Première Pipe

Première expérience

Je pose mes affaires sur le lit que je vais occuper pendant mon premier petit boulot d'été et je sors découvrir les alentours.
A quelques centaines de mètres de là, des voitures et des camions viennent se garer sur le parking d'un restaurant ouvrier, à la sortie du bourg.
Descendu d'un camion et voulant sans doute se dégourdir les jambes, le chauffeur vient pisser dans les herbes hautes et les broussailles qui bordent le parking. Il me voit et, sans doute par provocation, se tourne davantage face à moi. Complètement scotché par son audace et son sans-gêne, un coup de chaud me traverse le corps, je bande immédiatement tellement la vue de son sexe est une aubaine pour moi.

Il la secoue pour évacuer les dernières gouttes et me fait un signe de la tête pour le rejoindre.
Personne ici ne me connaît et toutes mes peurs sont complètement évaporées. Je regarde autour de moi par réflexe…et je le rejoins.

Le routier ou le livreur, je ne sais pas, se dirige vers l'avant d'un camion, peut être le sien, garé à proximité, un endroit ou la cabine est presque sous les arbres et aussi au bord de la végétation mal entretenue, laissée à l'état naturel. L'endroit est tranquille, à l'abri des regards. Quelques papiers et emballages carrés trainent au sol, qui en disent long sur ce qu'il doit se passer ici.
Nous n'avons pas échangé un seul mot mais je sais, par instinct, ce qu'il attend de moi et je sais moi aussi ce que j'aimerais lui faire... lui sucer la queue.

J'aurais aimé sucer un jeune de mon âge, certains n'auraient pas refusé mais là, c'est encore mieux: un parfait inconnu, sans risque d'embrouilles. De plus, un homme expérimenté, un mec balèze, sûrement avec les couilles pleines.
Adossé contre l'avant de la cabine du camion, les fesses au niveau du pare chocs, il baisse son short large pour être à l'aise. Il n'y a aucun doute sur ce qu'il attend de moi.


D'instinct, je suis devant lui et m'agenouille, comme une évidence.
Je regarde, ébloui, cette bite face à moi, aussi grosse que la mienne lorsque je bande et j'admire ses couilles énormes. Je ne pensais pas qu'on pouvait avoir une paire si lourdes et aussi volumineuses. D'ailleurs, je dois l'avouer, depuis, j'ai vu peu d'hommes avec une si grosse paire de couilles.

Le chauffeur, environ cinquante ans, une corpulence imposante, me plait bien. Je dirais même que j'adore ce genre de mec, lourd, viril, très mâle. Complètement débraillé, des cuisses énormes et poilues, le sexe offert, il remonte son teeshirt et laisse apparaître son ventre archi poilu. J'ai trop envie de le sucer. Il correspond parfaitement au genre d'homme qui me fait bander. Pourquoi les hommes plus âgés m'ont toujours attiré, c'est un mystère. Cette attirance ne s'est d'ailleurs jamais démentie depuis.

A-t-il peur que j'hésite, il me saisit la nuque et m'approche la tête de sa queue.
Une odeur musquée et forte se dégage de l'ensemble mais je suppose que c'est normal, c'est un homme, un mec viril, un vrai mâle. Il ne sent pas le mec crado, il sent le sexe.

Je n'hésite pas, ne me pose pas de question. Je renifle un petit goût d'urine, normal il vient de pisser mais mon envie de lui sucer la bite est trop forte pour m'attarder sur ce détail. Cette odeur de fauve qu'il dégage me rend dingue, me grise complètement.
Je suis un peu surpris qu'il ait une bite à la peau plus foncé que son corps, sans doute hâlée par l'usage, à force de bourrer des chattes, des bouches ou des culs, je ne sais pas.

