Découvert !

Ceci est une histoire vraie. Cela fait longtemps que je voulais la publier mais je dois dire que j’avais un peu honte d’étaler au grand jour mes goûts sexuels assez spéciaux. Mais à la lecture des histoires de ce site, je me rends compte qu’après tout je n’ai rien fait d’exceptionnel. Et puis, c’est plus facile de parler sous couvert d’anonymat.
J’ai la quarantaine et ai vécu très longtemps chez mes parents, avec une éducation très stricte. Fils unique, mon côté « Tanguy » ne les a jamais choqué et de mon côté, être nourri et logé m’a toujours permis de donner libre cours, financièrement parlant, à mes vices.
Jusqu’à la trentaine, je suis resté puceau. Je n’avais jamais pénétré une femme, mieux, je n’avais jamais vu un sexe féminin autrement qu’en vidéo ou en photo et je ne savais même pas comment un garçon faisait l’amour à une femme. Je savais qu’il y avait contact physique mais l’acte sexuel m’étais inconnu dans sa réalité. Je savais que le sexe masculin rentrait dans le sexe féminin mais cela n’allait pas plus loin.
Dès mon adolescence, j’ai toujours doré me caresser l’anus, m’y introduire un doigt ou des objets divers. J’aimais la sensation et ensuite l’odeur. Mes masturbations se limitaient à prendre mon sexe entre mes doigts et à l’agiter. C’était bon mais cela n’allait pas plus loin. Un jour, vers es 17 ans, j’ai soudain senti une sensation intense suivie de l’écoulement d’un liquide blanchâtre sur mes doigts. Je venais d’éjaculer ! Ce fit une révélation et dans le jours qui suivirent, je me masturbais plusieurs fois, j’éjaculais, je jouissais, bref j’étais devenu un homme, du moins à mon avis. Je me rendis vite que les sensations et le plaisir étaient multipliés si je me mettais un objet dans l’anus et pratiquais des va-et-vient. Cela devint la condition essentielle pour jouir.
Peu à peu, la règle en bois, les stylos, furent remplacés par des légumes de plus en plus gros, courgette, concombre, et je pris l’habitude de rencontrer des prostituées pour qu’elles me sodomisent avec.

J’habitais en grande banlieue et les routes fourmillaient de professionnelles et de petits bois accueillants. Le scénario était toujours le même, je les faisais monter en voiture, nous allions dans un endroit discret, je tombais le pantalon et la fille me sodomisait jusqu’à éjaculation. C’était tout bénéf pour elle car elle restait habillée, il n’y avait aucun contact physique et elle touchait pareil que pour un rapport normal. Une fois une prostituée m’emmena chez elle et entrepris de me faire l’amour. Je me rappelle qu’elle était couchée sur moi et guidait doucement ma queue en elle. Je souffrais d’un phymosis mais ne le savais pas. Je savais seulement que mon gland ne se décalottait presque pas, ce qui ne m’empêchait pas de jouir mais par contre interdisait toute pénétration à cause de la douleur et du manque de rigidité de ma queue. La pauvre, d’une douceur extraordinaire, tenta pendant de longues minutes de m’introduire puis nous nous quittâmes sans résultat.
Puis ce furent de longues années de plaisirs variés : Sodomie, lavements, martinet, fessée, uro, scato. Un jour un mec m’a fait déféquer devant lui dans son jardin avant de me sodomiser avec un gode. Souvent, en sortant de mon travail, j’enfilais des sous-vêtements féminins et rejoignait une prostituée près de la place de l’Etoile. Nous avions sympathisé et elle me sodomisait avec un gode ceinture, elle nue et moi en nuisette sexy. Un jour je pris une fille en stop Porte Maillot et arrivés chez elle, je découvris non sans plaisir qu’il s’agissait d’un travesti. Ce fut ma première enculade avec une vraie queue. Une révélation. J’avais déjà eu l’occasion de sucer un mec, chez une maitresse et j’avais apprécié le goût, l’odeur de mâle et les va-et-vient en bouche. Il n’avait pas éjaculé mais c’était un bon souvenir. Une autre fois, je rencontrai, mais cette fois en connaissance de cause, un travesti brésilien au bois. Il m’emmena chez lui et me sodomisa à nu. C’était heureusement avant le VIH. Pendant quelques temps, j’allais voir une jeune prostituée sur les contre-allées de l’avenue Foch.
