La Maison D'Hôtes 04 Le Cadeau Pk

La maison d'hôtes 04
Le cadeau PK

C'est là que ça se complique cette histoire ...

...

Je me sentais bien, j'étais plus puceau !

Pour ce qui est de Baptiste, c'était pas nouveau, pour lui c'était pas une première. On est resté là, sans bouger pendant un long, un très long moment. Il n'y avait personne à la maison, on ne serait pas dérangé.

Bien plus tard donc, on se relevait et on se dirigeait vers la douche, on tenait notre pantalon à la main, on était nu. Et là j'ai vu la voiture de mon père, elle était devant la maison, juste à côté il y avait celle de ma mère …

On a vite fait demi tour, on s'est rhabillé avant de revenir. Mes parents étaient en train de discuter, ils étaient sur la terrasse ouverte. Ils faisaient leur tête des mauvais jours, ça avait l'air grave. Ils n'ont pas paru surpris de nous voir. On se glissait rapidement sous la douche. Enfin chacun la notre, il y en a plusieurs dans la maison. S'ils n'avaient pas été là on n'en aurait utilisé qu'une mais bon, il était inutile de se faire remarquer.

On est redescendu plus tard, Baptiste n'avait que son jeans super sexy sur lui, je n'avais que mon pantalon. J'avais même pris le risque de ne pas mettre de sous vêtements. Il faudrait que je me contrôle, je m'en savait capable. C'était tellement agréable de sentir ma queue se balancer de droite à gauche suivie par les deux couilles qui ne la lâchaient jamais. Par moment je me demandais si j'avais fait le bon choix.

Surtout qu'il y avait Baptiste, plus sexy que jamais. J'avais goûté aux plaisirs de son cul et je ne rêvais plus que de recommencer. Je pensais au début que tirer mon coup m'aurait calmé, en fait ça avait l'effet inverse, c'était ballot.

Nous avons tous soupé ensemble. Les parents de Baptiste parlaient de leur départ prévu pour le lendemain matin. Là, je faisais comme mes parents, je faisais la gueule, mon visage des mauvais jours … Je ne savais pas pourquoi ils n'étaient pas content, je savais pourquoi moi je ne l'étais pas.



C'était la dernière soirée que j'allais passé avec Baptiste, et en plus on aurait nos parents sur le dos. Mauvaise soirée !

On s'est promis de s'écrire et se revoir, c'était mon premier amour et je pense toujours souvent à lui encore aujourd'hui. Pendant plusieurs jours il n'y avait pas de clients dans notre maison d'hôte, il faut dire qu'on commençait. Je prenais l'habitude de ne pas mettre de sous vêtements. C'était stimulant. Tous les matins j'avais mon boulot à faire, le poulailler, le potager et les colis pour nos clients.

Depuis ce jour, mes parents étaient plus distants, moins chaleureux, j'avais l'impression qu'ils me faisaient la gueule. Jusqu'au jour ou c'est ma mère qui intervenait. Il y avait un nouveau couple qui devait arriver avec leur fils, un garçon de mon âge.

– Hugo ! Tu t'imagines sans doute que ton père et moi ne savons pas à quoi tu jouais avec le fils de nos anciens clients.

Elle parlait de Baptiste. Je devenais tout pâle.

– Tu penses sans doute que je ne t'avais pas vu mardi ? Tu te souviens, mardi ? Tu as entendu la voiture repartir, vous ne l'aviez pas entendu arriver et je ne sais pas comment te dire mais … Quelle honte !

Elle nous avait vu, il faut dire que ma mère est absolument adorable mais un peu puritaine tout de même. Elle avait l'air tellement embarrassée en me disant ça. Enfin embarrassée, le mot est faible. C'était en effet depuis ce jour là que son comportement avait un peu changé.

– Le lendemain c'est ton père qui vous a surpris. Vous étiez tellement occupés que vous ne l'avez même pas vu. C'est dégoûtant, que puis-je dire d'autre, c'est dégoûtant.

Et en effet elle avait l'air dégoûtée. Elle écrasait une larme d'un doigt et déposait devant moi un fascicule publicitaire avant de se retourner … Je regardais le document et je ne comprenais pas vraiment ce que c'était.

En titre on pouvait lire '' La Purity Keeper Compagie vous libère de vos pulsions''

En dessous il y avait une illustration, un dessin, qui représentait tout un tas d'homme, en costume, très présentables et peut être même un peu trop, avec chemise et cravate, bien coiffés.
Les plus jeunes devaient avoir mon âge, d'autres avaient l'âge de mes parents … Je feuilletais le fascicule, à la page deux je tombais sur une illustration totalement explicite.

