Les Vaches Et Nous.

J'habite en ville depuis longtemps. Je suis originaire de la campagne et y suis propriétaire.
C'est un fermier qui s'occupe de cultiver mes terres et de mes vaches: pas beaucoup, seulement une vingtaine. Depuis Noël, j'ai une petite amie qui aime baiser et avec qui nous avons mis au point une technique un peu particulière: les jours pairs c'est elle qui choisie les positions et les jours impairs, c'est moi. Cette formule a le mérite de ne jamais baiser de la même façon. J'aimerai participer à une partouze, elle non. Je la verrai faire l'amour avec un homme, elle non, ou avec une autre femme. Là elle ne répond pas.
Nous sommes en mai, le mois des ponts. Je décide Rose, mon amie pour aller nous "reposer" à la campagne. J'averti mon fermier pour qu'il chauffe la maison: à cette époque c'est encore nécessaire. Il doit s'absenter quelques jours, mais sa fille reste sur place pour s'occuper du bétail et c'est elle qui alimentera le feu.
Nous arrivons relativement tard. Rose commence par se déshabillée et ne porte qu'un simple tablier pour préparer un petit repas. Elle est très gourmande et malgré le peu d'ingrédients elle nous sert un somptueux repas. Sa tenue me fait bander. Je ne lui dis pas pour ne pas baiser là, dans la cuisine.
Nous allons nous coucher: c'est mon jour et je dois lui faire ce que je veux à condition de la faire jouir plusieurs fois. Je l'entraine sur le lit et lui fait ouvrir les cuisses pour dans un premier temps la branler plusieurs fois et la sucer ensuite. Je l'embrasse longuement et nos langues se déchainent. Elles se caressent même hors de nos bouches. C'est dire notre peu de respect des conventions. Je lui caresse les seins, les embrasse avant de lui mettre ma main droite sur le con. Elle écarte ses lèvres avec une main pour que le clitoris soit à découvert et avec deux doigts je le lui caresse de plus en plus vite. Elle jouit en poussant, comme souvent quand elle est particulièrement excitée un petit cri.


Je m'installe commodément pour la sucer: je me couche sur le lit, ma tête juste à hauteur de son con et le lèche de bas en haut. Elle lève ses jambes pour les mettre sur mes épaules.
Je lui prends le clitoris encore entre mes lèvres et le suce plusieurs fois. Elle jouit encore.
Je la fait mettre en levrette et lui demande de se branler, ce qu'elle aime faire. Je pose ma bite sur son petit trou, après l'avoir mouillé de sa cyprine. Je l'encule lentement et là encore elle pousse son petit cri plusieurs fois.
Très tôt le lendemain nous sommes réveillés par les clarines des vaches qui vont au pré.
Comme toute fille de la ville elle commence d'abord à râler et me demande ce qu'est ce
Bruit ? Je lui explique que la vie à la campagne est un peu décalée par rapport à ce qu'elle connait. Nous déjeunons en vitesse: elle veut voir les vaches. Et ensuite elle veut du lait.
Je lui explique que si elle en veut il faudra en demander à la fille du fermier ce soir après la traite. Nous partons nous promener à pies avec un petit casse croute et nous voilà parti pour l'aventure. Nous nous arrêtons quelques fois en route pour baiser: c'est son jour. Je ne peux lui faire que ce qu'elle demande, ni plus ni moins. Nous faisons l'amour sur des bottes de fourrage. Le contact avec l'herbe à un effet magique: elle s'aperçoit qu'en étant à plat ventre le foin lui grattait d'une façon érotique ses seins. Du coup elle ne veut plus baiser qu'à plat ventre. Pour la baiser se n'est pas très commode: elle me donne son cul. Et c'est ainsi toute la journée. Nous rentrons assez tôt à la ferme pour y rencontrer la fille du fermier. Elle sort à peine de l'étable: Rose lui demande un verre de lait: elle reçoit plus d'un litre. Je regarde cette fille qui a une allure de princesse. Son corps me parait splendide. Je demande à Rose si elle lui conviendrait: évidemment. Rose s'approche de la fille et lui parle tout bas. Je ne sais pas ce qu'elles se sont dit, toujours est-il qu'elles échangent un long baiser.
Elle se dirige vers la chambre. Ca y est Rose va se payer une fille. Je les suis en bandant déjà en espérant que moi aussi je pourrai baiser cette fille. Elles se déshabillent l'une et l'autre. A tout hasard j'en fait autant: ma boite est au garde à vous; Les deux filles continuent leur embrassade. Et ke vois que c'est la fille qui porte directement sa main sur le con de Rose. Cette dernière écarte les jambes comme si c'était moi qui la branlais. Elle se laisse faire: la caresse doit être très bien faite: Rose pousse son petit cri de jouissance. A son tour elle branle l'autre qui en jouit. C'est encore la fille qui commende: elles se mettent la tête au pied et entame un 69 inoubliable: je suis même obligé de me branler un peu.
Enfin elles jouissent toutes les deux. Rose glisse deux mots à la fille. Elle se met en levrette.
J'aurai préféré une autre position pour la baiser. Je m'approche d'elle et je pose ma bite sur son con. NON je ne veux pas, je suis vierge. Rose me dit qu'elle acceptera ma queue dans le cul. Drôle de façon pour une jeune femme. Rose tartine le cul de sa mouille et me prenant la bite dans une main, elle me dirige vers le petit trou. Je m’attends à une résistance et je suis surpris: j'y rentre assez facilement. Je la sens jouir autour de ma pine plusieurs fois avant que je lâche mon sperme.
C'est une situation assez cocasse: mon amie baise une fille, qui ne veux pas que je la baise, et qui aime la sodomie.

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