Chez elle, elle me branlait le cul avec ses doigts pendant que je me masturbais. Une fois elle l’a fait en présence d’une de ses « collègues ».
Je me mariai alors et sur l’insistance de mon épouse, je me fis opérer du phymosis. Ce fut une autre révélation. Je devins accro à la pénétration, vaginale comme anale, presque tous les jours. Ma femme me fit découvrir l’analingus, je devenais fou de plaisir quand elle me léchait l’anus et j’aimais aussi lui rendre cette merveilleuse caresse. Bien que je sois comblé par notre entente sexuelle, j’aimais toujours me faire sodomiser et être soumis. Presque chaque semaine je rencontrais des prostituées qui me godaient avec un sextoy ou leurs doigts. Un jour je découvris le femme me fit découvrir l’analingus, je devenais fou de plaisir quand elle me léchait l’anus et j’aimais aussi lui rendre cette merveilleuse caresse. Bien que je sois comblé par notre entente sexuelle, j’aimais toujours me faire sodomiser et être soumis. Presque chaque semaine je rencontrais des prostituées qui me godaient avec un sextoy ou leurs doigts. Un jour je découvris le fist fucking et je devins accro à cette pratique. Je rencontrai une professionnelle et nous sommes devenus sinon des amis mais en tout cas des connaissances. Pendant plus de xi ans j’allais la voir, elle me godait, me fessait, puis pour finir elle me fistait jusqu’à ce que j’éjacule. De temps en temps elle faisait venir un ami à elle qui me sodomisait avant le fist final. Une fois elle me fit sodomiser par un autre soumis devant une autre domina. Une fois je fus sodomisé par un soumis qu’elle pénétrait elle même avec un gode ceinture. Souvent elle m’urinait dessus, nous fîmes plusieurs séances de scato, bref le bonheur. Un jour je lui demandais de me donner le martinet. Elle m’attacha les poignets au plafond et m’administra une correction au martinet et aux orties dont je gardais les traces rougeâtres une bonne dizaine de jours. Par chance mon épouse était dans sa famille.En même temps, je rencontrais hommes, femmes pour des séances de sodo, fist, uro, dilatation.
En dehors de ces rencontres, j’avais l’habitude de me masturber presque chaque jour.
Une fois je suis allé dans une sablière près d’Arpajon. J’avais pris soin de me vêtir uniquement d’un short et d’un T-shirt. Tout d’un coup, assis dans le sable, je remarquai un mec à poil sur les hauteur qui surplombaient la sablière. Je montai le rejoindre et après m’être agenouillé devant lui, je pris sa queue en bouche et commençai à le sucer. Au bout de quelques minutes, je me suis déshabillé et il m’a pris en levrette. A un moment, j’ai vu qu’un second mec, à poil lui aussi, nous mâtait. D’un geste je l’ai encouragé à nous rejoindre et je j’ai sucé tout en me faisant sodomiser par le premier. Après que celui-ci ai joui dans mes fesses (avec capote bien sûr), le second a essayé en vain de me pénétrer. Pas de problème, je suis redescendu vers la sablière et en chemin je suis tombé sur un type torse nu en train de se masturber. Après lui avoir proposé de me sodomiser, il m’a présenté ses fesses et je lui ai léché l’anus jusqu’à ce qu’il éjacule.