J'ai bien failli tomber à la renverse. C'était un dispositif de chasteté. C'était un dessin pas une photo, le trait était fin et précis et il n'y avait aucun doute sur ce que cela représentait.

Mon père arrivait, il était accompagné par nos nouveaux clients. Il venait vers moi.

– Tu devrais monter dans ta chambre ! Me disait-il. Et n'oublie pas ça. Rajoutait-il en me montrant le fascicule publicitaire que ma mère m'avais donné. Puis il rajoutait. Il faudra qu'on en parle entre homme !

Il retrouvait les nouveaux clients, faisait les présentations puis il me faisait signe que c'était le moment pour moi de disparaître.

Je montais dans ma chambre en traînant les pieds. J'avais le petit fascicule publicitaire dans la main. Arrivé dans ma chambre j'essayais de comprendre ce qui se passait. Je regardais attentivement ce fascicule et rapidement je me mettais à bander, c'était excitant ce truc. J'en avais bien entendu parler mais sans plus et à peine. Et là, paf, je me suis branlé.

C'était la première fois que je voyais un truc comme ça en photo, même si c'était un dessin. Un instant je me disais que c'était encore mieux que du porno un document pareil. Je bandais, je me suis branlé ! Oui je sais, ça fait deux fois de suite mais bon, je suis jeune !

Mon père est venu me voir plus tard.

– L'autre jour, je ne te dis pas mais … Je te jure que j'étais pas bien quand je vous ai vu tous les deux.
– On a le même âge, on ne faisait pas de mal !
– C'est mal ! On t'a toujours laissé vivre tranquillement. Que tu te masturbes, c'est pas bien grave, surtout à ton âge mais là … C'est pas pareil.

Ça à duré presque une heure, la discussion tournait en rond et ses arguments aussi. Dès que je regardais le fascicule, je recommençais à bander.
Là par contre je prenais le plus grand soin pour que mon père ne le remarque pas. Ce soir là aussi, je n'avais pas mis de sous vêtements …

– Je te laisse réfléchir à ce que tu as fait. Tu descendras un peu plus tard pour souper.

Il me laissait seul, dans ma chambre, qu'est ce que vous voulez que je fasse … J'ai lu le fascicule et comme je bandais, je me suis branlé. Et hop !

Je n'étais toujours pas vraiment calmé quand je descendais, je me souvenais que je n'avais pas mis de sous vêtement en arrivant dans la salle à manger, ma bite se rappelait à moi, elle se balançait lourdement devant mes cuisses et j'avais bien l'impression que ça se voyait.

Mon père à fait une tête quand il m'a vu, je ne vous dis pas mais, l'impression était confirmée. J'aurais du mettre des sous vêtements, c'est clair. Le repas se passait bien mais mon père me demandait de monter dans ma chambre aussitôt terminé. Je prenais l'air penaud et je m'exécutais

Dans ma tête, je ne pensais plus qu'à ce dispositif. Je le trouvais sexy, terriblement sexy. Je m'imaginais bien en fait avec ça sur moi. J'avais à la fois une envie incroyable de le mettre et de le garder et une peur panique de le faire.

Ils nous disent que c'est confortable, que c'est stimulant, que ça donne une énergie folle à son porteur, que ça recadre les délinquants de la branlette …

– Tiens c'est pour moi ça ! Me disais-je en lisant la phrase.

Mon père venait un peu plus tard dans ma chambre, il ne frappait, il était en colère.

– Tu as vu dans l'état ou tu étais ce soir, tu bandais à table. Tu n'est qu'un branleur …

Ça l'avait un peu énervé de me voir comme ça ce soir là. Et il se défoulait. Il m'a engueulé, je ne vous dis pas et il concluait par …

– Tu vas porter un dispositif de chasteté et c'est tout. Avant ce soir, avant de te voir comme tu étais à table, j'hésitais encore mais c'est décidé, ta mère est d'accord avec moi.
Aussi pourquoi attendre ? Demain on ira dans un bureau de la PK …
– Oh non pas ça, papa s'il te plaît ! Je disais ça avec une toute petite voix.

En fait dans ma tête c'était la panique. J'avais envie d'essayer ce genre de truc, mais j'avais peur de le faire. Il prenait la décision à ma place, ça me simplifiait le choix. Par contre une chose était sûre, si j'étais partant, si j'étais d'accord, il était absolument hors de question que je l'avoue.

Ah ça non, je dirais non mais je penserais oui, olala que oui. Non mais ! Je suis clair là ?

