La Rencontre Par Internet 1

Après quelques mois de conversations sur le net, nous nous sommes tout de même décidés pour se voir. Mes parents avaient décidé de partir en voyage à Bordeaux pour acheter du vin. Cela tombait à pic ! Ils partaient pour 5 jours. J’ai donc décidé de te faire la surprise. Un ami à moi, fort en informatique, a fait des recherches sur le net pour me trouver ton adresse. J’ai du lui payer le resto pour le remercier ! Mes parents sont donc partis le vendredi dans la nuit, en voiture. J’avais déjà acheté les billets de train. Je suis parti de chez moi le samedi matin. Je trouve le voyage très long, j’ai si peur de te ne pas te plaire et d’arriver au mauvais moment. J’ai des douleurs au ventre à cause du stress. Arrivé à Bordeaux, je me mets en route vers ton appartement. Il n’est que 16H00. J’ai le temps, je souhaite te faire la surprise pour le début de la soirée. Arrivée près de ton bâtiment, je marche dans la rue, en faisant attention de ne pas aller trop loin pour ne pas me perdre. Il fait si chaud. Je m’assois à la terrasse d’un pub, me commande trois ou quatre mojitos et fume clop sur clop en me posant une tonne de questions. Avec cette chaleur, ma tête commence à tourner légèrement. De toute façon, il est l’heure de te rejoindre, dans les environs de 22H00. J’ai si peur que tu ne sois pas rentré chez toi. Je paye l’addition et me rend aux toilettes. Je retire mon soutien-gorge et mon débardeur, pour enfiler à la place, un bustier noir et rouge, en dentelles, ensuite j’échange mon jean contre une mini jupe noire, en sky, puis j’enfile des bas résilles et échange mes baskets contre des bottes noires montantes, en cuir. J’enfile sur mes épaules un manteau de printemps, léger, qui cache mon bustier. Je range mes affaires dans ma petite valise et sorts de ce pub. En partant, je sens des regards posés sur mes résilles et ma jupe, je n’ose pas les regarder, je suis rouge de honte.
Je monte les escaliers de ton immeuble, j’arrive devant ta porte et sonne.