Il y a quelques années, j’ai découvert le plaisir des saunas gay, le plaisir de déambuler nu parmi des mecs nus aussi, le plaisir de sucer, de me faire défoncer, fister, sucer un anus. Une fois j’ai rencontré deux types et nous sommes allé dans une cabine, porte ouverte. Pendant que je suçais l’un deux, l’autre m’a léché le trou du cul puis m’a sodomisé. Ensuite nous avons inversé les positions, le « sucé « est devenu enculeur et l’enculeur le « sucé ». A cette occasion je me suis fait traiter de bonne salope pendant que des mâteurs nous observaient depuis le couloir. Une autre fois, je suis allé en cabine avec un type plus âgé qui m’a d’abord enculé après l’avoir sucé, puis m’a fisté, le tout en présence de voyeurs qui étaient même rentrés dans la cabine. Je pense qu’à force je me suis fait une réputation de bonne salope dans ce sauna. A chaque visite ou presque, je réussissais à sucer et très souvent à me faire prendre.
Malheureusement la Covid a interrompu ces plaisirs.
En remplacement, j’ai pris l’habitude de me goder avec de godes XXL, jusqu’à 9cm de diamètre, que j’accepte presque sans préparation. Ayant subi une ablation de la prostate il y a quelques années, j’ai basculé totalement dans l’homosexualité ; je n’aime pas les hommes en temps que mecs, le corps masculin me laisse froid, mais je mouille devant une queue, je rêve de la sucer, de la sentir dans ma bouche, dans mes fesses, de préférence devant des tiers. C’est devenu une totale addiction, stoppée malheureusement aussi par la Covid.
Un autre plaisir que je pratique depuis des années, les lavements, et surtout relâcher mes sphincters tout habillé. Et c’est ce plaisir qui m’a causé récemment la plus grande humiliation de ma vie sexuelle et aussi, après coup, beaucoup de bonheur.
Je fréquentais donc les saunas Gay et un jour, en sortant de l’un deux, je tombe sur des collègues de bureau, la honte totale. Je passe sur les moqueries mais très vite j’ai compris que j’étais tombé dans un piège. Rien ne se passe pendant quelques jours mais un jour suivant, à la fin du travail, trois d’entre-eux m’entourent dans les vestiaires et me mettent vite le marché en main.
« Tu nous suis sinon tout le monde saura que tu n’es qu’une lope, un pédé, qui se fait tringler dans les saunas ».
Pas moyen de discuter, je les suis. Ils me conduisent en voiture dans un pavillon en banlieue, j’appris plus tard que c’était le pavillon de l’un d’entre eux. Une fois à l’intérieur, ils m’ordonnent de me déshabiller, ils font de même, je suis rouge de honte et en même temps assez terrifié. Il faut dire que je suis tout sauf un athlète, pas efféminé mais timide et de petit gabarit, et j’i peur qu’ils me brutalisent, qu’ils me frappent. de me déshabiller, ils font de même, je suis rouge de honte et en même temps assez terrifié. Il faut dire que je suis tout sauf un athlète, pas efféminé mais timide et de petit gabarit, et j’i peur qu’ils me brutalisent, qu’ils me frappent.
« A genoux, tu vs nous sucer ! »
Je proteste, pour la forme car je ne suis pas de taille à lutter et surtout j’ai peur qu’ils racontent ce qu’ils ont vu. En plus, l’idée ne me déplait pas, mieux elle m’excite. Je passe sur les détails, l’après- midi se passe en pipes multiples, sodomies successives, l’un d’eux tente même de me fister ayant remarqué que j’appréciais les introductions dans mon anus par mes gémissements et mes mouvements fessiers. La seule chose que je réussis à obtenir c’est la capote pour les pénétrations.
Une fois rassasiés, ils me ramènent à une bouche de métro en me promettant de prochaines séances, séances qui vont se succéder pendant plusieurs semaines, quelquefois plusieurs fois par semaine. J’ai honte, honte quand j’y pense, honte quand je les côtoie, mais j’avoue surtout un grand plaisir pendant et après nos ébats.
