Ma Nièce Pauline N°2

Ma nièce Pauline, m'appelle un bon samedi matin et me demande si elle peut venir
me voir pour que je lui montre comment cela fonctionne l'internet. Comme mon
épouse travaille et que je suis seul toute la journée, cela me fait un grand
plaisir d'accepter, surtout que c'est ma nièce préférée. J'ai toujours eu un
faible pour elle. Elle est très belle, elle vient d'avoir 18 ans, rousse, très
bien formée et ce qui fait son charme c'est qu'elle a conservée son visage
in. Comme elle ne demeure qu'à deux rues de chez moi, elle arrive presque
aussitôt. Je suis surpris de la voir avec une jupe et une blouse car elle
préfère le pantalon et le chandail d'habitude.

- "Bonjour Pauline, comment vas-tu?" lui dis-je à son arrivée. - "Très bien, et
comment va mon oncle préféré ?" - "Je suis en pleine forme. Veux-tu que l'on
commence tout de suite à voyager sur le net ?" - "Oui, j'ai bien hâte
d'apprendre."

Je l'amène dans ma chambre d'ordinateur et je lui dis de s'installer devant
l'écran. Je lui explique les règles de base durant la première heure. Je suis
assis très près d'elle et souvent je pose ma main sur sa cuisse la plus
rapprochée de moi et elle me laisse faire. Elle porte une jupe assez courte, ce
qui me permet de savourer la douceur du toucher de son bas de nylon. Cela m'a
toujours excité de toucher à cette fine lingerie qui donne beaucoup d'avantage
aux cuisses des jolies femmes. Plus le temps passe et plus je remonte ma main
lorsque je la dépose sur sa cuisse. Puis elle se décide à me demander :

- "Mon petit mon oncle préféré, montre-moi des sites pour adultes, s'il vous
plaît..." me dit-elle en me regardant avec ses yeux de petits chatons.
- "Mais ... je ne sais pas si je devrais, tu es encore jeune."
- "Mon oncle, franchement.... je ne suis plus un bébé, je suis une femme
maintenant, tu ne trouves pas ?"
- "Oui, tu as raison.

Allons-y. Quelle genre veux-tu voir ?"
" Je veux tout voir. Des sites avec des photos, des histoires qui racontent des
aventures cochonnes, enfin tout. Montre-moi."


Je lui fais un sourire complice et je lui fais découvrir les news. Je lui montre
les sujets les plus hots pour qu'elle voit des photos sans censure. Elle se
délecte chaque fois qu'une photo s'ouvre sur l'écran, aussi bien les photos des
femmes que des hommes. Je surveille ses réactions. Elle admire le corps de
chaque femme et s'émerveille devant les pénis des hommes. Au bout d'une heure de
contemplation, elle me demande :

- "Connais-tu un site où il y a des photos et des histoires?"
- Evidemment ma petite chérie, on va aller sur le site de LPE. Tu seras comblée.
C'est mon préféré.


Lorsque nous arrivons sur le site, elle s'écrie :

- "Oh ! oui ! Il y a des histoires."

Elle clique tout de suite sur la première histoire. Plus elle lit et plus elle
devient crispé et nerveuse. Ses mains deviennent moites et je la sens nerveuse.
Je me lève, m'installe derrière elle et me met à lui masser le cou et entre les
omoplates avec les pouces.

- "Comme cela fait du bien, mon oncle, continue..."

Encouragé, je poursuit mon massage pendant qu'elle dévore les lignes des textes
pornos. Je décide d'essayer de pousser plus loin mon massage et lentement je lui
masse le bas du cou en me dirigeant vers le devant. Elle me laisse faire.
J'accentue un peu la pression avec mes doigts et les descends lentement. Elle
clique sur une autre histoire qui raconte une aventure lesbienne. Je la sens
devenir plus nerveuse et plus tendue mais aussi très intéressée. Je descends
lentement mes mains pour que le bout de mes doigts puisse toucher à la base de
ses nichons. Ne rencontrant toujours aucune opposition de sa part, je glisse mes
doigts sous le replie de sa blouse et détache un bouton.
Elle baisse les yeux,
regarde mes doigts puis continue à lire son histoire. Je détache un deuxième
bouton et introduit ma main droite sous la blouse tout en continuant à masser.
Je remarque qu'elle dépose sa main gauche sur sa cuisse, juste à la hauteur de
sa chatte. Je faufile mes doigts sous la naissance de sa brassière et fait
glisser mes doigts sur le début de l'origine de son sein gauche. Je décide qu'il
est temps de prendre le contrôle d'elle :

