide quand il me demanda que nous nous rendions sur la terrasse.
A peine arrivés, il me culbuta et me pris par derrière pendant un bon moment et puis, comme s'il ne nous sentait pas assez exposés, me fit marcher jusqu'au portail.
Bien sur il était fermé et là, mon mec toujours derrière moi continua de me labourer la chatte.
J'avais joui deux fois je crois quand mon jules entrepris d'ouvrir le crochet qui verrouillait le portail...
Il le fit si vite que je ne réalisais qu’après coup. C’était le seul élément de protection entre nous et l’extérieur. N’importe quel habitant de la maison (le boy, mon petit frère, ma mère et mon beau-père) n’aurait qu’à pousser pour nous voir à poil...on n'avait jamais été aussi loin !
Il me coucha sur le dos, à terre les jambes vers la porte et s'allongea sur moi. J’avais peur mais je mouillais un max. il me pénétra, me fit l’amour comme jamais il ne l’a fait et ne mis pas longtemps à répandre en moi son sperme chaud qui m’inonda.
Après quoi, nous nous relevâmes puis une fois sur la terrasse, j’allai chercher nos affaires près de la piscine.
C’est en revenant que j’entendis mon beau-père m’appeler ; je n’en revenais pas...
il était dans la maison et maintenant il semblait se diriger vers la terrasse.
Mon copain fila vers moi pendant que j’enfilais ma jupe et mon polo. Il fini à peine de s’habiller quand mon beau-père apparu sur la terrasse :
« Ah, tu es là ? » dit il, puis il salua mon ami qui répondit en bégayant.


"Je raccompagne G..." lançai-je en poussant mon petit cœur vers la sortie.

Nous sommes restés une bonne demi-heure en semble à rigoler de ce qui venait de nous rater puis je rentrai. Il était 16 heures.
Une fois dans la maison, j’entrepris de faire le moins de bruits possible me disant qu’après tout, mon beau-père avait peut- être vu quelque chose.
Il ne m’entendit donc pas arriver à la porte du salon et c’est là que je m’arrêta net.
Il me tournait le dos, assis sur une chaise entrain de se masturber.
Je tombais des nues, puis je me suis dite que je me trompais. Alors je me suis approchée encore de lui toujours sans faire de bruits.
Là, je vis bien qu’il tenait sa bite et se masturbait rapidement.
Cela déclencha une envie très forte en moi tout en craignant qu’il se retourne et me voie.
Je n’eu pas le temps de rebrousser chemin, quelques secondes plus tard il éjacula à ses pieds en poussant des gémissements rauques.

Il rangeai sa queue dans son pantalon quand je fis mine de n’arriver que maintenant en traînant les pieds rapidement vers lui...
Il n’eut pas le temps de camoufler les gouttes de sperme sur le tapis et m’a regarda, je fixai un moment ses yeux puis baissa les miens vers les gouttes sur le tapis.
Il fit quelques pas sur le coté et buta sur le divan dans lequel il s’affala.
Mon cœur battait à se rompre mais pas de peur, juste une envie folle.
Je lui tournai donc le dos et m’abaissa comme pour vérifier ce qu’il y avait par terre.
En fait, ma jupe était très courte et comme je n’avais rien d’autre en dessous je savais qu’il voyait mes fesses nues. Quand je me relevai, une belle bosse gonflait sa braguette. Je le fixai une fois encore puis le laissa là pour revenir avec une chiffon sec.
Je m’abaissai de nouveau vers les taches sur le tapis en lui tournant le dos et j’entendis sa fermeture éclaire. Mon cœur battait très fort mais je gardai la position.

Il s’enfonça en moi avec délicatesse comme pour savourer le moment puis entrepris un va-et-vient sublime en me tenant la croupe.
Il se déversa en moi pendant que je grimpai au septième ciel sans escale.
Quand il se retira, il voulu ranger sa verge mais je m’étais déjà retournée et je la pris dans ma bouche. Quelques minutes plus tard, il éjacula dans mon cou, sur mon polo et sur le visage.

Il me demanda pardon en voulant me faire promettre de ne rien dire ; je lui répondis par un sourire...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!