Un jour, changement de programme, la voiture roule, sort de la ville et nous nous arrêtons sur un parking dans un bois à une vingtaine de kilomètres de Paris. Je les regarde sans comprendre :
« Que voulez-vous faire ? On risque d’être surpris... »
« Te bile pas, le coin est désert. Fous-toi à poil et contente toi d’obéir sinon tu vas déguster »
Et celui qui vient de parler me balance une bonne gifle qui m’arrache des larmes, ce qui les fait bien rigoler.
Je me déshabille et ils collent mes vêtement en tas près de la voiture. Je ne comprends pas. L’un d’eux sort un sac du coffre, un bidon rempli de liquide et deux grandes bouteilles de coca.
Il me tend une bouteille et m’ordonne de la boire. Je m’exécute. Une fois que j’ai repris mon souffle, un litre cela remplit bien l’estomac, il me tend une seconde bouteille. Je proteste mais pour toute réponse, je me prends un coup de pied dans les couilles, pas très appuyé mais suffisamment pour que je plie en deux de douleur. Une fois la douleur calmée, il me redonne la bouteille et comme un automate, je la vide à son tour, lentement car je n’en peux plus, j’ai le ventre plein, j’ai mal.
« A quatre pattes et reste tranquille sinon..... »
Une fois à quatre pattes, l’un d’eux me tiens fermement les poignets, le second les chevilles tandis que le troisième baisse son pantalon et d’un coup, sans préparation, m’encule à sec.Il me travaille le cul quelques minutes puis sort de mes fesses si brusquement que j’émets un pet sonore.
« T’as l’air constipé, t’inquiète, on va y remédier »
Eric, nous l’appellerons ainsi, sort une boite du sac. Il l’ouvre, en retire plusieurs capsules qu’il me rentre comme des suppositoires. Devant mon étonnement, il répond :
«Ne t’inquiète pas, ça va t’aider à aller à la selle ».
Puis il déballe le sac. Il en sort un nécessaire à lavement, poche plastique, tuyau et canule. Il commence par remplir la poche avec le contenu du bidon. Je tente de protester et je me prends une énorme fessée, ce qui me calme d’un coup. Une fois la poche remplie, il m’introduit la canule, bien lubrifiée, profondément dans l’anus. Je gémis, plus de plaisir que de protestation.
« Mais elle aime çà la salope ! »
Il ouvre le robinet du tuyau et je sens peu à peu mon ventre se remplir de liquide tandis que je vois du coin de l’oeil la poche se vider peu à peu. Mon ventre est douloureux, je leur dis mais rien n’y fait, le liquide continue à renter en moi, sns doute près de deux litres d’eau.
Une fois la poche vide, Eric commence à me retirer la canule de l’anus tout en me prévenant d’un air menaçant :
« Gare à toi si une seule goutte sort de ton cul, je te la fais lécher et je t’en remets un litre ! »

Une fois la poche vide, Eric commence à me retirer la canule de l’anus tout en me prévenant d’un air menaçant :
« Gare à toi si une seule goutte sort de ton cul, je te la fais lécher et je t’en remets un litre ! »
J’essaye de contracter mes sphincters au maximum et cela semble le satisfaire. Une fois la canule retirée, il la remplace par un énorme butt-plug, à mon avis plus de 8cm de diamètre, afin de boucher mon trou. Je gémis lorsque le plug passe mon anneau. Une fois mon anus refermé sur la tige :
« Lève-toi la lope ! »
Je m’exécute, j’ai mal au ventre, j’ai une terrible envie de pisser, je commence à ressentir une grande envie de faire mes besoins...
« Retiens-toi ou je te cogne ! »
Eric me tend mon pantalon et mon pull.
« Rhabille-toi ! »
« Mais j’ai envie.... »
Une grande claque me convainc d’obéir sans discuter et j’enfile me vêtements.