- "J'ai su de source sûre, Pauline, que tu étais lesbienne. Ta compagne est Bétina,
ta meilleure amie."
- "Mon dieu ! qui t'as dit cela ?"
- "Cela n'a pas d'importance. C'est vrai n'est-ce pas ?"
- " Oui mais... j'aime aussi les gars mais je trouve que ceux de mon âge sont
trop niaiseux, ils ne savent pas s'y prendre."
- "Donc tu as déjà fait l'amour avec des gars et aussi des filles ?"
- "Oui, c'est mal hein !"
- "Non, il n'y a rien de mal dans le sexe. Tout se joue dans la tête des gens.
Si nous trouvons un grand plaisir dans ce que nous faisons, il n'y a rien de
mal, au contraire. Moi, je suis pour que l'on s'éclate dans le sexe. Cela nous
permet de nous défouler."
- "Tu as bien raison, mon petit mon oncle. C'est tellement bon..."


Elle regarde à nouveau vers l'écran et reprend sa lecture. Comme elle n'a pas
enlevé ma main de sa blouse, je continue mon massage. Elle a des frissons à
répétition. J'en profite pour entrer toute ma main dans le bonnet de sa
brassière et lui masse doucement le sein gauche. Elle avance les épaules pour me
donner la chance d'avoir plus d'espace pour ma main. Je masse son sein quelques
minutes mais je suis à l'étroit. Elle remplie drôlement bien tout le bonnet de
sa brassière. Je sort ma main et déboutonne le restant de sa blouse. Des
gouttelettes de sueur apparaissent sur son front. Comme je suis debout derrière
elle, je lui soulève le menton de l'index pour que sa tête penche en arrière
vers moi et lui embrasse le front.
Elle me dit, à ma grande surprise :

- "Fais-moi l'amour, mon oncle."


Je la regarde tendrement et, avant de coller mes lèvres aux siennes, je luis
dis:

- "Laisse-moi te mettre à l'aise, tu sembles avoir chaud."

Je l'embrasse à bouche ouverte. Elle ouvre les lèvres et glisse sa langue dans
ma bouche. Je lui retire sa blouse. Elle dépose ses mains sur mes bras et me les
sert tendrement. Je place mes deux mains sur chacun de ses nichons, par-dessus
sa brassière et les lui masse. Sa langue s'active dans ma bouche. Ses yeux clos
me prouvent qu'elle apprécie ce que je lui fais. Puis j'étire mes bras et
remonte sa jupe jusqu'au ventre. Je rentre mes mains dans sa petite culotte et
la caresse un bon moment. Je descends jusqu'à son bouton d'amour et le lui
frotte tendrement. Elle écarte les jambes. Elle a une peau douce et satinée
comme un bébé. C'est un vrai aphrodisiaque que de toucher à cette jeune fille si
douce. J'en veux encore plus. Je retire mes mains de sa petite culotte.

- "Non, continue, tu as tellement le tour. C'est trop bon ce que tu me fais,
continue, je t'en supplie."
- "Laisse-moi faire."

Je me relève et lui pousse dans le dos pour qu'elle s'avance un peu. Je détache
sa brassière et lui enlève. Je tire sur mon t-shirt et le passe par-dessus ma
tête et le jette au loin. Je la ramène vers moi pour qu'elle s'appuie sur le
dossier de la chaise, m'empare de ses nichons que je tripote comme du jello. Ils
sont superbes. Très fermes, ils se tiennent très bien. Ils sont volumineux.
Elles doit faire du 36c. Plus je les pétrie et plus ils durcisent. Je roule ses
tétines entre mes deux doigts. Elle bouge ses épaules de plus en plus.

- "Tu aimes te faire tripoter les tétons ?"
- "Oh ! oui, c'est ce que j'oblige Bétina à me faire le plus souvent."

Je change de position et je m'installe à côté d'elle :

- "Rentre ta main dans mes bobettes mais ne les enlève pas tout de suite.
"

Elle tourne son corps vers moi, ayant toujours ses grosses boules dans mes
mains, elle détache ma ceinture de pantalon, baisse ma fermeture-éclair et
laisse tomber mon pantalon à mes chevilles. Je m'en débarrasse tout de suite.
Elle lève les yeux vers moi et me regarde droit dans les yeux. Elle tire sur le
devant de ma petite culotte et y enfonce la main droite.