J'ai branché l'internet et j'ai fait des recherches. J'y croyais pas, il y en avait des infos, des tonnes … Là par contre il n'y avait pas que des dessins. J'étais excité alors, devinez, et bien je me suis branlé ! Et hop !

Il était une heure du matin, j'étais assis à poil sur mon lit et je continuait à me documenter. C'était passionnant il y avait tout un tas de modèles, certains très jolis. J'imaginais ma queue confinée avec douceur. Ils nous garantissaient que c'était sans douleur. Et comme j'étais toujours excité je me suis branlé … Et re-hop !

Il était deux heures du matin, toujours assis à poil sur mon lit. Je me documentais sur les tailles et comment faire les mesures. On nous garantissait que c'était confortable. Je croyais ressentir ce confort, ce confinement à la fois doux et confortable. Et, devinez, je bandais toujours aussi je me suis branlé … Et hop, encore hop.

Il était trois heures du matin, je regardais des photos, il y en avait des photos. Il y avait plein se sites, plein de témoignages et je continuais à me branler … Remarquez là je commençais à avoir un peu moins de conviction. Mais il faut savoir faire des efforts.

Il était six heures du matin, ça ne faisait pas longtemps que je dormais, et c'est le coq qui me réveillait. Salle bête, je vais lui faire goûter de la sauce au vin s'il continue celui-là ! Je ne vous dis pas j'ai fait un bond. J'étais toujours assis en tailleur sur mon lit, toujours à poil, j'étais seulement tombé en arrière.

J'étais fatigué, j'avais bien dormi mais pas bien longtemps et là je ne bandais pas. Mais finalement je me suis branlé quand même …

J'entendais mon père qui m'appelait. Je lui répondais et me précipitais sous la douche. J'en ressortais quelques instants plus tard, je ne bandais toujours pas mais je m'étais branlé. Enfin il faut me comprendre, quand je dis je ne bandais pas, ça veut seulement dire que je ne bandais pas d'une manière incontrôlable, mais si je me tripotais je bandais rapidement. À mon âge, ça vient tout seul …

Je descendais les escalier quatre par quatre et arrivé en bas je me souvenais qu'il fallait que j'ai un air résigné.

– Bien tu m'accompagnes, ce matin, tu sais ou on va ?
– Oui papa ! Je gardais la tête basse.
– Tu n'as rien à rajouter pour …
– Non papa !
– Tu acceptes la situation ? Tu sais que si tu refuses formellement ils n'accepteront pas de t'équiper ?
– Oui papa !
– Mais tu sais aussi que dans ce cas la ta mère et moi envisagerions …
– Oui papa !

Vous remarquerez que ce jour là, je n'étais pas contrariant. C'était déjà ça. On prenait la voiture. Avec mon père on discutait, je lui demandais s'il en avait porté un lui.

– Eh oui Hugo, j'en ai porté un pendant cinq ans. Tu verras c'est très stimulant pour tes études, mais pas que.

Je le regardais sans trop y croire. Il avait porté ce genre de truc. C'était pas la peine de gémir en demandant pitié, il connaissait. Mais comme j'avais aussi envie d'y goûter il n'y avait pas de problème. Je me contentais de cacher mon enthousiasme, et lui posais plein de questions.

Arrivé à destination.

– Bon ça ira Hugo ?
– Oui papa !
– Tu ne vas pas me faire un caprice au dernier moment ?
– Non papa !
– Tu t'es documenté tu m'as dit, tu as un modèle préféré ?
– Oui le confort ultra avec boucliers mais j'aime bien aussi le modèle céramique il est joli aussi mais n'est pas vraiment customisable c'est pour ça que je préfère le modèle confort ultra surtout que ce modèle avec un bouclier ivoire ressemble au modèle céramique il est un peu plus chère mais la qualité ça se paye … Dis je peux choisir combien de bouclier ?

Il me regardait d'un drôle d'air.

– Alors là toi tu m'étonneras toujours !
– C'est pass queu j'é fé un truc pas bien … Aussi je me soumet à la sanction … Voilà !
– Tu veux que je t'accompagne ?
– Non papa, ça ira papa, ça ira papa …
– Bien alors je t'y retrouve un peu plus tard.


Je reprenais mon air résigné, sortait de la voiture et me dirigeais vers l'entrée, de dos il ne pouvais pas voir que j'avais un large sourire. En fait j'avais la trouille mais je voulais essayer ce truc. Je voulais vraiment essayer.

Quatre jours plus tôt j'étais puceau, j'avais juste flirté mais gentiment. Là j'étais toujours puceau du cul mais ce genre de truc ne gène pas pour perdre ce genre de pucelage.

A suivre

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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