J’ai juste le temps de boutonner mon pantalon que je les vois monter rapidement en voiture et partir à toute vitesse, me laissant seul sur le parking. J’en pleurerais ! Je suis seul en pleine campagne, sans argent, sans rien pour m’essuyer en cas de problème, et surtout avec une envie de pisser et de chier que je sens de plus en plus impossible à contrer. Comble d’horreur, une voiture rentre sur le parking et se gare, un mec en sort avec son chien, puis une seconde avec cette fois une famille. J’apprendrai plus tard que c’est un parking très prisée des promeneurs mis comme nous sommes arrivés à l’heure du repas, il n’y avait encore personne. Les salauds, ils avaient tout prévu. Le bois n’est pas très touffu, si j’y rentre et que j’ôte mon pantalon, tout le monde va me voir, du parking comme de la route qui est à présent assez passante. D’ailleurs, rien que le fait de me tortiller pour ôter le pantalon et les vannes vont se rompre sans pouvoir me retenir. Si je me laisse aller ici, pareil, il y du monde sur le parking, c’est la honte assurée sans parler des poursuites éventuelles pour exhibition.
Je décide donc de quitter le parking et de marcher le long de la route, le cas échéant je pourrais toujours me soulager lorsqu’il n’y aura pas de voiture en vue. Je commence à longer la chaussée, de plus en plus lentement car j’ai de plus en plus de mal à me retenir. Au début, tout va bien, mais au bout de quelques centaines de mètres, mes sphincters échappent à mon contrôle, je sens mon cul qui s’ouvre et d’un coup, une poussée plus forte expulse le butt plug de mes fesses et c’et un geyser qui envahit mon pantalon. Mes intestins se vident sans que je puisse m’y opposer, en même temps ma vessie se vide à son tour et un mélange de merde et de pisse coule le long de mes jambes, puis sur mes chaussures et enfin sur le sol. Je suis immobile, horrifié, je me vide, je ne contrôle plus rien, mais en même temps les douleurs disparaissent, et bien sûr c’est à ce moment qu’une voiture s’arrête, me prenant pour un auto stoppeur en détresse. En détresse, je le suis, mais pas pour les mêmes raisons. C’est une camionnette, ils sont deux et le passager ouvre sa portière pour m’inviter à monter. Il s’aperçoit très vite de la situation, je vois son visage changer d’expression, un air dégoûté déforme ses traits, il m’insulte, referme la portière, et la camionnette repart.
Je reprends donc ma marche, cette fois je suis vidé, soulagé, restent seulement mon pantalon trempé, mes chaussures souillées et l’odeur qui flotte autour de moi. A la faveur de la nuit, je rejoins une station de RER, heureusement presque déserte. Je passe le portillon d’un bond, à l’arrivée je rase les murs jusqu’à chez moi et la vie reprend le jours suivants. Inutile de dire que les séances avec mes « collègue » reprennent aussitôt comme si de rien n’était. Ils ont cependant le bon goût de ne pas me questionner sur mon retour.
Aujourd’hui j’ai changé de boulot, de ville aussi, mais ces séances de sexe plus la séance du parking sont devenues de merveilleux souvenirs dont je n’avais jusqu’à aujourd’hui jamais osé parler à quiconque. Aujourd’hui, en plein confinement, privé de sodomies et de pipes avec des mecs, je me gode chez moi et de temps en temps je m’administre un bon lavement accompagné de plusieurs capsules de microlax et je me soulage une fois rhabillé. C’est toujours aussi bon et je me prends à rêver que des mecs me forcent à le faire comme avec mes collègues. Qui sait, une fois le parler à quiconque. Aujourd’hui, en plein confinement, privé de sodomies et de pipes avec des mecs, je me gode chez moi et de temps en temps je m’administre un bon lavement accompagné de plusieurs capsules de microlax et je me soulage une fois rhabillé. C’est toujours aussi bon et je me prends à rêver que des mecs me forcent à le faire comme avec mes collègues. Qui sait, une fois le confinement levé.....

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