- "Wow ! comme elle est longue et grosse."
- "Tu l'apprécieras encore plus tantôt ma petite chérie. Masturbe-moi lentement
et parle-moi de ta Bétina, côté sexe, évidemment."
- "Comme tu le sais, tu la connais, Bétina est très gênée et se laisse très
facilement dominer. Elle fait tout ce que je lui ordonne, tant que je veux et au
moment où je le désire."
- "Est-il vrai que tu l'as déjà traité, en lui disant à l'oreille, de maudite
chienne et de sale vache pendant que vous étiez assise dans des estrades à
regarder une partie de balle au terrain de baseball ?"
- "Oui. Je ne sais pas comment tu sais cela mais, c'est vrai. Lorsque je
l'humilie, elle est très facile à dominer et je lui fait faire tout ce que je
veux après. Plus je lui dis des choses humiliantes et plus elle se soumet à tous
mes désirs. Je la giffle souvent et lui donne souvent la fessée en baissant sa
petite culotte pour qu'elle se sente entièrement sous ma domination. Elle adore
cela et elle me dit qu'elle est chanceuse de m'avoir comme maîtresse."
- "Est-ce qu'elle te le fait des fois elle aussi ?"
- "Non, malheureusement, elle est trop niaiseuse."
- "Tu aimerais qu'on t'humilie pour r de toi ?"
- "Oh ! oui mais je n'ose pas le demander à personne, on va me prendre pour une
malade."
- "C'est intéressant à savoir. Maintenant enlève ma petite culotte et suce-moi."
- "Je ne suis pas une experte. Je n'ai fais ça qu'une seule fois à un gars de ma
classe."
- "Tu vas le devenir, compte sur moi."

Elle s'avance sur le bout de sa chaise et enlève ma petite culotte, mes souliers
et mes bas, à ma demande.

- "A genoux, maintenant et suce-moi!"


Elle rougit légèrement et obéit. Elle s'agenouille face à moi, prend ma queue
dans sa main droite et la contemple une dizaine de secondes avant de me confier
:

- "Comme elle est belle. C'est la plus grosse que je n'ai jamais prise dans mes
mains. Même avec mes deux mains, je ne peux toute la recouvrir, elle est trop
grosse et trop longue."

Elle ouvre bien grande la bouche et l'englobe. Elle utilise sa langue pour m'en
caresser le bout qui a commencé à suinter. Puis elle tasse ma grosse queue pour
que mon gland touche à sa joue. Cela fait une bosse dans sa joue. Elle la serre
avec ses lèvres le plus qu'elle peut. J'ai une main dans ses cheveux et l'oblige
à me pomper en les tirant d'avant en arrière et vice-versa. Elle suce bien la
petite salope et je sens monter la pression dans mon manche.

- "Je sens que je vais venir. Tu en avales un peu puis tu t'arroses la figure
avec le reste sans jamais t'arrêter de me crosser, compris ?"

Un grognement affirmatif se fait entendre. La pression dans ma queue n'est plus
endurable. Je ne peux plus me retenir. J'ai les couilles pleines à craquer. Elle
va y goûter comme jamais elle ne peut sans douter.

- "Place le bout de ma queue sur une de tes joues pour ne pas t' car je
vais jouiiiirrr..."

Un premier jet chaud s'éjecte dans la bouche de ma nièce. Je tire ses cheveux
vers l'arrière. Ma queue sort de sa bouche.

- "Continue à me crosser et arrose-toi la face et les tétons, petite salope."

Mon orgasme et très abondant. Elle m'a fait une bonne ® job ¯. Avec ses deux
mains sur ma queue, elle me masturbe avec vigueur. Des jets abondants lui inonde
le visage que je retiens en position bien droite avec la poigne que j'ai dans
ses cheveux. Le jus coule sur ses joues et longe son cou. Elle abaisse mon long
manche et de nouveaux jets abondants vont atterrir sur ses grosses boules
appétissantes. J'allonge le bras et m'empare de ma caméra numérique sur le
bureau, à la portée de ma main. Je prends plusieurs photos. Lorsqu'elle m'a
complètement vidé, elle lèche les dernières gouttes sur mon gland.