Pas de réponses. Je réessaye plusieurs fois, toujours personne. Alors, je vais voir le concierge, je lui dis que je suis une amie à toi et que je repasserais plus tard dans la soirée, je lui demande donc si je peux poser ma valise chez lui. Puis, je repars sur la terrasse du pub. Et j’enchaine mojitos sur mojitos. Ma tête commence à sérieusement tourner. Je regarde l’heure sur mon portable. Cela fait des heures que je suis assise ici. Il est déjà 3H30 du matin. J’entreprends donc de réessayer de sonner chez toi. Je crois que j’ai un peu abusé de ta sonnette, plusieurs coups retentissent. Tu ouvres la porte à grande volée, tu as l’air énervé. Tu as la tête de quelqu’un qu’on vient tout juste de réveiller, habillé seulement d’un caleçon. Je suis appuyée contre le battant de la porte, les joues rouges et un le manteau ouvert sur le bustier. J’ai du mal à rester droite, je gigote d’un pied à l’autre et tangue légèrement d’avant en arrière. Je te demande si je suis bien chez Séb. Tu me réponds par la positive. Et là, seulement, je me détends et souris. Je faillis tomber en arrière dans les marches, tu me ratts par la main. Tu souris aussi. Tu es magnifique. La vision de ton corps aussi nu, me donne une envie brûlante qui me dévore le ventre et le sexe. Depuis tant de mois que je n’ai pas fait l’amour … Tu me dévisages, tu n’as pas l’air méchant. J’ose demander :
-« Je peux entrer ? »
Tu me demandes qui je suis.
-« Morgane ! »
Tu ouvres des yeux ronds, tu t’approches de moi, l’air étonné. Tu allumes la lumière dans le sas. J’approche ma bouche de la tienne. Tu me repousses. A ce moment, je suis vexée. Tu me regardes longuement et souris. Et cette fois, c’est toi qui approches ta bouche de la mienne. Tu enlaces tes bras autour de mon coup, tu me fais pivoter, tu fermes ta porte d’entrée avec ton pied et me plaques contre le mur du sas. Je sens ton souffle chaud sur mes lèvres. C’est enivrant. Sans parler de l’effet de l’alcool que j’ai ingurgité toute la soirée.
D’un coup, je me rappelai de ma valise, je te repoussais gentiment en plaquant mes mains contre ton torse si doux. Il fallait que j’aille chercher ma valise. Tu fis la mou, m’embrassas de nouveau et m’ouvris la porte d’entrée. Je descendis les marches mal assurée, je sentais tes yeux posés sur mon dos, je loupais une marche et trébuchais, je suis sure que tu rigolais ! Je frappais à la porte du concierge, m’excusais pour l’heure si tardive, récupérais ma valise et le remerciais. Je remontais les marches doucement, en m’aidant de la rambarde, cette fois-ci pour ne pas tomber. Tu vins m’aider à porter ma valise, tu traversas le sas pour te rendre vers ta chambre à coucher et tu posas mes affaires d’un geste désinvolte. Tu retiras mon manteau, le laissa tomber à terre. Nous nous embrassons de nouveaux, tout en déviant vers ton mur. Cette fois-ci, c’est moi qui te plaquais dessus. Ma main gauche était accrochée à ton cou et ma main droite caressait ton torse nu ou ton dos. Tes mains étaient posées délicatement sur mes hanches, se baladaient sur mes fesses et mes reins. Nos bouches s’entremêlaient toujours. Je jouais avec ma langue, la faisant glisser sur tes lèvres inférieurs, puis la remontait sur tes lèvres supérieurs, puis je l’introduisais dans ta bouche, et là, nos langues jouaient, je te caressais le palais, te mordillais de temps à autre les lèvres. Je fis glisser ma main droite sous ton caleçon, tu étais un petit peu excité. J’entrepris de te masturber. Ma bouche descendit sur ton cou, je soufflais mon souffle au niveau de ton oreille ou en dessous, je passais ma langue sur ton lobe, le mordillais aussi, je jouais avec mes lèvres et ma langue sur ta peau. Je descendis, t’embrassais la clavicule, les pectoraux, les tétons, le haut du ventre, ton nombril, je remontais à ton coup en faisant glisser ma langue. Et je recommençais, je redescendais à ton nombril. Pour continuer à descendre, j’embrassais et lécher tendrement le bas de ton ventre. J’arrivais à ton gland.
Je te masturbais toujours et caressais tes couilles. Je passais de petits coups de langue sur ton gland, puis je commençais à le sucer comme une sucette, il commençait à enfler. Je fis descendre ma langue sur ta verge de haut en bas, tu rentras ton sexe en entier dans ma bouche, tu fis des vas et viens. Tu atts un de mes doigts et le lèche goulûment. Je te l’introduis donc au bord de ton anus, ce qui a pour effet de te faire reculer ton beau cul sur mon doigt. Je pris tes mains et les descendis pour les poser derrière ma tête, pour que ce soit toi qui ordonne la cadence. Je te caresse les couilles en même temps. Je suis très excitée. Tu appuie sur ma tête, me tire les cheveux même, tu respire bruyamment et tes halètements deviennent rauque. Je sens que ça vient. Là, j’essaye donc de me retirer. Mais tu me tiens fermement la tête, il n’y a pas d’issues, je vais être obligé d’avaler. Je sens que ça monte et là tu craches ton sperme dans ma bouche. C’est tout chaud et tu restes à l’intérieur jusqu’à la dernière goutte. Tu retires enfin tes mains et je me retire de ton sexe. Tu me ratt les cheveux et m’ordonnes de te lécher le gland pour qu’il ne reste plus une goutte et pour te nettoyer. Je le fais sans rien dire. Tu finis par des caresses dans mes cheveux, je suis apaisée.

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