L'Ascenceur

Je la croisais tous les jours dans l’ascenseur. Elle était toujours tirée à quatre épingles :
tailleur stricte, chemisier sage, collants noirs, escarpins à talons coordonnés, à peine de
maquillage et une queue de cheval très proprement faite. L’archétype de la femme
d’affaire, sérieuse et bosseuse. Nous nous disions bonjour, nos regards se croisaient et
j’essayais de ne pas trop lui montrer qu’elle me faisait un certain effet. Elle descendait au
quinzième. Je montais au dix-huitième.

Il était dans les vingt heures, quand l’ascenseur s’arrêta au quinzième et qu’elle y monta.
Nous nous sourîmes et nous souhaitâmes une bonne soirée. Nous passions le dixième
étage, quand elle appuya sur le bouton Stop, se tourna vers moi et me roula une énorme
pelle. La surprise me figea et je me réveillais de mon trouble alors qu’elle faisait glisser
ma braguette pour sortir ma queue de mon boxer. Elle s’accroupit et se mit à me sucer
pour me faire durcir. En quelques secondes, j’étais au garde-à-vous.

Elle releva alors sa jupe. Elle n’avait pas de culotte et ses collants se révélèrent être des
bas, tenus par un porte-jarretelle en dentelle rouge. Elle sortit de son sac à main une
capote, en déchira l’enveloppe avec les dents, la déroula sur mon sexe, souleva une
jambe et s’empala sur ma queue, tout en m’embrassant. Je la baisais avec ardeur,
revenant complètement de ma surprise. Sa chatte était humide et étroite. Je frappais le
fond de son vagin à chaque mouvement, ce qui lui arrachait un cri de surprise.

Elle se retira soudain, se retourna, fit face à la glace du fond de l’ascenseur et y posa ses
mains, jupe complètement relevée, son cul et sa chatte offerts. Elle me regardait droit dans
les yeux. Personne n’avait besoin de m’expliquer ce que je devais faire. Je lui saisi la taille
et la pénétrais avec une joie immense.

Je lui besognais la chatte avec une quasi violence.
Elle m’accompagnait en poussant son cul vers ma bite à chaque aller-retour.

Elle hurlait. A la mouille qui me coulait sur la queue et le pantalon, j’avais l’impression
qu’elle jouissait en continue. Je n’en étais moi-même pas loin. Elle dut le sentir, car elle
éjecta ma queue, se retourna, s’accroupit, arracha le préservatif et m’aspira. En quelques
coups de langue, le sperme monta dans ma queue et j’éjaculais au fond de sa gorge. Elle
creusait les joues pour mieux pomper mon jus. Elle branlait la base de ma queue pour me
rincer les bourses. Elle continuait à me vider pendant que ma queue ramollissait.

Elle me lâcha la queue, se remit debout, appuya sur le bouton Stop, lissa sa jupe, se lécha
les lèvres et se regarda dans la glace pour remettre de l’ordre dans sa chevelure. Elle
remettait une mèche alors que les portes de l’ascenseur s’ouvraient au rez-de-chaussée.
Elle tourna sur ses talons, me fit un clin d’œil en tournant la tête et sortit en me disant
merci et à demain. Nous n’avions pas échangé un mot et notre partie de baise n’avait pas
duré plus de cinq minutes, mais j’étais rincé. Je sortais à mon tour de l’ascenseur et me
dirigeais vers le parking.

Assis dans ma voiture, je repassais les images dans ma tête et ma queue se remit à
durcir. Demain était un autre jour me dis-je en tournant le contact.

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