- "Ne t'essuie pas tout de suite. Lève-toi."

Elle se place debout, face à moi. J'admire mon travail. Les gouttelettes de mon
liquide laiteux lui coulent partout sur le visage, le cou et les tétons.
- "Tu commences à avoir l'air d'une vrai cochonne. Ne bouges pas."

Je lui enlève sa jupe.

- "Assieds-toi les fesses sur le bout de la chaise et continue à lire. Je vais
m'installer sous le bureau, assis entre tes jambes."

Je me glisse en dessous du bureau et m'assois par terre. Pauline s'installe. Elle
avance sa chaise, dépose ses fesses sur le bout du siège et recommence sa
lecture. Elle a les jambes bien écartées pour me faire de la place. Je caresse
ses cuisses recouvertes de ses bas de nylon. C'est un plaisir suprême. Remontant
vers la rencontre de ses belles cuisses, j'introduis mes pouces sous sa petite
culotte. Je trouve facilement son bouton de jouissance qui est bien gonflé. Je
l'écrase du pouce gauche pendant que le droit pénètre sans aucune difficulté
entre les babines de sa plotte très humide. Ses fesses s'avancent et se reculent
sans arrêt. Sa plotte s'inonde de plus en plus.

- "Je te défends de jouir sinon je devrai te punir", lui ordonnais-je.

Elle essaie de crisper sa vulve pour se retenir. Je retire mes pouces de sa
petite culotte dont je prends les bords et la déchire. Enfin le chemin libre. Je
promène ma langue sur le haut de ses cuisses en me dirigeant vers sa caverne
d'amour. Je lui lèche les babines longuement. Des gouttes sortent de sa plotte
et descendent vers son anus.
- "Ecartille-toi plus que ça."
Elle avance un peu plus ses fesses sur le bout de la chaise et ouvre les cuisses
le plus qu'elle peut. J'enfonce mes deux pouces dans sa fente et tire très fort
pour rouvrir ses babines aux maximum. Elle fait une grimace. De la belle viande
jeune et chaude m'apparaissent. Je colle aussitôt les lèvres de ma bouche dessus
et me met à lui manger la plotte. Elle ne peut plus se retenir et me décharge un
orgasme abondant dans la bouche. Je savoure, en connaisseur, cette liqueur
divine. J'en avale le plus que je peux mais elle en déverse tellement que je ne
peux tout avaler. Ce qui ne prend pas la direction de ma bouche, se fraye un
chemin jusque entre ses fesses et inonde son anus. J'enfonce ma langue dans sa
plotte toute chaude et, tout en faisant de l'exploration à l'intérieur, je
parviens à lui enfoncer mes dents du hauts sur le clitoris. C'est l'extase
totale pour cette jeune sans expérience. Un autre orgasme, encore plus abondant
que le premier, m'explose dans la figure. Le jus me coule sur le menton et
mouille toute ses fesses jusqu'à son petit trou brun. Voyant cela, je place mon
index sur cette ouverture encore vierge, j'en suis certain, et pousse lentement.
Bien humidifié, il parvient à se faire facilement un chemin et s'enfonce dans le
jolie petit cul de ma nièce.

- Mon onnnccclllee, qu'est-ce que tu fais làààà....
- Je t'encule avec un doigt, ma petite chérie.
- Ohhhhhh !, on ne m'a jamais fait cela avannnnntttt......
- Je vois que tu apprécies beaucoup.....

Je rentre mon index jusqu'à la jointure. Lorsqu'il est complètement entré, je le
dirige vers sa vulve et le fait bouger le plus que je peux.
- Ahhhhhh.......

ne peut retenir une Pauline en extase. Un orgasme déverse une autre grande
quantité de son liquide si intime. Je replie le bout de mon doigt comme un
crochet et commence à lui donner un mouvement de va et vient dans son cul tout
chaud. Trois orgasmes successifs s'en suivent. Le jus coule de sa plotte comme
une rivière au printemps qui déborde. Avec un grand effort, je pousse sur sa
chaise et sort de ma position plutôt inconfortable. Je me relève bandé comme un
taureau. Je fais placer ma nièce debout puis l'oblige à se plier sur le ventre
par dessus le dossier de la chaise. Elle m'offre le plus beau des spectacles.
Une superbe paire de fesses divisée par une belle craque qui avantage drôlement
son cul. Le jus miroite sur ses fesses. J'aperçois les lèvres de sa plotte qui
sont tout aussi trempées. La tentation est trop grande. J'empoigne ma grosse
queue et l'enfonce immédiatement dans la grotte de joie de ma nièce. Elle
parvient à se redresser le dos et me demande :
- Ouffff ! laisse-moi m'habi, mon oncle. C'est la première fois que j'en ai
une si grosse qui me transperce le bas du ventre.