Mes lèvres se referment sur sa queue, la sensation est extraordinaire: c'est chaud, c'est doux, c'est vivant. Je suis raide et me tâte maladroitement la queue au travers de mon bermuda … J'ai même pas eu le temps de sortir mon sexe, tout est allé trop vite.
Sa bite durcit et cela me rend fier. Pour ma première fellation, j'ai pas une quéquette mais un beau boudin à faire juter, je suis aux anges.
Le routier prend sa bite en main et la décalotte complètement et, tant mieux pour moi, la longueur n'augmente pas. Puis il me l'envoie au fond de la bouche, au maximum de ses possibilités.
Le nez dans son pubis, je sens ses grosses couilles contre mon menton. Sa queue est courte mais sacrément épaisse. Maintenant au plein de ma bouche, bien raide, faudrait pas qu'elle gonfle davantage.

Il me saisit la tête et commence des va-et-vient, comme s'il me baisait la bouche. Je suis à la limite de jouir tellement la situation me plait.
J'ai tant regardé de pornos ou les mecs prenaient du plaisir à sucer, tant rêvé de faire pareil.
Il comprend que je le fais avec gourmandise et me laisse caresser ses grosses couilles. Je salive un maximum son manche et mes lèvres coulissent et astique.
J'évite que mes dents lui grattent la tige ( qui est devenue très dure) car je suppose qu'il ne va pas aimer. Ouvrir grand la bouche demande un certain art, ma mâchoire devient douloureuse mais rien ne va m'arrêter.

De plus en plus excité, je me lance à lui faire des gorges profondes. Ma langue passe sur son gros gland comme pour le caresser… ma main qui peine à faire le tour de ce manche d'homme s'active à le branler mais, d'une pression de sa grosse paluche, il me fait comprendre que c'est la douce chaleur de ma bouche qu'il veut et il m'embroche sans façon, me laissant à peine respirer.

De temps en temps je l'entends grommeler " Ah putain "

Je m'active à le satisfaire, prenant de plus en plus de plaisir à cette pipe. Son manche est maintenant dur comme du bois et le gland gonflé, tendu à l'excès, suintant son miellat en abondance.

Son bassin se tend vers moi, ses jambes s'écartent encore plus pour profiter. Il replace fermement sa main derrière ma nuque et gémit. Sans prévenir, il jouit et me gave de son sperme.
Une giclée chaude et gluante vient me tapisser le palais puis je sens un déferlement de foutre me remplir la bouche.
Le mec, il crache tout ce qu'il a dans les couilles
Quel homme, quel mâle. Ma bouche est pleine, gluante et il continue de cracher. Il finit par lâcher la pression de sa main et s'assure que j'ai récolté toute sa copieuse ration. Le goût est salé, fort, un peu sucré aussi, et la consistance visqueuse, épaisse, vraiment très particulière mais je veux aller jusqu'au bout de mon délire et j'avale tout sans le moindre dégoût. Je dirais même que j'en tire une certaine fierté tellement le moment me plait.
Avec deux doigts il saisit son manche et arrive encore à extraire, à faire son gros gland dégueuler deux dernières gouttes de son nectar et me les présente à lécher puis m'oblige à lui nettoyer le bambou.
C'est pour moi le bonheur absolu…un mec m'a jouit dans la bouche, j'ai réussi à faire juter un homme en le suçant. Et le mec qui en avait plein les couilles.

A peine fini de juter, le routier retire sa queue, remonte son short trop grand pour lui et me lance "Salut" ….puis se taille vers le restaurant.

Je reste interloqué. Bien sûr je suis très content du moment que je viens de vivre mais il y manque la délicatesse et le tact. J'aurais aimé un mot agréable, quelque chose de sympa, un petit commentaire.
Il aurait pu me branler, se demander si je voulais jouir moi aussi.

Cette première relation m'a à la fois rendu heureux et aussi frustré. Je ne suis pas vexé, je suis très satisfait, j'en avais trop envie; il y a simplement un manque.

J'essuie ma bouche encore engluée du sperme du chauffeur routier lorsque j'entends une branche morte craquer pas loin de moi….

A suivre



Caramel35

Première découverte, sans filet de sécurité…
Vous savez bien, les normes ont changé…chapeau, capote, préservatif…le nom que vous voulez…
Merci pour vos mails et commentaires.




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