Je la laisse prendre le temps de savourer mon superbe morceau. Je sens les
contractions de sa vulve sur mon manche puis , lentement, elle se dilate. Je
m'agrippe à ses deux gros tétons et tire dessus comme pour les arracher tout en
la fourrant à plein régime.

- Oh ! oui ! tire fort sur mes tétons.... arrache les.... je sens ta grosse
queue partout dans mon ventre.... c'est superrrrrr.......

Cette petite salope jouit à nouveau. Je la pistonne encore un moment puis, comme
je sens monter ma sève à mon tour, je retire ma queue, fais faire un demi tour à
Pauline pour qu'elle soit fasse à moi, l'assois sur le bord du bureau et lui
enfonce à nouveau ma queue dans la plotte juteuse. Elle m'entoure le cou de ses
bras.

- AH ! mon oncle, oui, encore.... encore..... c'est fantastique.

Elle se colle à moi et s'agrippe fortement. Je la soulève du bureau et l'agrippe
par les fesses. Elle commence à se faire aller sur mon pieu. Je la sens glisser
un peu. En essayant de mieux la retenir, je touche à son anus. J'y enfonce un
doigt de la main droite. J'ai ainsi une bien meilleur prise.

- AAAhhhhhhhhh !

se lamente Pauline. Sans hésiter j'introduis l'index de mon autre main et lui
élargit le trou de cul. Je grouille le bout de mes doigts en même temps dans ses
entrailles.

- Oh !..Ah !..aaaaaaaaaaaaa tu vas me faire capoter.....

et, encore un autre orgasme m'inonde la queue. Pauline s'enfourche le plus vite
qu'elle peut sur mon manche qui est au vif. Je n'en peux plus et je lui crache
tout le foutre qu'il me reste dans la plotte.

- Enfin.... je sens ta liqueur apaiser le feu que j'ai dans la plotte...
wowwwww..........

Les forces m'abandonnent et je dois la déposer sur le bureau, exténué.

Nous reprenons notre souffle. Elle me regarde et me fait un grand sourire avant
de me dire :

- Tu es un champion, mon petit mon oncle d'amour.

On s'esclaffe de rire et on se jette dans les bras, l'un de l'autre.

Après quelques minutes de repos bien mérité, je regarde Pauline d'un air sévère et
lui dit :

- Maintenant je dois te punir pour m'avoir désobéi. Je t'avais ordonné
d'attendre avant de jouir, lorsque j'étais en dessous du bureau.

Pauline baisse la tête, n'osant me regarder. Je m'assois sur une chaise sans
appuie bras et lui ordonne :

- Tu vas te coucher sur les genoux et je vais te donner la fessée.
- Mais, mon oncle, je suis bien trop vieille pour recevoir la fessée.
- Il n'y a pas d'âge pour cela, allez, obéit.

Pauline me regarde et réalise que je suis sérieux. Elle baisse à nouveaux les yeux
et rougie. Elle s'avance lentement puis se couche sur mes genoux, les fesses à
ma portée. Je commence à lui administrer une fessée. Les claques commencent
lentement pour augmenter rapidement de force et de vitesse. Elle se lamente au
début puis lorsqu'elle sont bien rouges, elle fortille beaucoup moins jusqu'à se
laisser faire. Puis, c'est la jouissance qui fait place à la douleur. Pauline a un
orgasme important à nouveau. Lorsqu'elle a terminé, j'embrase et liche ses
fesses.

- Maintenant tu vas me laver la queue avec ta langue. Elle est pleine de sperme
et de ton jus de plotte.

Elle obéit tout de suite et se place à genoux pour me laver la graine avec sa
langue.

- On va maintenant dîner. Tu vas appeler Bétina pour qu'on l'initie à l'internet.
- "Ca, c'est une bonne idée", me dit Pauline en se ruant vers le téléphone.


Mickael

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